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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#14 / 23 janvier 2003 / EDITORIAL

  Faut-il brûler les journaux gratuits ? Même dans nos milieux, le débat est ouvert. L’un des plus implacables adversaires de ce type de presse est mon ancien compagnon de galère toulonnaise, Michel Blanzat, qui collabore aussi au Libre Journal de la France Courtoisie (et est l’auteur de l’immortel « Joyeuse bonne nuit ! »). Il déclare que ces journaux ne sont en fait que des supports publicitaires à la solde des multinationales destinés à nous vendre leur « société glocale » et leur « nouvel ordre mondial ». Certes, je suis entièrement d’accord avec Micha sur ce point, mais la disparition de toute la presse aux ordres ne peux que réjouir le cœur de l’honnête homme. Dans son numéro du 20 janvier, Marianne pleurniche ainsi sur le sort des valets de presse et consacre une demi-page à la crise de celle-ci. Pour commencer, les « traîtres » sont fustigés : « Ce sont des coups très durs que les pseudo-quotidiens gratuits portent à notre confrère Libération. Or Frédéric Filloux, le directeur de la rédaction de 20 minutes, est un ancien directeur de Libé, tandis que l’éditorialiste de Métro est un ancien chef du service économique de Libé, le très « néo-libéral » Pierre Besançon. Quant à Christine Ockrent qui officie en compagnie de Serge July sur France 3, elle est chroniqueuse à Métro. Parfois, on en vient à se demander : y a-t-il une morale dans cette profession ? » Se poser cette question, c’est comme demander s’il y a de la pudeur chez une actrice de films porno. Les maîtres ayant décidé de réduire la domesticité, panique à bord à l’office… Si la profusion de journaux gratuits permet de faire couler Le Monde, Libération, et toute la presse aux ordres, alors j’applaudis des deux mains. Ces journaux, de toutes façons, sont déjà des supports publicitaires qui se moquent de l’opinion de leurs lecteurs parce que ce ne sont pas eux qui les font vivre. Serge de Beketch, un authentique professionnel de presse lui, l’avait dit et redit dans les colonnes de son décadaire. Les bailleurs de fonds ont décidé que comme les gens lisent de moins en moins les journaux qui sont de plus en plus discrédités, alors autant les donner, cela ne leur coûtera pas plus cher… Après tout, Libération coûte aux banques 2,13 millions d’euros par an et Le Monde le double. On ne me demandera pas d’être solidaire de tous ceux qui vont se retrouver au chômage et ce pour une raison bien simple… Nous sommes des gens libres et la liberté cela se paie. Etre un journaliste libre, cela signifie être privé du statut d’être humain par ces fameux « journalistes ». Cela signifie ne vivre que de nos lecteurs, des gens formidables qui paient le prix fort pour avoir des journaux riches en contenus mais pauvres en présentation, tenant parfois plus du samizdat que du journal. Mais ne vivons-nous pas en régime totalitaire ? Etre libre, cela signifie vivre quotidiennement dans la crainte de l’huissier porteur de « papier bleu », signe d’un procès pour crime de lèse-majesté… Etre libre, c’est danser sur la corde quand ce n’est pas devant le buffet, sans attendre le début du quart d’une once d’un commencement de solidarité de nos prétendus confrères… Nous sommes des gueux, la cause est entendue, mais des gueux libres. Mieux vaut marcher à pied avec nos trois sous de France plutôt que de rouler carrosse avec l’or de Wall Street… Selon Marianne, Libération traverse des moments difficiles à cause de la concurrence des journaux gratuits. Moi, si Libération en mourrait, j’aurais autant de chagrin qu’en eut Libération lors de la mort du Choc du mois, écrasé d’amendes, devant payer 300.000 francs de dommages et intérêts pour un entretien avec le professeur Faurisson. Mon dossier « Libération » fait un kilo. Un kilo d’articles de haine, de diffamations, d’injures anti-nationales, anti-catholiques, anti-tout ce qui n’est pas politiquement conforme, le tout orné de dessins à faire passer Au Pilori pour un modèle d’amour de l’autre. Franchement, la disparition de ce journal me laissera de marbre. Pour tout dire, je serais même prêt à sacrifier une bouteille de champagne. On dis que lorsque un journal meurt (sauf un journal de notre bord bien sûr…), c’est un peu de démocratie qui s’en va. Ça tombe bien, je ne suis pas démocrate…

