Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.
#07 / 5 décembre 2002 / EDITORIAL
Depuis un mois et demi, je surfe sur Internet tel le beach boy de base. La révolution
Internet est équivalente à l’invention de l’imprimerie par Gütemberg. J’ai bien sûr jeté un coup d’œil
sur les sites ennemis : Ras l’Front, Fédération Anarchiste, Planning Familial, B’naï B’rith Québec,
Réseau Voltaire, SOS Racisme, j’en passe et des pires. La lecture de leur prose est édifiante comme le
disait le regretté Pierre Desproges dans La Minute de Monsieur Cyclopède. Grâce à Google, j’ai pu voir
qui parlait de moi. J’ai découvert avec stupeur que le patronyme Fersan existait en Turquie et qu’un
certain Rufik Fersan exerçait la profession de médecin, visiblement de renommée nationale. J’ai pu
surtout voir la débilité mentale pathologique de nos ennemis. Leur paranoïa devrait leur valoir
l’internement psychiatrique. Il suffit de voir ce qu’ils écrivent sur la droite nationale, sur nos
journaux, sur les Sauveteurs, sur l’Eglise de tradition pour avoir une idée de ce que pouvait être
l’URSS des purges staliniennes ou le Cambodge de Pol Pot. Ce qui frappe le plus, c’est que ces
démocrates en carton-pâte ont très exactement les travers (de porc évidemment) qu’ils reprochent
aux fascistes réels ou carrément fantasmés. Ainsi, sur le site de Ras l’Front Rouen, ils n’hésitent
pas à appeler au meurtre d’un responsable local du MNR. Il est amusant de constater que les joyeux
drilles de l’antifascisme crétinoïde pour étudiants attardés trépanés du cortex se pompent les uns
sur les autres (y compris les erreurs), ce qui permet de débusquer d’un coup les passerelles entre
les sous-terroristes de 25e zone et les mouvements institutionnels de la gauche plus rien… Le soucis
de la vérité n’est pas précisément ce qui les anime. Ainsi, la Ligue des Droits de l’Homme,
et l’Humanité reprennent les mêmes inepties à mon égard. Parlant du fameux colloque du 12 octobre
1998 sur le Racisme anti-français à Marignane où j’étais intervenu en compagnie de Jean-Yves
Le Gallou, Farid Smahi, Camille-Marie Galic, Maud Marin et Martin Peltier, ils prétendent que
j’avais déclaré que tous les hommes noirs violaient des femmes blondes en guise de rite
d’initiation. Le bobard, parti des staliniens du MRAP, est remonté par L’Humanité et redescendu
à la Ligue des Droits de l’Homme. La réalité était la suivante : interrogé par Martin Peltier
sur les viols collectifs racistes (on n’appelait pas encore cela des tournantes), j’avais évoqué
le cas des sinistres bandes de « Zoulous » qui terrorisent la région parisienne à travers
certains faits-divers, notamment le viol de la jeune Nathalie le jour de l’an 1995. J’avais
alors rappelé l’attitude du journal Le Monde qui avait déclaré le 12 mars 1995 que ce faits-divers
ne les intéressait pas, la victime étant française… Les méthodes de clouage au pilori par
l’extrême gauche sont les suivantes : tout d’abord, il prennent une personnalité de la mouvance
nationaliste que nous appellerons Dupont. Membre du FN, Dupont est intervenu dans un colloque
organisé par Durand. Durand est donc assimilé à la Peste Brune. Il se trouve que Durand est
membre du Club de l’Horloge dont le député RPR Dugland a été également membre. Voilà Dugland
devenu fasciste honoris causa. Et ainsi de suite. C’est par ce genre de raisonnement délirant
que nos ennemis parviennent à de conclusions du type l’Opus Dei finance le FN ou Madelin
taupe de l’extrême droite. Il en est de même en ce qui concerne les débats historiques. Ainsi,
on décrète que tel ou tel auteur sur la seconde guerre mondiale (notamment Suvorov et Bacque)
ne sont pas crédibles mais sans apporter la moindre contre-preuve !
Henri de FERSAN
ABONNEMENT (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN
Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….
