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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#08 / 12 décembre 2002 / EDITORIAL

   L’Aveu. Ils ont osé l’écrire noir sur blanc. Les tenants de la secte holocaustique viennent d’avouer qu’ils mentent et pourquoi ils mentent. L’aveu vient de Primo Levi, sorte d’Elie Wiesel transalpin, dans son livre Lilith à la page 162. Consacré une fois encore aux heures les plus sombres de leur histoire, ce livre s’achève ainsi : « … de tout ce que tu viens de lire, tu pourras déduire que le mensonge est un péché pour les autres, et pour nous une vertu. Le mensonge ne fait qu’un avec notre métier : il convient que nous mentions par la parole, par les yeux, par le sourire, par l’habit. Non pas seulement pour tromper les patients ; tu le sais, notre propos est plus élevé, et le mensonge, et non le tour de poignet, fait notre véritable force. Avec le mensonge, patiemment appris et pieusement exercé, si Dieu nous assiste, nous arriverons à dominer ce pays et peut-être le monde : mais cela ne pourra se faire qu’à la condition d’avoir su mentir mieux et plus longtemps que nos adversaires. Je ne le verrai pas, mais toi tu le verras : ce sera un nouvel âge d’or, où seules les dernières extrémités pourront nous mettre dans la triste nécessité d’arracher encore des dents, tandis qu’il nous suffira, pour gouverner l’Etat et administrer la chose publique, de prodiguer les pieux mensonges que nous aurons sû, entre-temps, porter à la perfection. Si nous nous révélons capable de cela, l’empire des arracheurs de dents s’étendra de l’Orient à l’Occident jusqu’aux îles les plus lointaines, et n’aura pas de fin ». Eternelle fatalité juive. On les croit surpuissants et invulnérables et tout d’un coup, ils commettent l’erreur qui fait s’écrouler tout leur édifice. Pour qui a la patience d’éplucher tous leurs écrits, on s’aperçoit en fait de l’effroyable imposture. Lors du procès opposant le dissident germano-canadien Ernst Zündel à ses tourmenteurs, l’un des grands prêtres de la religion holocaustique, Raul Hilberg, s’était totalement effondré à la barre. L’un des grands témoins, le juif slovaque Rudolf Vrba avoua avoir fait usage de « licence poétique », c’est-à-dire avoir raconté n’importe quoi… Or Vrba était le témoin principal officiel de la prétendue Shoah. Comme le disait Yeats, le centre s’effondre et tout se décompose inexorablement. Malgré sa solidité officielle, le monument de mensonge en place depuis 1945 commence à s’écrouler. Il ne s’agit pas non plus de crier victoire trop vite. Cependant, à la lumière des travaux de tous ces martyrs de la liberté d’_expression et de la libre recherche, plus aucune personne sensée ne peut croire à la version officielle de la Seconde Guerre Mondiale. Nous ne nions pas que les Juifs ont souffert. Mais ni plus, ni moins que les autres peuples européens impliqués dans le conflit. Raisonnablement, on peut estimer la saignée subie par la population juive durant la guerre à 10 % environ de sa population, ce qui est considérable, similaire aux pertes de l’Allemagne et de la Pologne, mais inférieure à celles de la Russie (environ 20 %) et surtout des pays Baltes (la Lituanie a perdu plus de 25 % de sa population)… L’aveu de Livi ne fait que rejoindre ceux de Vrba, les contradictions de Wiesel et de Hilberg, le « but contre son camp » de Pressac, les élucubrations de Halter, de Gray et de Wiesenthal. Sans parler de ce véritable soutien à la vérité historique que fut Norman Finkielstein. Chaque Français doit connaître cette page 162 de Lilith et demander au lobby les raisons de ces propos… Inutile de préciser que l’on pourra attendre la réponse jusqu’à la fin des temps. Nous vivons dans un monde d’autistes. Une petite coterie sûre d’elle-même et dominatrice voulant conserver ses privilèges se cramponne à sa légende. Elle refuse d’admettre la vérité, même devant les preuves accablantes de ses menteries. Au moins, l’affaire de l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale montre à qui nous ne pourrons plus désormais faire confiance…