Henri de FERSAN




ABONNEMENT (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN

Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#14 / 23 janvier 2003 / ARTICLE

DEUX SOUS-MARINS NUCLEAIRES POUR L’INDE

  La marine indienne va-t-elle revenir dans le club des pays détenteurs de sous-marins à propulsion nucléaire qu’elle avait quitté en 1991 ? Montant en puissance depuis le début des années quatre-vingt, l’armée indienne aligne une force navale nettement supérieure à celle de sa rivale pakistanaise. L’Inde aligne deux porte-avions (le Viraat, l’ancien Hermes de la guerre des Malouines, et le Vikraant, l’ancien croiseur-porte-avions russe Admiral Gorshkov, lui-même l’ancien Bakou soviétique) contre aucun pour le Pakistan. L’Inde aligne 4 sous-marins allemands Type 209 (plus 2 en construction), 9 sous-marins russes de classe Kilo (plus un en construction et 2 en projet) et 4 sous-marins lance-missiles russes de classe Fox-Trot contre 2 sous-marins français Agosta (transformés en lance-missiles), 3 en commande et 4 sous-marins français de classe Daphné dont même la marine portugaise ne voulait plus… En ce qui concerne les navires de surface, la supériorité navale indienne est tout aussi écrasante : l’Inde aligne 7 destroyers (2 Delhi fabriqués localement et 5 Kashin II russes) et projette un Delhi de plus contre rien pour le Pakistan ; elle aligne 12 frégates (3 russes Godavari, 5 britanniques Leander et 4 russes Peyta II) contre 9 pour le Pakistan (3 américaines de classe Gearing – datant de la 2e guerre mondiale - , 6 britanniques de classe Amazon, et 2 britanniques de classe Leander) ; 23 corvettes (5 indiennes de classe Khukri, 11 russes de classe Tarantul I, 4 russes de classe Pauk II et 3 russes de classe Nanuchka II, plus 3 Khukri et 5 Tarantul en commande) contre 4 corvettes chinoises de classe Huangfang pour le Pakistan (plus trois corvettes pakistanaises de classe Jalalat en fabrication). En terminologie navale internationale, le rapport de force est le suivant (Inde/Pakistan) : CVG (2/0), SSG (4/2), SS (13/4), DDG (5/0), DD (5), FFG (8/11), FF (4), CO (23/4)… Il n’y pas photo ! La marine pakistanaise a perdu gros dans la rupture de son alliance militaire avec les Etats-Unis car elle a dû restituer sans compensation les 8 destroyers américains de classe Brooke que les Etats-Unis avait loués. Le gouvernement pakistanais doit regretter de ne pas avoir utilisé l’argent à l’achat ferme de trois destroyers allemands de type Meko-2000 comme il en avait été question à l’origine. L’arrivée de deux sous-marins nucléaires dans la marine indienne va placer sa rivale pakistanaise dans une position plus que délicate. D’après les éléments qui ont filtré, l’Inde projetterait de construire par ses propres moyens pas moins de 5 sous-marins nucléaires lanceurs d’engins et un nombre indéterminé de sous-marin nucléaire d’attaque. Lorsqu’elle a loué le sous-marin nucléaire russe de classe Charlie II, capable notamment de tirer des missiles de croisière, de 1988 à 1991 (qu’elle avait appelé Chakra, cette annonce avait tellement surpris les Américains que lorsque des rumeurs de cette nature avaient circulé, ils avaient décidé que les sous-marins ne pouvaient être des Charlie mais au mieux des Victor III…), l’Inde a pu étudier de près la technique de fabrication des coques (elle en a la maîtrise désormais) et surtout la technique de fabrication de la propulsion nucléaire qu’elle tente de développer dans le Centre de Testage des Prototypes « Indira Gandhi » à Kalpakkam (pour le réacteur à eau de 190 mégawatts de puissance) et à Vishakapatnam (pour les turbines principales). Les missiles de croisières que l’Inde compte embarquer sur ses sous-marins seront également de fabrication locale : le Sagarika (océanique, en hindi) conceptualisé en 1994 et qui sera opérationnel en 2005, dont la portée utile est de 300 km (1000 selon la propagande indienne). Cependant, en attendant la mise sur cale de ses sous-marins nucléaires made in India, New Delhi se tourne de nouveau vers Moscou pour s’en faire prêter deux unités jusqu’à la sortie des vaisseaux. Selon le commandant en chef de la marine russe, l’amiral Vladimir Kouroyedov, celle-ci va prêter deux sous-marins à l’Inde et non des moindres, construits spécialement pour l’occasion ! Le premier d’entre eux, qui s’appellera Nerpa, est un Akula II, ce qui se fait de meilleur au monde. Il est mis en chantier à Amourskiy, sur la côte Pacifique. Un sister-ship est construit à Severodvinsk (sur la Mer Blanche) et portera le nom de Kougar. Il va de soit que l’Inde les rebaptisera de noms indiens, la tradition voulant qu’ils portent la lettre C. Ils s’appelleront donc probablement Chakra (en hommage au précédent) et Chitra (comme devait s’appeler un deuxième Charlie jamais commandé). D’après des sources russes, ces sous-marins auraient été achetés en leasing, l’Inde ayant versé 100 millions d’euros en premier versement. Pour la première fois, un pays aurait donc vendu un sous-marin nucléaire à un autre pays, le tout en parfaite légalité car les réacteurs nucléaires ne sont pas concernés par le Traité de Non-Prolifération nucléaire… Les deux sous-marins seront livrés en 2004. l’achat final devrait être conclu en 2009.




