hdf.fr.fm
saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#20 / 6 mars 2003 / EDITORIAL

  Je vous promets que les propos qui vont suivre sont bien sortis de la bouche de Georges Walker Bush Jr, président des Etats-Unis d’Amérique, Capo del Capi de la mafia mondialiste, homme politique censé être le plus puissant de la planète. Même l’amiral Benson, le président gaffeur et gâteux de Hot Shots II n’aurait pas réalisé le tour de force d’un tel florilège… Démocrate : « Je vous ai dit qu'il y aurait quelques fois où nous ne serions pas d'accord les uns avec les autres. Mais c'est OK. Si c'était une dictature, ce serait vraiment plus facile, du moins tant que je suis le dictateur. » Ouvert d’esprit : « Je ne suis pas d’accord avec cette motion qui, d’une manière ou d'une autre, si j'essaye d'attirer les votes et de mener le peuple à de meilleurs lendemains – d’une manière ou d’une autre j’approuverai toute doctrine qui m’approuvera. ». Drag Queen : « Le travail le plus important n'est pas d'être gouverneur, ou la première dame du pays dans mon cas ». Stalinien : « Je suis attentif à la différence entre la branche exécutive et la branche législative. J'ai assuré à quatre de ces leaders que je connais la différence, et que la différence est qu'ils votent les lois et que j'exécute les leaders » Géopoliticien : « La grande majorité de nos importations vient de l'extérieur du pays» Ecologiste : « Ce n'est pas la pollution qui fait du mal à l'environnement. Ce sont les impuretés dans notre air et notre eau qui font ça.» Homme de parole : « Je m'en tiens à toutes les déclarations manquées que j'ai faites ». Philosophe : « Si nous ne réussissons pas, nous courons le risque de l'échec.». Politologue : « Un faible taux de participation aux élections est une indication que moins de gens vont aux urnes » Kennedyiste : « Je sais que l'être humain et le poisson peuvent coexister en paix » Assistant social : « Je pense qu'il est important pour ceux d'entre nous qui sont en position de responsabilité d'être fermes dans le partage de nos expériences, pour comprendre que les bébés hors mariage sont une corvée difficile autant pour les mamans que pour les bébés. (...) Et, vous savez, avec optimisme, les préservatifs marcheront, mais ça n'a pas marché ». Routier : « Je pense que nous avons besoin non seulement d'éliminer le péage pour la classe moyenne, je pense que nous devrions démolir les péages ». Prudent : « Je crois que nous sommes dans un mouvement irréversible vers plus de liberté et plus de démocratie - mais ça pourrait changer ». Optimiste : « Le futur sera meilleur demain » Cuistot : « Nous devrions faire les tartes plus grandes ». Comme le disait Pierre Desproges : « Etonnant, non ? ».Remarquez que le frère de Bush, gouverneur de Floride, n’est pas mal non plus… Jeb Bush, frère du président des Etats-Unis, était venu en Espagne pour renforcer les liens économiques entre les deux pays, mais sa visite s'est achevée lundi sur une gaffe renvoyant ses hôtes à un passé douloureux lorsque, par erreur, il a remercié « le Président de la République espagnole » lorsqu'il a tenu à féliciter le Premier ministre espagnol José Maria Aznar, dont le titre officiel est président du gouvernement. « J’aimerais conclure en remerciant le président de la République d'Espagne pour son amitié avec les Etats-Unis », a déclaré Jeb Bush aux journalistes, dans un espagnol courant teinté d'accent de Floride. Il avait juste oublié que l’Espagne n’avait été que quelques années une république : du 11 février 1873 au 29 décembre 1874 (dont le premier président, Stanislas Figuéras, était l’arrière-grand-père d’André Figuéras) et du 14 avril 1931 au 29 septembre 1936, les partisans de la dictature communiste continuant de sévir dans la partie orientale du pays avant la libération totale de l’Espagne par les Franquistes le 1er avril 1939. Lors d'une autre gaffe restée célèbre, George W. Bush avait appelé les Grecs des « Gréciens ». Et ça dirige le pays le plus puissant du monde et ses milliers de têtes nucléaires…

Henri de FERSAN



#20 / 6 mars 2003 / SOMMAIRE

EDITORIAL

POLITIQUE : Ferry veut combattre le "racisme à l'école"

PRESSE-MEDIATS : Quand La Gazette de Jeanne-Lucienne reparle de moi
Le Monde tel qu'il hait

AFFAIRES ETRANGERES : L'Irak accepte la destruction de son potentiel ballistique
Recrudescence du terrorisme d'extrême gauche

SOCIETE : Un collège incendié à Orléans
Les trois petits cochons interdit
Emeutes à Nîmes
Tam-tam et violon
Fumeur de joint qui traîne à la fac...

