Après 40 numéros, il est temps de faire le bilan. Notre petit hebdomadaire a pris son envol et a fait son trou dans la famille. Après les balbutiments du départ, nous avons trouvé notre rythme de croisière. Si les rubriques n'ont pas changé depuis le n°1, la présentation s'est améliorée : le journal est maintenant sur papier ivoire et la police de caractère est plus appropriée. Nous informons nos lecteurs qu'au 1er octobre, le prix de l'abonnement annuel passera de 156 € à 170 € pour compenser les 8% d'augmentation des tarifs postaux et celle du papier. Le prix d'abonnement aux Lettres Fersanes passera de 18 à 20 €. Beaucoupde projets pour la rentrée : la sortie tant attendue du Mensonge antiraciste et de Le Soleil se lève à l'Est, la suite de la saga du Printemps de Strasbourg. La documentation a été réunie pour le quatrième rapport sur le racisme antifrançais (1998-2003)qui devrait sortir début 2004.

Chaque semaine, toute l’actualité en 10 pages. Déjà 40 numéros de parus.

- Cela fait désormais un mois que Le Libre Arverne paraît chaque semaine. Lorsque nous faisons la rétrospective des 26 premiers numéros, nous n’avons pas à rougir. « Un vrai régal ! » me glisse Serge de Beketch en parlant de l’hebdomadaire, « Bravo pour votre pugnacité. Vous renouez de belle façon avec la grande tradition polémique française. C'est avec un vif intérêt que je lis vos publications. Si la présentation est modeste, le contenu, lui, est très riche » déclare Marc Laudelout du Bulletin Célinien. En 26 numéros nous avons épinglé les mensonges des principaux journaux du système : Le Monde, Marianne, Le Point, Le Figaro, Actualité Juive, Le Pèlerin, Les Quatre Vérités, France Football, La Montagne, L’Humanité, Le Courrier Picard, Le Nouvel Observateur, Valeurs Actuelles, La Gazette de Jeanne-Lucienne, Elle., L’Express, 20 ans… Nous avons également évoqué les crimes racistes dont on ne parle jamais car les victimes sont « de souche ». Sur le plan de la politique étrangère, nous avons révélé le dessous des cartes dans les questions de la Côte d’Ivoire, de la Centrafrique, de l’Iran, de la deuxième Guerre du Golfe, la Serbie, la Russie, Israël, de la Turquie… Dans la rubrique culturelle, une large place est faite aux livres amis, ceux-là même dont la grande presse ne parlera jamais : Jacques Delcroix, José-Marie Bouchet, Claude Mouton, Vincent Reynouard, Andrew Mac Donald, Jean-Claude Lozac’hmeur, Jean-Yves Clouzet, Karen Darantière… Nos éditoriaux sont également le moyen de développer des points d’actualité, mais aussi de réagir sur les choses qui m’indignent. Et comme ma capacité d’indignation équivaut à celle de Léon Daudet, c’est parfois sportif… La rubrique politique, quant à elle, permet de comprendre le dessous des cartes et les connections entre les politiciens et les lobbies. A l’heure où la liberté d’expression se réduit comme peau de chagrin et que l’information s’uniformise, le soutien de la presse libre, de la presse rebelle est une nécessité. Comme je le disais dans Le Libre Arverne : « Un abonnement trimestriel au Libre Averne équivaut à 39 €, soit même pas un plein de gazole. Un abonnement annuel vaut 156 €, 3 pleins de gazole dans une Renault Laguna diesel. Prenez dans votre porte-monnaie une pièce de 50 centimes. Ce n’est même pas le prix d’une baguette. Cette petite pièce donnée chaque jour vous permettrait d’être abonné durant un an au Libre Arverne et aux Lettres Fersanes. Pour vous, cinquante centimes ce n’est rien. Pour nous, c’est beaucoup. Car cinquante centimes quotidiens, multipliés par 150 abonnés que nous espérons obtenir, multipliés par 365 jours, c’est tout simplement l’assurance de pouvoir exercer notre activité sereinement… Le soutien de la presse libre passe par ce petit sacrifice. En effet, nos ennemis peuvent compter sur les banques, les subventions de l’Etat, l’argent de la publicité et des trusts pour éponger leurs déficits. Nous non. Notre presse ne reçoit pas de soutien des partis politiques et c’est tant mieux : la liberté est à ce prix… » Aidez la presse libre, c’est pour vous que nous travaillons. Trouver les informations, les analyser, les décortiquer, les recouper, faire l’indispensable travail de recherches historiques pour la remettre en parallèle nécessite de s’y consacrer à plein temps. Nous avons besoin de vous…

"Je suis le suricate de Dieu : tendu sur mes pattes arrières, l’œil aux aguets, je scrute l’horizon et j’avertis ma tribu de l’imminence du danger…" (Henri de Fersan, éditorial du Libre Arverne n°16)