#14 / 23 janvier 2003 / ARTICLE

AZF : LA PRESSE DASSAULT PERSISTE

  Les trois titres phares du groupe Dassault (L’Express¸ Le Figaro, Valeurs Actuelles) continuent de pilonner la thèse officielle de l’accident dans l’explosion de l’usine AZF de Toulouse, par opposition à la presse juive de gauche (Libération, Marianne) qui s’y cramponne… Dans Le Figaro du 16 janvier, les 8 « curiosités » de cette tragédie sont résumées. La première concerne la disparition de 20 kilos de trioxyde de chrome (ou Chrome VI) extrêmement explosif quand il est mis en contact avec du nitrate d’ammonium… ce que contenait le fameux hangar 221. Ces 20 kilos se présentaient sous la forme de 12 flacons de 1.700 grammes chacun dont deux devaient être livrés le 27 juillet et dix le 30. Un seul est arrivé à destination le 27 et dix autres, sensés être arrivés à l’usine le 7 août, ont disparu le jour même, probablement « tombés du camion » comme leur petit camarade du 27. La justice ne s’est absolument pas intéressée à ces flacons ni à ce qu’ils sont devenus… Deuxième interrogation, à la période de la disparition des flacons, AZF avait parmi ses employés un certain Samir A, agent intérimaire embauché fin juillet et qui a quitté son travail le 21 septembre une demi-heure avant l’explosion, prétextant un mal de ventre. Détail intéressant, la police a retrouvé chez lui une commande de 18.288 € de CD-ROM sur les « Constantes physico-chimiques ». De plus, il est titulaire d’un DEUG de technologie. La justice ne s’est pas du tout intéressée à lui… Troisième mystère : Hassan J. l’homme aux cinq slips et caleçons. Lui aussi était employé intérimaire chez AZF (drôle de management…). Le jour de sa mort, il avait embauché à 4 heures 30 et devait finir son travail à 12 heures 30. L’explosion eut lieu à 10 heures 17. Pourtant, Hassan portait un bleu de travail impeccable, était « bien mis » alors qu’il était sensé travailler depuis 6 heures… « Cet homme savait qu’il allait mourir » ont déclaré à son sujet les membres du personnel de l’hôpital Purpan. Originaire de Tunisie, Hassan est connu comme proche de la mouvance islamiste depuis la fin de l’an 2000, notamment d’un petit « émir » local : Miloud R. Curiosité numéro quatre : la « disparition » opportune d’éléments clés du dossier , notamment l’original du rapport du médecin légiste qui a examiné le corps de Hassan J. Autre disparition : le dossier de la liste des morts : 23 ou 21 morts ? Cinquième curiosité : les contradictions des proches de Hassan J. lors de sa première audition, le 25 septembre, la compagne d’Hassan explique que ce dernier «portait un caleçon et un slip parce qu’il se trouvait un peu mince et qu’il voulait créer une épaisseur à ce niveau». Mais lorsque le policier précise qu’Hassan a été retrouvé avec, non pas deux mais cinq épaisseurs de sous-vêtements. elle n’a «aucune explication à donner sinon que ce n’était pas un homme violent ou méchant, Il n’aurait pas pu faire de mal à qui que ce soit». Une semaine plus tard, devant un autre enquêteur, la jeune femme déclare cette fois: «Hassan avait coutume de porter plusieurs sous-vêtements, parfois trois, parfois quatre. Il faisait cela tous les jours parce qu’il se trouvait trop maigre.» Les médecins qui ont pratiqué l’autopsie parlent d’un homme de «corpulence normale». Interrogé à son tour, le père d’Hassan déclare, le 2 octobre, toujours à propos de la tenue de son fils: «J’ignorais ce détail et je n’en comprends pas l’utilité. Sa femme a dit à la police que c’était parce qu’il se trouvait trop maigre du bassin. Il n’a jamais fait état auprès de sa mère, de son frère ou de moi-même d’un tel complexe.» Le lendemain, l’une des sœurs d’Hassan affirme que son frère