SPORTS : Football
Rugby
Formule 1

CULTURE : Il y a 50 ans, Staline payait sa "trahison" de 1947
Il y a 20 ans, Hergé mourrait
Nous avons reçu : Diana Vaughan, l'affaire Léo Taxil au scanner (collectif)


ABONNEMENT (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN


Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#20 / 6 mars 2003 / ARTICLE

IL Y A CINQUANTE ANS, STALINE PAYAIT SA « TRAHISON » DE 1947…

 Le 5 mars, les émissions de radio cessaient immédiatement en URSS : le tyran Staline venait de mourir. Le monde communiste est en deuil. Aussitôt, en France, les adeptes de totalitarisme pleurent leur idole trépassée… Voici ce que signaient les intellectuels communistes le 29 mars 1953, au nombre desquels le professeur Emile Baulieu, l’inventeur du pesticide humain RU-486 (Aaron Blum à l’état civil) : « La terrible nouvelle nous a rapprochés plus encore du peuple soviétique notre frère, de vous, nos collègues, des dirigeants de l'Etat soviétique, du camarade G. Malenkov, fidèle continuateur du camarade Staline, du P.C. de l'Union soviétique, guide du prolétariat et des intellectuels révolutionnaires du monde entier. Ayant pris pour thème de nos travaux les notions de « l'objectivité des lois de la nature et de la société et ses conséquences »et de « humanisme socialiste », c'est tout naturellement que nous avons été conduits à placer au centre de nos discussions l'étude de cette encyclopédie du marxisme-léninisme, que constitue l'œuvre du camarade Staline et notamment de ces « Problèmes, économiques du socialisme en U.R.S.S. »qui sont la base de la formation idéologique de tous les communistes. Au cours de ces journées, chacun de nous a mieux mesuré encore combien l'étude de cet ouvrage enrichissait sa propre science, quelle qu'elle soit, et fournissait à son combat une arme d'une immense force mobilisatrice. Chacun de nous a pu vérifier qu'elle était profondément vraie, l'affirmation de notre camarade Maurice Thorez que la publication de cet ouvrage « constitue un événement capital dans la vie idéologique de tous les partis communistes ». Et chacun de nous a pris l'engagement de s'inspirer, tant dans la lutte idéologique que dans la lutte politique, des enseignements de celui qui restera à jamais l'un des plus grands génies scientifique de l'histoire, de l'immortel Staline .Mieux armés à l'issue de ces journées, grâce à l'étude des classiques du marxisme-léninisme stalinien, aux enseignements de Joseph Vissarionovitch Staline, à la sollicitude constante de notre Parti, aux œuvres de Maurice Thorez le meilleur stalinien de France, nous partons à la conquête de larges couches d'intellectuels que nous saurons entraîner et diriger dans le nécessaire combat pour la paix, pour l'indépendance nationale, pour le socialisme, la pensée tournée vers le radieux pays de nos éducateurs, le pays de Lénine et de Staline, l'Union des républiques socialistes soviétiques ». Pourtant, Staline n’est pas mort naturellement. Il a été assassiné par une faction rivale du PCUS (Parti Communiste de l’Union Soviétique) qui ne lui a pas pardonné son revirement de 1947. Remontons quelques années en arrière… En 1922, quand il est certain que Lénine n’est plus en état de diriger, deux dirigeants communistes s’affrontent ouvertement pour la succession. Le premier incarne le judaïsme talmudique, le second incarne le nationalisme juif. Deux conceptions ennemies, sauf quand il s’agit de s’en prendre aux goïm… Le premier était Lev Bronstein, alias Trotski, le second Josif Djougatchvili, alias Staline. Devant la victoire de Staline, et devant la fragilité de l’URSS naissante, la haute finance apatride décida donc de soutenir Staline. En 1941, Staline devait même devenir le maître de l’Europe, mais l’effondrement imprévisible de la France permit à l’Allemagne de frapper la première et, au prix de son sacrifice, de sauver la moitié de l’Europe. Survint lors l’année maudite pour les communistes : 1947. Staline décida de retourner ses alliances et de ne rouler que pour lui. En s’appuyant sur les Juifs fidèles (Ehrenbourg, Vychinski, Jdanov, Kaganovitch) il liquida les juifs internationalistes. Tollé à Washington. On accusa alors Staline d’antisémitisme, ce qui est grotesque (voir L’Imposture antiraciste¸ de l’auteur) . L’URSS devint subitement : « le pays du mal ». On laissa s’exprimer le dissident Kravchenko, on monta en épingles les rares cas de persécutions « antisémites », centrées en fait contre la faction juive rivale… Il restait quelques juifs internationalistes de premier plan : le premier était l’ancien bras droit de Kaganovitch en Ukraine : Salomon Perlmutter, alias Nikita Khrouchtchev. Le second était le futur chef du KGB (ex NKVD) : Youri Faynstein, alias Youri Andropov, Georgi Malenkov (beau-frère de Khrouchtchev) et de Vorochilov, caution goy. Les révélations faites par Kapanadse, un agent du KGB passé à l’Ouest, disent que Staline a été assassiné le 2 mars. Le 14 mars, un autre juif anti-internationaliste, le Tchèque Clément Gottwald, sera à son tour « décédé ». La répression sera féroce à l’encontre des fidèles de Staline, juifs ou goïm : Beria, Abakoumov, Tatchev, Komarov, Leonov et le général Vlassili Staline seront liquidés. Et la détente s’instaura : tant que des patriotes et des chrétiens croupissaient dans les Goulag, l’URSS était fréquentable… Il est intéressant de faire un parallèle entre le traitement médiatique de l’URSS et celui des banlieues : tant que la victime est banalement aryenne, rien de bien inquiétant pour les médiats, mais que communistes ou musulmans s’en prennent au soi-disant « peuple élu », et les voilà voués aux gémonies. C’est une question de savoir vivre, paraît-il. Une histoire de protocole en quelque sorte…