Henri de FERSAN



ABONNEMENT (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN

Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#08 / 12 décembre 2002 / ARTICLE

LELLOUCHE RENFORCE LE RACISME JUDICIAIRE

   Demander à Pierre Lellouche de faire une loi sur le racisme, ce serait comme demander à Rothschild de légiférer sur les acquis sociaux. Très proche des milieux extrémistes juifs (voir à ce sujet L’Imposture antiraciste), sa loi est imposée dans un contexte très particulier qui, alors que les Français de souche n’y sont pour rien, va encore accentuer la répression contre eux. Officiellement, cette loi de préférence judaïque, un pas de plus dans le renforcement du racisme judiciaire officiel, est destinée à combattre toutes les manifestations de racisme. Il n’en est rien. La réalité, c’est que seuls l’antisémitisme et le racisme anti-allogène (sauf bien sûr d’éventuelles agressions commises par les Juifs contre les immigrés) seront réprimés. Lellocuhe a justifié cette loi par ces propos hallucinants : « La France est confrontée à des phénomènes de violence racistes inédits, qui font échos aux heures les plus sombres de notre histoire ». Lellouche est rejoint par le calamiteux Bédier, député-maire de Chanteloup-les-Vignes qui ose déclarer que : « les infractions de droit commun, commises pour des motifs racistes, antisémites ou xénophobes se sont pas, sauf exception, prises en compte en tant que telles par le Code Pénal ». Désormais, un crime raciste vaudra à son auteur 20 ans de prison (si, bien sûr, le coupable est aryen). L’incendie raciste d’un lieu de culte (sauf, bien entendu, une église catholique) coûtera 75.000 euros d’amende. Plusieurs députés de l’opposition voulurent également que cette loi censure la prétendue « homophobie ». Nous reviendrons sur cet aspect des choses dans le numéro 22 des Lettres Fersanes (janvier 2003).