portait plusieurs sous-vêtements «pour donner plus d’importance à son gabarit», et que son père porte lui aussi plusieurs sous-vêtements pour les mêmes raisons. Malgré ces contradictions, les policiers du SRPJ ne procéderont à aucune confrontation. Pour leur part, les amis et les proches certifient avec les mêmes formulations qu’Hassan « buvait de l’alcool, fumait du shit, ne faisait pas le ramadan, ne disait pas les prières, n’allait pas à la mosquée», etc. Lors de sa première audition, sa compagne, avec qui il venait de se marier religieusement (mais pas civilement) déclare quant à elle : «Hassan était croyant mais, malgré sa ferveur religieuse, il ne fréquentait pas les mosquées. Par contre, il respectait le ramadan.» Elle confie aussi qu’« avant de le connaître» elle n’avait «aucune pratique religieuse» mais qu’«à son contact», elle a voulu «s’initier aux rites musulmans». Or, dans cette affaire comme dans les autres, il faut savoir que comme leurs demi-frères juifs, les Maghrébins pratiquent la solidarité raciale conformément à ce qui est écrit dans le Coran. Les lois de la République, lois des roumis ou lois des goïm, ne sont respectées que lorsque cela les arrange. Ils savent pratiquer la solidarité raciale contre les Gaulois. Leurs premiers aveux ont été spontanés, puis, ensuite, ils se sont concertés et rétractés pour imposer une version officielle… On passe ainsi à la sixième curiosité : l’appartement d’Hassan J. a été totalement vidé… Un policier toulousain témoignait le 4 octobre dans les colonnes du Parisien : « A la réunion, on propose de perquisitionner dés le lendemain matin (23 septembre 2001) au domicile de la victime (celui d’Hassan J.), En termes policiers, nous n’avons pas le droit de fermer cette porte d’office. Comme seule réponse des chefs, l’un de nous a été chargé du dossier comme on refile une patate chaude, avec, en gros. interdiction de bouger. Il n’a eu le droit d’aller perquisitionner que vendredi matin, soit cinq jours après. Autant de temps perdu, déplore le policier. Dans l’appartement, tout était clean. Même plus d’habits, même plus de photos. Plus rien.». Cette version nous a été confirmée en décembre 2001, par un autre policier dont Le Figaro publia le témoignage le 16 janvier : «L’appartement avait été plus que nettoyé: il était stérilisé. Maintenant on est cuit. On a pris une semaine de retard et, dans une enquête judiciaire, un tel retard ne se rattrape jamais. Une fois que le ménage a été fait, on n’a plus que ce que le ménage nous a laissé.» Seul Le Figaro sera poursuivi par la compagne d’Hassan J. Lors de la perquisition, la jeune femme a pourtant bel et bien déclaré aux policiers: «Je me suis débarrassée des affaires d’Hassan, notamment de ses vêtements et de certains documents lui appartenant. Je ne voulais pas garder ces souvenirs à la maison, car c’est trop cruel pour moi. J’ai donc jeté les vêtements à la poubelle et j’ai remis les documents à ses parents ». Lorsque, le 24 octobre 2001, les policiers de la DCPJ demandent à l’ambassade d’Israël en France, toujours pour les besoins de l’enquête, s’il est « habituel que les proches (des auteurs d’attentats suicides) se débarrassent de leurs effets personnels». ils obtiennent cette réponse : «Si cela se fait, il est logique de penser que la famille essaie de cette manière de cacher l’implication dans l’acte terroriste ». La septième curiosité est dans les cinq revendications d’attentat parvenues aux gendarmes, à la presse (France 3 Sud, Télé-Toulouse, La Dépêche du Midi) et à la police dans la semaine qui a suivi l’explosion. Leur existence n’a jamais été officiellement évoquée afin d’accréditer l’idée officielle que l’explosion de l’usine