#20 / 6 mars 2003 / ARTICLE

FERRY VEUT COMBATTRE LE « RACISME A L’ECOLE »

  Une fois encore, la République nous crache son racisme anti-Français en pleine figure. Cette fois, c’est Luc Ferry, digne arrière-petit-fils de « Ferry-le-Tonkinois » (lire à ce sujet Jules l’Imposteur, le très bon livre de François Brigneau). Drumont disait de Jules : « Il était l’exécuteur prédestiné des œuvres infâmes de l’Intérieur… Il est féroce contre tout ce qui est faible, et volontiers implacable contre tout ce qui est noble et généreux ». Franc-maçon marié à une grande bourgeoise protestante, il persécutera impitoyablement les catholiques, tout en étant l’un des politiciens les plus véreux de la IIIe République et un valet servile du grand capital apatride. Bon chien chassant de race, Ferry II, ramassé par Raffarin dans les poubelles du Parti Socialiste et recyclé à l’UMP (normal quand on s’appelle Ferry) trouve un nouveau bouc émissaire : les Français de souche. Il est vrai que la famille Ferry est liée par mariage au pédophile F.: Le Troquer et à l’escroc apatride Oustric, l’ami de Léon Blum… Luc Ferry partage le goût de son arrière-grand-père pour les L.: : il a planché à plusieurs reprises, tant pour la GLNF (13 mai 1997) que pour la GLF (6 décembre 1997) ou le Grand Orient (25 mars 1997)… Ferry est un chaud partisan de l’exclusion de 20 % de la population française : il s’était signalé dès 1992 par un refus du retour à la proportionnelle. Ferry a donc proposé « dix mesures » pour lutter contre un soi-disant « racisme à l’école ». Cela fait des années que les petits Français des deux sexes sont agressés, injuriés, victimes de brimades racistes, voir même de viols par les Maghrébins. Cela fait des années que les catholiques sont victimes de propos racistes tenus par les professeurs. Mais les autorités morales et les médiats regardent ailleurs. La situation au Proche-Orient prenant la tournure qui est la sienne actuellement, les Juifs subissent de plein fouet la politique de Sharon. Aussitôt, dès le premier coup de sifflet, la presse s’aligne et ressasse les mêmes histoires sur « les pauvres élèves juifs victimes des vilains musulmans ». Ferry annonce : le racisme ne passera pas. Son projet est une véritable provocation. Dans sa conception actuelle, il n’y a que les Gaulois qui ne seront pas protégés. Pire, ce seront eux qui seront victimes de la répression, car on voit mal un jeune Juif être condamné pour « racisme anti-Maghrébin ». Le renforcement de la loi Pleven par Lellouche le bien nommé ne vise évidemment que « la race inférieure », celle qui est officiellement discriminée : le Gaulois. Nous aurons l’occasion d’en reparler dans le prochain rapport sur le racisme anti-français. Comme pour la violence dans les banlieues et les tournantes, le régime et ses feuilles de propagande n’ont commencé à s’intéresser à la situation que lorsque les Juifs (ou les filles arabes) en ont été les victimes. Ce qui ne fait que confirmer que les Gaulois sont considérés comme quantité négligeable par les autorités. Détruis la République avant que ce ne soit elle qui ne te détruise…

 

 

Hosted by www.Geocities.ws

1