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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#01 / 24 octobre 2002 / EDITORIAL

   Amis de la rébellion, bonsoir ! Messieurs et Mesdames les collabos, les balles sont prêtes par paquet de douze… Nous devons la vérité à nos lecteurs. Le Libre Arverne quotidien n’était pas rentable. Pour ne pas léser ceux qui m’ont fait confiance, nous allons passer en hebdomadaire. Il paraîtra chaque jeudi, pour une somme de 3 € et un contenu de dix pages. C’est le prix à payer pour un journal libre qui n’est financé ni par les trusts, ni par les banques, ni par les partis, ni par les lobbies. Un journal libre, comme son patron. Ce sera la même formule avec les mêmes rubriques que celles du quotidien. La ligne éditoriale du journal ne changera pas. Toujours le même ton fersanien : compassion pour les petits, les sans-grades, insolence vis-à-vis des nantis et des puissants. Nous appliquerons toujours notre mot d’ordre : « Pas d’ennemis chez nous, pas d’amis en face ». Cet hebdomadaire se veut celui du panache français, celui de Cyrano de Bergerac. Me battre plume en main à un contre cent ne m e fait pas peur. Ce journal sera celui de la mémoire. Dans le jeu de rôle Warhammer (Marteau de Guerre), plus ou moins inspiré de l’univers de Tolkien, vit un peuple de forgeron, de mineurs et d’orfèvres, habiles aux combats à la hache et au marteau: les nains. Ces nains ont des sages qui méticuleusement tiennent un registre appelé Le livre de la rancune. Chaque offense, chaque trahison, chaque vilenie faite au peuple nain y est scrupuleusement notée pour que les jeunes générations n’oublient jamais et sachent pourquoi il faut s’occuper sérieusement (du genre « mettre les choses aux poings ») de ces grands prétentieux efféminés à oreilles pointues (les elfes)… Je serai ce sage nain (non ma chère épouse, je vous rassure, je ne me laisserai pas pousser la barbe et je ne boirai pas vingt chopes de bière par jour). Je prends note. J’archive. Je classe. J’anticipe sur un rôle futur de procureur après la libération, quand les nouveaux collabo seront châtiés à l’aune de leurs crimes, quand on épurera… Car o n ne nettoie pas les écuries d’Augias à la pelle et la balayette : Hercule lui-même n’a pas hésité à y détourner un fleuve pour y parvenir. Quand il faudra plonger les mains dans la merde pour faire le sale boulot, je ne me défilerais pas. Que les futurs épurés se rassurent. Nous ne pillerons pas leur maison. Nous ne les humilierons pas en les promenant nus dans les rues de la ville ou en leur faisant nettoyer les égouts avec leurs mains. Nous ne les ferons pas brûler vifs. Nous ne ferons pas de colliers avec leurs oreilles. Nous ne couperons pas les seins de leurs femmes et nous ne déshonorerons pas leurs cadavres. Nous ne violerons pas leurs gamines, nous ne les ferons pas copuler avec un chien, nous ne les obligerons pas à manger leur animal domestique… Je leur promets que nous ne ferons rien de tout cela. Pour la bonne et simple raison, messieurs les républicains et les démocrates, que nous ne sommes pas comme vous… Notre résistance n’est pas la vôtre…

   Qui sommes nous ? L’armée des sans voix, l’armée des sans droits, l’armée des sans papiers de l’Eglise et des sans-élus de la République. L’armée de ceux dont le régime ne veut pas. Je vous serre contre mon cœur, mes frères et sœurs en franchouillardise, mes frères et sœurs en goïtude… Comme je l’ai dis à de nombreuses reprises, nous serons des Spartacus de droite. Nous brandissons l’étendard de la résistances à l’oppression. Nous sommes les héritiers d’une longue lignée de héros et de martyrs. Nous sommes l’alpha et l’omega. Comme le peuple nain, nous n’avons rien oublié, même si la République discrimine nos morts. Les morts des Michelades, ceux de la Guerre de Vendée, les victimes de l’Affaire des Fiches et des Inventaires, celles de l’Epuration et celles de la Guerre d’Algérie… La société dans laquelle nous vivons, le régime que nous subissons, ne méritent pas de vivre. Nous en avons marre d’être des citoyens de dernière catégorie. Il y a dans ceux pays deux peuples : les Hexagonaux et les Français. Les premiers, nous les méprisons. Les seconds, nous les défendrons. Le 5 mai 2002 a été une date historique : celui de la partition de facto de la France entre collabos et résistants (les abstentionnistes du second tour sont assimilés à des crypto-résistants car je ne suis pas sectaire). Les vrais catholiques (ceux de la Tradition, pas ceux de la Secte conciliaire) sont nos frères de combat. Les Français qui votent nationalistes ou même ceux qui ne votent plus peuvent trouver chez nous aide et protection. Quant autres, qu’ils assument leurs choix, nous ne feront rien pour eux… Voyez vous, notre énergie est précieuse et nous ne la dilapiderons pas. Comme le disait Notre Seigneur, il ne faut pas donner des perles aux pourceaux…