n’ayant pas été revendiquée, celle-ci ne pouvait être que d’origine accidentelle. L’une de ces revendications a pourtant été envoyée depuis un fax installé au Centre de traitement de l’alerte des pompiers de Haute-Garonne. Son responsable a expliqué au policier venu l’interroger, le 2 octobre 2001. que les lignes téléphoniques de son service ont été «piratées par des individus opérant d’Angleterre et téléphonant dans le monde entier». L’investigation s’arrêtera là. Dernière curiosité enfin, le 21 septembre 2001, vers 11h30, soit une heure et quart seulement après le drame, les gendarmes de l’escadron départemental de sécurité routière d’Agen arrêtent deux voitures au péage autoroutier de Valence d’Agen (82), à une centaine de kilomètres au nord-ouest de la ville rose. Selon les PC, qui révèlent ce fait dans leur note du 3 octobre 2001. cinq individus se trouvent à bord de ces deux véhicules, dont le fameux Miloud R.. le fils du fondateur. L’un des deux véhicules, une Renault Laguna break, a eu la lunette arrière brisée par l’explosion d’AZF comme l’expliquent aux gendarmes, les occupants du véhicule, ce qui signifie qu’au moment où ils ont quitté Toulouse, ils se trouvaient à une distance suffisamment proche de l’usine. Les gendarmes d’Agen ont confirmé la semaine dernière que ce contrôle, effectué à la demande expresse des PC de Toulouse, a bel et bien eu lieu mais qu’ils n’ont reçu depuis aucune visite de policier du SRPJ dans le cadre de l’enquête judiciaire sur l’explosion d’AZF. Pourtant le SRPJ affirmait, dans son rapport d’étape du 4 juin 2002 que : « toutes les informations contenues dans le rapport des PC ont été vérifiées. En l’état actuel de nos investigations la piste criminelle n’est pas avérée ». La conclusion coule de source : l’enquête a été purement et simplement sabotée. Il ne fallait surtout pas que l’opinion publique puisse penser qu’il s’agissait d’un attentat, surtout à quelques mois des présidentielles. On remarque encore une fois que c’est la magistrature, largement gangrenée par la gauche et l’extrême gauche qui est à l’origine de cet état de fait. Les collabos de l’islamisme, héritiers d’ailleurs des collabos du marxisme, tiennent la justice, le pouvoir, les médiats et une grande part de la police. Pour l’opinion publique, cela devait être un accident. Afin de verrouiller totalement le dossier, le pouvoir activa ses relais dans l’extrême gauche, notamment Marianne et France Infos afin d’accréditer la thèse burlesque d’un complot du lobby pétrolier qui lancerait la rumeur de l’attentat pour ne pas avoir à payer les assurances. La vérité n’est pas si éloignée : il y a bien eu manipulation. Mais il vient du pouvoir qui utilise « la thèse de l’accident » pour cacher la vérité : nos Talibanlieusards, sans l’aide d’un quelconque enturbanné, ont commis tous seuls un attentat qui a fait 23 morts et saccagé une part importante de la ville… On ne parle d’attentat que lorsque le petit peuple sûr de lui et dominateur est touché. Dans le cas de Toulouse, le bilan est de 20 goïm et 3 chahids… Béziers, Limoges, La Courneuve, Strasbourg, Toulouse… Jalons d’une guerre civile menée contre les Gaulois et rien que contre les Gaulois… Ce sont nos morts, c’est notre sang qui coule. A nous de leur rendre justice. Pour cela, on peut très bien y arriver nous-mêmes. Nous n’avons pas besoin de faux amis qui nous font des risettes afin que l’on se batte à leur place et pour leurs intérêts et qui nous poignarderont dans le dos dès qu’on aura besoin d’eux. Nous avons suffisamment de visages pâles à défendre sans avoir à intervenir dans les querelles internes de la famille sémite…

 

 

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