   Si on suit attentivement cette loi, elle vise à défendre les Juifs et accessoirement les autres personnes de couleur. Cette loi ne sera donc appliquée que contre les Gaulois. La médiatisation des quelques actes d’incivilités commis contre les Juifs ont servi de prétexte. Au fond, ces derniers arrangent considérablement les affaires de la communauté. Le plan du lobby est très bien goupillé. Tout d’abord, il fallait faire peur aux Juifs de France pour en inciter le plus possible à rentrer en Israël. N’oublions pas que juste avant la vague « d’attentats », le Ministre du Tourisme de Sharon déclarait que les communautés juives de France et d’Afrique du Sud étaient des réservoirs dans lesquelles il fallait puiser. Or, comment faire accepter à des gens vivants dans un pays ayant encore de beaux restes (la France) pour un autre où des attentats, bien réels ceux-là, frappent hebdomadairement la population ? Tout simplement, en leur faisant peur. Mais de qui les Juifs peuvent-ils avoir peur ? De l’extrême droite ? Plus personne ne prend au sérieux cette menace au sein de la communauté. Les skins sont les éternels monstres du Loch Ness et la scission du Front National en 1998 avait atténué la peur paranoïaque que celui-ci provoquait. Comme méchant potentiel, restait donc la communauté maghrébine. Du jour au lendemain, comme un seul golem, toute la presse découvrit alors la situation dans les banlieues. Chacun apportait sa pierre à l’édifice. On commençait à découvrir que le véritable mobile de la plupart des crimes et délits commis en banlieue était la haine anti-blanche, que les Maghrébins étaient majoritaires dans les actes de délinquance, qu’il existait des zones de non-droit, que des viols collectifs étaient commis dans les caves des cités… Bref, la presse recopiait avec de très nombreuses années de retard tout ce que les journalistes libres écrivaient dans Le Libre Journal, dans National Hebdo, dans Présent ou dans Rivarol. Il suffisait de lire dès 1997 Le Racisme anti-français pour avoir une idée de ce qui se passait dans les banlieues ethniques. Chaque semaine dans Actualité Juive, est narré dans le détail la moindre remarque à haute voix faite par un Maghrébin contre un Israélite… Il fallait un message fort pour faire comprendre aux Afro-Maghrébins que s’ils pouvaient toujours commettre leurs crimes racistes contre la population de souche, il leur était particulièrement recommandé de laisser tranquille la « race supérieure ». Dans un premier temps, on sur-médiatisait la délinquance antisémite alors que celle-ci est pour le moins dérisoire. Cette tactique avait pour but de faire comprendre aux beurs qu’il y avait du racisme halal et du racisme halouf. Ensuite, il fallait rassurer la population musulmane : si casser du youdi était interdit, casser du roumi était encore parfaitement autorisé. Il y eu donc toute une campagne de presse pour dire « qu’il ne fallait pas faire d’amalgame ». La loi Lellouche est très exactement conforme à ce pistolet à deux coups : se servir du prétendu antisémitisme pour faire passer la loi (votée à l’unanimité, tous les députés se prosternant devant Moloch) qui, ce que les Beurs savent très bien, ne sera destinée qu’aux « de souches ». La presse ne s’y est pas trompée. Prenons le quotidien des amis de M. Lellouche : Le Figaro. Une certaine Cécile Gabizon nous fait pleurer sur « l’antisémitisme » que les Maghrébins font peser sur les Juifs de Seine-Saint-Denis. A la lecture du récit, on constate qu’ils sont beaucoup mieux traités que les Blancs y vivant. Cependant, le fait est grave aux yeux de Lellouche et de sa clique. Il est bien plus raciste d’injurier un membre de la « race élue » que de violer collectivement une petite goja… Il en est de même pour tous les journaux. Ces petits cloportes (© Serge de Beketch) savent très bien qui paie à la fin du mois.

   Cette loi se veut aussi répressive que celles des autres nations européennes, notamment l’Italie, l’Allemagne, l’Autriche, le Portugal et la Norvège. Seul le courageux petit Danemark respecte encore l’égalité des droits en fonction de la race. Cependant, la loi Lellouche peut avoir un aspect positif. Ainsi, en Grande-Bretagne, une agression est considérée comme raciste si la victime l’a ressentie comme telle. Résultat, la population blanche se sent si abandonnée par le gouvernement que celle-ci commence à comprendre les bienfaits de la révolte armée, comme à Brighton et Oldham qui, aux yeux des jeunes blancs, auront une autre notoriété que celles de leurs clubs de football…

   Moi que ne suis pas député, j’ai une loi très courte qui du jour au lendemain mettra fin au racisme et à l’antisémitisme en France. Article 1 : toute personne d’origine juive n’ayant pas explicitement reniée celle-ci sera immédiatement expulsée en Israël. Article 2 : toute personne de confession musulmane n’ayant pas souscrit aux 25 critères d’assimilation à la société française sera expulsée vers son pays d’origine. Article 3 : Toute personne de souche ayant tenter d’entraver la bonne application de l’article 1 et de l’article 2 verra ses toxines intellectuelles purgées à l’huile de ricin et auront des comptes à rendre à la justice du peuple. Et je vous promets que le jour où cette loi sera appliquée, Lellouche prendra place dans le premier avion pour Tel-Aviv avec dans la poche son passeport israélien. Son passeport français, lui, aura été brûlé depuis longtemps sur la place publique. Les bulletins de vote ne servent plus à rien face à la pieuvre mondialiste. Deauville, Sentier, territoires occupés, à Paris comme à Gaza, Intifada !




