Bernard-Henri Lévy est considéré par les Israéliens non pas comme un journaliste Français s’intéressant à Israël mais bel et bien comme un israélien vivant en France. L’homme incarne jusqu’à la nausée tout ce que nous combattons depuis toujours. Le paon de Beni-Saf incarne la république hexagonale dans toute son imposture et son abjection. Lévy, c’est la morale à sens unique, c’est le mal au nom de la démocratie, c’est le racisme talmudique le plus primaire. Il se prend pour un grand intellectuel mais ses livres ne doivent leur médiatisation qu’à son passé maoïste et à son appartenance ethnico-confessionnelle… Il n’a jamais travaillé pour vivre car son père est un magnat du bois qui le finance. Je n’ai ni sa notoriété, ni ses appuis familiaux, ni ses soutiens bancaires, ni ses réseaux publicitaires, mais moi au moins mes journaux ont déjà vécus plus longtemps que les siens… Dans Le Point du 25 octobre, il commente à sa manière l’ actualité. Il se dévoile, se démasque, révèle sa vraie nature. Pre nez vos visas, changez vos euros en shekels, nous allons étudier et disséquer le Lévitique (note à Maxime Brunerie : quand je dis disséquer, c’est une image littéraire, alors tu me lâches ce scalpel !). Pour commencer, un petit laïus contre les gaz à effets de serre. Il ne peut pas s’empêcher de proférer une ânerie… Lévy, c’est le Wiesel du CFC… Pas besoin de s’appeler Faurisson pour savoir que les « gaz à effet de serre » n’existent pas. Ou plutôt, ils n’ont pas les effets prétendus. Il a été prouvé que le réchauffement de la planète était tout à fait naturel et lié aux cycles de la température que nous commençons seulement à appréhender… Comme l’a démontré Pascal Bernardin dans L’Empire écologique, cette notion d’effets de serre vise en fait à imposer un mondialisme planétaire sous couvert de s’unir contre un péril mondial (les mondialistes iront même jusqu’à utiliser le « péril extra-terrestre »). Ensuite, BHL nous parle de la pornographie et attaque les associations de protection de l’enfance. Cette fois, il s’en prend à l’Enfant Bleu, l’association qui est montée au créneau contre le livre Rose Bonbon. Elle est même qualifiée de « Ligue de vertu », ce qui est dans la bouche de Lévy une assimilation au nazisme (il est l’auteur de la fameuse phrase : « La pureté mène à Auschwitz »). Je cite in-extenso la prose de B.H.L. afin qu’on ne nous accuse pas d’avoir déformé ses propos : « Provocateurs mécanisés et ligues de vertu pavlovisées… Voilà la sainte alliance du moment. Voilà le double visage, le double nom interchangeable de la niaiserie sexuelle contemporaine. « Rose bonbon » aurait pu s’intituler « L’enfant bleu ». Et « L’enfant bleu » pourrait s’appeler « Rose bonbon ». On ne peut pas faire pire dans le registre de l’attaque des associations de protection de l’enfance : la mise sur le même plan que les violeurs d’enfants. BHL s’oppose à la censure du livre Rose Bonbon sous prétexte que l’auteur n’aurait aucun talent et que le livre serait médiocre. Or, Lévy est l’un des plus hystériques dans l’exigence de la censure des ouvrages révisionnistes ou tout simplement nationalistes, tout en déclarant que leurs auteurs « n’ont aucun talent ». Censure d’un côté, liberté d’_expression de l’autre… Pourquoi cette différence ? Serait-il moins grave aux yeux de Lévy de violer une petite fille que de contester la version de la Seconde Guerre Mondiale imposée par la propagande soviéto-américaine ? En fait, quand on analyse les choses dans leur contexte, on s’aperçoit des parallèles de l’affaire. Il suffit de regarder la tête de l’auteur de Rose Bonbon pour y trouver des points communs avec BHL, essentiellement en ce qui concerne l’impudence nasale… De plus, quand on regarde qui contrôle le lobby porno, quand on sait que le Talmud autorise la pédomanie - et notamment en fixant l’âge autorisé des rapports sexuels pour les fillettes à l’âge de 36 MOIS – quand on se souvient de Bela Kun, on comprend mieux l’attitude de Lévy. A croire qu’il y a des généralités dans la complaisance ordurière et crasseuse ! Etalant sa science, il cite ensuite Karl Kraus : « Quand le soleil de la