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#07 / 5 décembre 2002 / ARTICLE
QUAND LIBERATION DONNE LA PAROLE A SALMAN RUSHDIE…
Le plus rasoir des polygraphes du sous-continent indien revient sur le devant de
la scène. Attention, on peut s’attendre au pire : un nouveau livre en gestation… Son article paru
dans Libération du 29 novembre est intitulé « Une compagnie de démons ». Mazette… Les démons susnommés
sont tous ceux qui luttent contre l’islamisme. A priori, on pourrait se sentir interpellé au niveau du
vécu, comme on dit dans Libé, pour le combat de Rushdie. Après tout, la géopolitique contemporaine révèle
une poussée islamique sur ses frontières : Indonésie, Philippines, Australie, France, Côte d’Ivoire,
Cachemire, Gujarât, Tchétchenie, Afghanistan, Sin Kiang… Mais dans son argumentation, Salman Ruhdie montre
pour qui il travaille et révèle pourquoi on ne peut pas le suivre… Nous refuserons d’échapper au choléra
islamique à la condition de mourir pour la peste sioniste. Ni Salomon, ni Slimane, telle a toujours été
notre devise. Rushdie attaque ainsi une émission de la télévision égyptienne réalisée par Mohammed Sohbi,
Horseman without a Horse , inspirée des Protocoles des Sages de Sion. Rushdie s’indigne que Sohbi évoque
« la liberté d’_expression ». Mieux, il qualifie ce fameux livre de « document qui défend l’idée d’une
« conspiration juive d’ordre mondial » et dont on a depuis longtemps prouvé qu’il s’agissait d’une
invention de la police secrète du tsar Nicolas II » Le problème, c’est qu’il est prouvé que si les
Protocoles sont bel et bien apocryphes, ils n’en sont pas moins vrais. Il s’agit tout simplement,
comme je l’ai dit et répété à de très nombreuses reprises, d’une compilation de différents livres
juifs écrit entre 1776 et 1858 environ… Rushdie fait par contre une constatation intéressante : sa
vision de la société ne concerne qu’une toute petite minorité de musulmans. L’immense majorité ne
désavoue pas les violences commises au nom de l’Islam. En fait, l’Islam modéré n’existe tout simplement pas…
#07 / 5 décembre 2002 / ARTICLE
DANS LES ECOLES SUD-AFRICAINES
Les sociétés métissées engendrent la violence pour une raison fort compréhensible.
La mixité sexuelle et raciale est un détonateur chaotique, d’autant plus exponentiel lorsque les
deux conditions sont cumulées. Depuis que le pouvoir blanc s’est effondré en Afrique du Sud et que
celle-ci est livrée à la mafia nègre, on assiste à une explosion de la barbarie sexuelle y compris
dans le domaine scolaire. Ainsi, de nombreuses jeunes filles, y compris des blanches, abandonnent
leurs études devant les risques d’être violées. Une enquête réalisée dans la région du Natal,
dans celle de Gauteng et dans celle du Cap occidental montre de très nombreux cas d’agressions
sexuelles commises contre les filles par les garçons de leur classe quand ce n’est pas par leurs
professeurs ou par l’encadrement scolaire. Les adultes utilisent leur pouvoir d’autorité pour
obliger les filles à céder à leurs avances soit en menaçant de les battre, soit en leur donnant
de l’argent ou de meilleures notes. La commission d’enquête donne ainsi l’exemple d’une adolescente
de quinze ans droguée et violée par l’un de ses professeurs qui lui avait demandé de venir le voir
chez lui. La jeune fille n’a pas porté plainte car elle avait déjà été violée une fois et personne
ne l’avait crûe… Elle décida cependant d’avertir sa mère lorsque le professeur lui ordonna de revenir
le lendemain en lui promettant de lui donner de bonnes notes si elle se laissait faire. Le proviseur
refusa d’agir et leur interdit de porter plainte, car pour lui, il fallait « traiter cela en
interne » (c’est-à-dire ne rien faire) Finalement, elles passèrent outre. Aucune sanction ne
fut prise contre l’enseignant et on découvrit que dans ce collège, six adolescentes entre 14 et
16 ans avaient été violées par ce professeur. Aucune élève n’est à l’abri, même les jeunes
filles blanches des écoles renommées fréquentées majoritairement par les leucodermes. Le moindre
noir présent est un risque potentiel. De 1996 à 1998, 40 % des victimes de viol avaient
moins de 17 ans. A 18 ans, une jeune fille de Johannesburg sur cinq a été violée au
moins une fois. Mais tout va bien, puisque l’Afrique du Sud est une DE-MO-CRA-TIE !!!
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