#08 / 12 décembre 2002 / ARTICLE

QUAND LE MONDE PARLE DE L’ISLAM…

   Le « respectable » quotidien vespéral est décidément l’organe de toutes les collaborations… Après s’être fait le vecteur inlassable de l’impérialisme soviétique, il continue son active collaboration mais cette fois au profit de l’Islam. Pour Le Monde, les Musulmans sont toujours d’innocentes victimes du vaste complot raciste international (sauf bien sûr quand ils s’en prennent aux Juifs, il faut quand même ménager le maître). Dernier exemple en date, l’article paru dans le quotidien du soir et du Grand Soir du 3 décembre concernant une « recrudescence » de l’opposition à l’Islam en Australie. Suite à l’attentat de Bali où une discothèque bondée d’Aussies avait été le théâtre d’un son et lumières à la voiture piégée offert gracieusement par les islamistes locaux, la population de l’île-continent a pris en grippe les colons musulmans de leur pays. Il est vrai que les compatriotes de Crocodile Dundee sont issus d’une colonie de forçats et de filles de joie - sans parler de tous les paumés de la Perfide Albion et même d’orphelins déportés – et qu’ils n’ont pas hésité à bâtir leur nation sur les cadavres de milliers d’aborigènes, liquidés par tous les moyens, du fusil à l’alcool et même une bombe atomique (Montebello, 1950). Autant dire qu’il ne faut pas leur courir longtemps sur le kangourou… Il va de soi que les tenants de la bigoterie antiraciste à la française fustigent le sympathique peuple australien pour ses manifestations viriles d’autodéfense, citant diverses récriminations de la presse mondialiste australienne. Cependant, cet article est des plus édifiants. Ainsi, une féministe australienne (Germaine Greer) prend partie pour les fils d’Allah, dont on sait tout le respect qu’ils ont pour les femmes, en déclarant dans les colonnes de The Age : « La tension entre musulmans et non-musulmans augmente chaque jour, alimentée par les médias ». Autre journal prostitué à la haute finance, le Herald : « L’Australie connaît des épisodes de bigoterie religieuse, de monoculturalisme, de racisme et de xénophobie cruellement encouragés par la radio (…) il émerge un courant selon lequel les musulmans sont violents, indignes de confiance et que les gouvernements passés ont trahit les Australiens avec leur politique d’immigration qui a encouragé une diversité de coutumes, de langues et de pratiques religieuses ». Un écrivain de Melbourne : Randa Abdel-Fattah, se demande quel est l’avenir des musulmans en Australie. La réponse tient en un mot : « Adieu ». Bien entendu, Le Monde évoque l’affaire des viols racistes de Sydney, où un gang de musulmans ont violé et torturé des dizaines de jeunes filles uniquement pour le crime d’avoir la peau blanche et la chevelure blonde ou rousse, et qui a probablement pesé aussi lourd, sinon plus, que l’attentat de Bali dans le contentieux entre Australiens et immigrés musulmans. Pour eux, ces tortionnaires sont simplement « accusés » de viol, et ce, malgré la condamnation de leur chef à 55 ans de prison. Par contre, il se précipite ventre à terre pour publier les délires du porte-parole des Musulmans Libanais Australiens (communauté dont sont issus les violeurs qu’il n’a jamais condamnés). Mais il est vrai que Le Monde n’a jamais fait preuve de la moindre compassion pour une victime du racisme anti-blanc, tout comme pour les victimes non-gauchistes du communisme… Pour Le Monde, quand un Musulman, un Juif ou un communiste commet un crime, l’information est toujours traitée au conditionnel. Mais si le présumé coupable s’avère blanc ou de droite, l’information est traitée comme si elle était avérée… Nous sommes en guerre et l’ennemi, ce sont eux. Comme le chante Légion 88 sur l’air de La Ballade des gens heureux : « Journaliste, tu adhères au MRAP, attend mon pote que je t’attrape un peu… Je vais utiliser toutes mes balles pour te rendre plus silencieux (bis) ».

 

 

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