Arméniens du Dersim
Auteur - yazari: M SENGUL Savas
Tarih, gün ve saat : 16. 2005 13:32:02:
Voici le plus vieux récit que j'ai
trouvé sur les habitants de Dersim et en plus on y trouve le nom
d'une tribu, celle peut-être des Alan. Je reste prudent car rien n
eput nous le confirmer, mais c'est la seule qui avec ce nom sans
rapproche. Cela confirme que des Dersimis y vivaient déjà à cette
époque. Ici, il est question de tribu kurde, proche d'eux on nous
reconnaît qu'ainsi. Il n'y a que ceux proche de notre peuple et qui
on acquis des connaissances sur notre peuple, qui peuvent savoir
qu'au Dersim on ne peut être kurde.
(Le génocide des Arméniens, par Gérard CHALIAND et Yves TERNON,
édition Complexe, 1975.)
Au XIV siècle, certains personnages de l’autorité turc profitèrent
de leur statut pour réprimer et voler le peuple, et surtout les
arméniens.
Le 3 juillet 1331, le commandant du 4e corps d’armée, Djémal Pacha
(Pacha vient de pad-i-cha, mot d’origine perse, il signifie, pied du
chah, ceux qui tient la souveraineté du roi ; Vizir est un mot
persan aussi, et se dit Vuzurg), reçoit un télégramme avec la
mention « personnel » : « l’Euphrate a très peu de rapport avec
notre vilayet. Les cadavres charriés proviennent probablement des
vilayets d’Erzurum et Kharpout. Ceux qui tombent morts ici sont ou
jetés dans de profondes cavernes abandonnées ou, comme cela se fait
le plus souvent brûlés. Il y a rarement lieu de les enterrer ». Sur
les routes gisaient des cadavres d’arméniens qui s’étaient révoltés
contre la domination turc. Le sultan ne s’opposait pas aux massacres
des révoltés, mais il voulait qu’on les enterre.
En réalité des membres du Comité « Techkilat-i-Mahsoussé », Union du
Progrès, organisaient des troupes pour voler les arméniens de leur
richesse, c’était leur seul but. Ils furent livrer aux autorités,
mais n’ont jamais pu être condamnés. Celui qui n’exécutait pas leurs
ordres était sévèrement punis.
Tout musulmans qui protégeait un arménien était pendu devant son
logement et sa maison brûlait, cette dépêche était signé par le
commandant du 3 corps d’armée, Mahmoud Kiamil Un grande nombre de
massacres eu lieu aux alentours de Dersim.
Une autre dépêche, datant du 14 décembre 1331, par le vali
d’Erzurum, Munir Bey, nous relate du meurtre et du pillage de riche
arméniens, expédiés d’Erzurum. Ils avaient été commis par les
habitants de Dersim et par la bande organisée de Behaeddine Chakir
Bey, membre du Comité « Techkilat-i-Mahsoussé », Union du Progrès.
Beaucoup d’arméniens furent déporté, comme par exemple à Diyarbékir
où cents vingt mille durent prendre la fuite. Des Kurdes, comme la
bande à Alo, y prirent part, avec le soutient du Comité.
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