culture est bas sur l’horizon, même les nains projettent de grandes ombres ». Ça pour être ombrageux, il l’est le BHL…. Moi aussi je peux faire dans le lieu commun intello à deux balles : BHL me fait irrésistiblement penser à Confucius : « Quand on montre la lune du doigt, l’imbécile regarde le doigt ». Dans le cas de BHL, il se le met même dans l’œil ! Ensuite, il nous joue la rengaine de « la voix de la France » (est-ce que je soliloque sur la voix d’Israël moi ?). Selon lui, la France doit avoir une voix « en contrepoint » de celles de nos alliés. Autrement dit, suivisme des Etats-Unis menant la sarabande infernale du grand sabbat de ZOG. La voix de sa France (pas de la nôtre), c’est le Pathé Marconi (casher, le Pathé ?) du pauvre : la voix de son Maître. Ariel Sharon, le roi de la lessive suractivée qui « nettoie » les tâches palestiniennes aussi bien devant que derrière, de f ace comme dans le dos… BHL ne supporte pas « l’antiaméricanisme ». Et pour cause, les USA sont devenus une province israélienne : « Nous contrôlons les Etats-Unis et les Américains le savent » disait Sharon à Peres. Ensuite, une considération sur les « bons terroristes », ceux dont les intérêts servent la cause du mondialisme apatride, par opposition aux « mauvais » qui la desservent. Il la veut, sa guerre en Irak. Tu l’auras ta livre de chair, Shylock… Mais attention, ton peuple pourrait bien cette fois payer ce sang répandu à son juste prix ! Quand on lit froidement la prose Lévitique, on se dit : « A moi Drumont, à moi Pierce, à moi Rebatet, à moi Streicher ! » Ils avaient deviné, compris, déjà démonté le mécanisme de l’horreur absolue de cette haine infernale, du racisme le plus omniprésent au monde. Et lorsqu’on prend une planisphère, on regarde avec nostalgie Madagascar et on comprend qu’on n’a pas fini de payer le prix de la résistance du maréchal Pétain… Quelle est la différence entre Goebbe ls et Lévy ? Ils viennent tous les deux de la mouvance socialiste, ils sont tous les deux racistes, mais Goebbels, lui, avait du talent !

#03 / 7 novembre 2002 / ARTICLE

   Lorsqu’on lit L’Humanité, le portrait qui y est dressé des militants du FN est pour le moins peu flatteur. Ces derniers y sont représentés comme des individus ayant toutes les tares, notamment celle de délinquant de droit commun. Il est vrai que le Parti stalinien peut donner l’exemple : Marx a engrossé sa bonne sans en reconnaître la paternité, Lénine volait ses voisins, Staline braquait des banques, Trotski fraudait à l’héritage, Ceaucescu avait assassiné son patron… En France, le « colonel » Fabien était un pillard, de même que Malraux, le gendre de Marchais avait été arrêté pour dégradation de bien, séquestrations et actes de violence… On peut également évoquer le cas du pédophile Dugué, protégé par la CGT, Maxime Gremetz le pilote fou, etc, etc… Cette fois, c’est un conseiller municipal PCF de Bobigny, Yatera Gaye, de s’attirer les foudres de Thémis. Ce Béninois de 23 ans est animateur de quartier chargé de « l’intégration » des « jeunes ». Animateur, c’est un peu le show-business puisqu’il roule dans une grosse cylindrée et qu’il a une garde –robe pour le moins coûteuse… Il est vrai qu’en sus de son salaire, Gaye a de petits compléments : il vend des voitures « tombées du camion » et – bon épicier – s’est fait grossiste en poudre blanche. Le 25 octobre Gaye a été surpris en pleine tractation avec son fournisseur, une autre chance pour la France du nom de Bakari. A l’arrivée de la police, Bakari tamponne volontairement la voiture des policiers avec sa 306 pendant que Gaye s’enfuit avec sa Mégane. Après une course-poursuite à près de 180 km/h (digne du chauffeur de son camarade de Parti Gayssot), il est accidenté à Rosny-sous-Bois. Chez lui, les policiers trouvent une Audi volée en septembre 2001 sur l’A1, deux blocs de cannabis et des téléphones portables tombés du camion… Chez Lahcen, le garde du corps de Bakari, 60.000 euros en liquide, du haschich, un pistolet-mitrailleur Scorpio… Le maire a demandé à Gaye ne plus mettre les pieds au Conseil Municipal. Pourquoi ? Il sait déjà qu’il va êtr e libéré sous peu ?