Henri de FERSAN



ABONNEMENT (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN

Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#01 / 24 octobre 2002 / ARTICLE

QUAND LA PRESSE PARLE DE PATRICK HENRY

   Quand on me parle de Patrick Henry, je pense à sa petite victime, Philippe Bertrand. J’aurais pu être ce petit garçon. Nous avions tous les deux sept ans en 1976. Patrick Henry est un monstre froid, obsédé par le fric. Il n’y a chez lui pas l’ombre d’un remords… Dès sa sortie de prison, il a volé pour 80 € de marchandises dans un magasin de bricolage, puis il a frappé violemment une journaliste. Maintenant, il tombe pour trafic de drogue, activité qu’il exerçait déjà en prison en 1985. Bien entendu, on nous ressort toujours l’exemple du « criminel qui se réinsère ». Or, au moment même où Henry tombait à nouveau, un autre « remis en liberté », Georges Courtois, retournait en prison pour préparatif d’une attaque à main armée. Et qui a oublié Knobelpeiss ? Et tous ces pervers sexuels que l’on a libéré et qui ont recommencé aussitôt, les Dutroux, van Geloven, Guinet, Dugué et consort…

   Bien évidemment, ce ne sont absolument pas des « raisons morales » qui poussent les collabos de plume et de prétoire à vouloir la libération du tueur d’enfant. La preuve : si c’étaient vraiment les bonnes intentions qui les poussent, ils auraient activement participé aux demandes de libération de Michel Lajoye, incarcéré depuis 1987 à vie alors qu’il n’a ni tué, ni blessé… Et puis, que pèse la mort d’un enfant dans une société où on en extermine 200.000 par an, suite à une loi votée par une sœur de sang de la clique Badinter-Leclerc ? De plus, les mêmes qui « par humanité » demandaient la libération de Henry ont laissé crever en prison faute de soins Paul Touvier… En fait, la presse aime Henry car il est à l’aune de nos ploutocraties : obsédé par le fric et totalement hypocrite. Il s’est trouvé un éditeur, Calmann-Lévy (par ailleurs éditeur de plusieurs plumitifs de Ras l’Font dont le risible Roger Martin) pour lui avancer 100.000 € afin de raconter son histoire dégueulasse… C’est la prime accordée au crim e. Mais cela ne lui suffisait pas. Jaloux de la pouffe du Loft, il réclama 152.400 € pour vendre sa camelote à la télé… Ce n’est pas cent briques qu’il mérite, c’est douze balles ! Bien entendu, les médiats pleurnichent sur leur chouchou déchu, rivalisant dans l’abjection. Ainsi, L’Express déclare, emphatique : « pour les autres (nous en sommes à l’Express) tout homme recèle une parcelle d’espoir ». Allons, il suffit de lire les éditoriaux suintant de haine de Denis Jeambar pour être fixé sur la portée des belles paroles de L’Express qui valent bien celles de Patrick Henry… On ne sait que trop bien où à mené cette lavasse de la « rédemption par la prison » : Cayenne, Dachau, Kolyma… Dans Marianne, Anna Alter nous ressort la propagande éculée anti-peine de mort. Elle évoque la fierté qu’auraient eu les jurés à ne pas faire condamner à mort Henry. Elle parle de Badinter « hanté par le souvenir de la mise à mort en 1972 de ses clients Buffet et Bomtems ». Par contre, leurs victimes n’hantent pas Badinter, ni les bonnes consciences humanitaires, pas plus qu’elles ne sont hantées par les morts de la guerre de Vendée ou de l’Epuration. On sait bien que pour ces gens-là, un non-républicain, un homme de droite, un catholique n’est pas un être humain… La gauche a toujours eu une fascination malsaine pour les droits communs. En effet en période révolutionnaire, ils font d’excellents instigateurs d’un système de terreur : meurtres, pillage, sadisme gratuit.. les basses besognes de la cause républicaine. D’autre part, les cadres de la gauche révolutionnaire sont généralement composé d’escrocs et de droits communs (Lénine, Staline, Bela Kun, le colonel Fabien, le commandant Bayard, Malraux, Ceausescu). Drôle de pays où tuer un enfant est moins grave que de s’en prendre à des trafiquants de drogue. Cette société ne mérite pas de vivre disais-je dans mon éditorial. Ces médiats non plus. Patrick Henry encore moins… Mais contrairement à ce qui aurait dû lui arriver en 1977, à la libérati on, il ne va pas crever tout seul…


#01 / 24 octobre 2002 / ARTICLE

MANIPULATION RACISTE AUX ETATS- UNIS

   « Rebondissement » dans l’affaire du crime raciste de Central Park de 1989… Nous l’avions évoquée dans Le Racisme anti-français et anti-chrétien page 251. Rappelons les faits : le 19 avril 1989, une jeune femme blonde de 28 ans, vice-présidente d’une banque, fait son jogging dans le nord de Central Park. Au même moment, une quarantaine de nègres et de chicanos sèment la terreur dans le parc, attaquant une douzaine de personnes. La jeune joggeuse tombe entre leurs mains : violée et sodomisée à de nombreuses reprises, elle eût le crâne fracassé à coup de briques et de tuyau de plomb. Perdant les trois-quart de son sang, elle tomba dans le coma et mourut sans reprendre connaissance le 1er mai. Lors du premier procès, il n’y eut que trois inculpés : Yusef Salaam, Antron Mac Cray et Raymond Santana. Seule une charge de vol fut retenue contre eux suite à une décision ouvertement raciste du jury qui comptait en son sein quasiment que des noirs et des hispaniques… Pire, après pression des lobbies raciaux, un seul fut condamné lors du premier procès. En septembre 1990, un second procès eut lieu et cinq des violeurs, qui firent des aveux avec des détails prouvant leur culpabilité, furent condamnés à des peines légères allant de cinq à dix ans de prison… Or, hasard providentiel, un certain Matias Reyes s’accuse du meurtre. Bien évidemment, les organisations racistes pro-noirs demandent que « l’innocence » de leur frères soit reconnus. Comme lors des nombreux viols et meurtres racistes commis par des Noirs aux Etats-Unis contre des Blancs, le poids du lobby anti-blanc se fait de plus en plus sentir. Les racistes des jurys, les racistes des médiats et même maintenant les racistes de la police se liguent pour empêcher que justice soit rendue, comme à chaque fois…    Cette véritable injure faite à une petite sœur blanche victime de la haine et de la barbarie raciale des nègres montre que la seule solution pour supprimer les crimes racistes, c’est de séparer les races. Cette position est celle des vrais patriotes américains, quelque soient leur couleur de peau, qu’ils s’appellent David Duke ou Louis Farrakhan… Le guide suprême des afro-américains réclame un bout d’Amérique pour ses frères de couleur et il a raison. Chacun chez soi : que les Noirs fichent la paix aux Blancs et réciproquement ! Les banquiers noirs, cadres noirs, diplômés noirs peuvent fournir l’infrastructure intellectuelle du futur Black People Emirat vivant en parfaite intelligence avec les White States of America. Donnons-leur la Floride du nord, la Louisiane, le Mississipi… Donnons New York City aux Juifs, l’Oklahoma aux Amérindiens, Hawaï aux jaunes et le sud de la Californie, le sud de la Floride, Porto-Rico, l’Arizona et le Nouveau-Mexique aux Hispaniques (et bien sûr, le Texas indépendant). Chaque peuple vivrait en harmonie sur sa terre. C’est le cosmopolitisme qui engendre le racisme. Supprimez le premier, vous supprimerez le second…

 

 

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