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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#21 / 13 mars 2003 / EDITORIAL

  L’histoire qui va suivre est arrivée à une personne de ma connaissance. Une mère de famille traditionaliste avait commis l’erreur de placer ses cinq enfants en âge scolaire dans l’école de sa ville plutôt que de les confier aux nôtres. C’est une faute, mais nous ne sommes pas là pour l’accabler, ce n’est pas l’aspect intéressant de l’affaire. Cette mère de famille venait juste d’emménager dans cette commune de la banlieue clermontoise qui n’est pas sans rappeler certaines villes de l’ouest parisien, notamment avec la présence de cette même bourgeoisie libérale qui ne jure que par Jacques Chirac et Le Figaro… Des gens qui, si vous les aviez croisés en 1936, vous auraient fait adhérer chez Doriot aussi sec… Il y a aussi dans cette ville quelque chose de plus répugnant qu’un bourgeois libéral : des bourgeois de gauche, les fameux « bobos » (ce qui signifie bourgeois bohême mais fait également allusion à ce qui va leur arriver quand on va mettre la main dessus… ) Dans cette petite ville tranquille, la rumeur commençait à enfler. La famille qui habitait céans n’était pas « comme les autres ». D’abord, il y avait six enfants, c’est suspect. Ensuite, les voisins voyaient tous les vendredis soir et tous les dimanches matin tout ce petit monde partir à la messe. Les enfants étaient plus polis, plus cultivés que les leurs… Jalousie, mesquinerie, la politique vient se greffer là-dessus. Par une série « d’assimilation-déduction », certains en ont donc conclu que cette famille était fasciste. En tout cas, je peux certifier que la famille en question n’a milité ni au Front National ni au Mouvement National Républicain. Moi je suis fasciste. Je sais reconnaître un comilitaro dès le premier regard. Cette famille là n’est pas fasciste, mais plutôt ce qu’on appelle aux Etats-Unis : Right wing. A table, les réflexions ont dû fuser et ne sont pas tombées dans les oreilles de sourds… L’enfant est naturellement moutonnier et quand les parents, les profs, la télévision et même les revues pour enfants jettent l’opprobre sur une catégorie de personnes en raison de ses opinions politiques ou de ses convictions religieuses, c’est donc que c’est bien et qu’il faut faire la même chose… A la récréation, quelques mots volèrent bas, des mots dont les enfants qui les proférèrent ne comprenaient pas le sens. Des mots faisant allusion à un système politique en vigueur de 1922 à 1945 dans divers pays européens… Simplement, ils sont tombés sur un os de taille : la maman…. Si le papa est un cadre (je ne l’ai jamais vu autrement qu’en costume-cravate, le dimanche comme en semaine) plutôt effacé, la maman, elle, est du genre lionne. Malheur à qui s’attaque à sa progéniture : il termine en charpie avant d’avoir compris ce qui lui arrive… Bref, celle-ci attrapa bourgeois et bobos, qui par le foulard Hermès, qui par l’écharpe de soie et lança une idée en l’air. Une idée qui doucha plus glacialement l’assemblée que le but à la 79e minute de Gigghia le 16 juillet 1950 en finale de Coupe du Monde (Brésil 1 Uruguay 2) ne pétrifia le public du stade Maracana de Rio de Janeiro.. Puisque sa famille était indésirable dans la commune, elle allait vendre la maison en baissant considérablement le prix afin de permettre à une famille Maghrébine de s’y installer. Une famille du genre Sidi, Fatma et Yaouled x 8… Le cri des voisins vint du cœur : « Mais vous ne pouvez pas nous faire ça !!! » Répugnants cloportes. Voilà de tristes tartuffes qui ont voté le 5 mai « pour faire barrage au fascisme et au racisme », qui se sont réjouis de la victoire de Cordero Marin alias Chirac sur fond de youyous et de drapeaux algériens, qui ont ouvert les hostilités contre cette paisible famille catholique qui ne demandait rien à personne, bref, qui se voulaient « démocrates et républicains », mais qui hurlent à la mort : « pas de bougnoules chez nous ! » dès qu’ils se trouvent dans une perspective de connaître eux-même le brassage des populations qu’ils appellent pourtant de leurs vœux. Les gens de cette ville sont vraiment trop larvaires et méritent d’être châtiés. J’espère qu’un jour, cette famille amie mettra sa menace à exécution. Quelle leçon en tirer ? Tout simplement que nous, les exclus, avons parfois des armes de représailles auxquelles nous ne pensons pas. L’histoire des guerres a prouvé que trois ou quatre petits sabotages judicieusement sélectionnés peuvent faire plus de dégâts à l’ennemi que trois divisions blindées…

Henri de FERSAN



#21 / 13 mars 2003 / SOMMAIRE

EDITORIAL

POLITIQUE : LELLOUCHE DEFEND SON PAYS : ISRAEL
FIASCO TOTAL DE LA MANIF EN FAVEUR DE LA GUERRE SIONISTE
CHIRAC CHEZ SES DEMI-FRERES

PRESSE-MEDIATS : QUAND LE MONDE PLEURNICHE SUR SON SORT
LE CHEF DES JUIFS RESSASSE SA HAINE ANTICHRETIENNE DANS LE FIGARO

AFFAIRES ETRANGERES : ATTENTAT EN PALESTINE OCCUPEE
SERBIE : UN COLLABO LIQUIDE
LEGISLATIVE EN ESTONIE

SOCIETE : L'AGRESSEUR DE PAUL VOISE ARRETE
ETATS-UNIS : LE RACISME ANTI-BLANC LE PLUS REPENDU

SPORTS : FOOTBALL
RUGBY
FORMULE UN

CULTURE : IL Y A QUARANTE ANS, JEAN-MARIE BASTIEN-THIRY ETAIT ASSASSINE PAR LES GAULLISTES
NOUS AVONS RECU : De l'Algérie Française à l'expiation, Pierre Delhomme (Claude Mouton)


ABONNEMENT (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN


Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#21 / 13 mars 2003 / ARTICLE

IL Y A QUARANTE ANS, JEAN-MARIE BASTIEN-THIRY ETAIT ASSASSINE PAR LES GAULLISTES…

 Nous avons notre mémoire. Parmi nos héros et nos martyrs, comment ne pas penser au lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, assassiné sur ordre de De Gaulle le lundi 11 mars 1963 au Fort d’Ivry à 6 heures 42 après avoir été extrait de la cellule 59 de la 3e division de la Santé. Bastien-Thiry était Lorrain, lieutenant-colonel dans l’armée de l’Air et l’inventeur de deux missiles anti-chars, les SS-10 et SS-11. Il avait 36 ans et laissait une veuve et trois petites orphelines, Hélène, Odile et Agnès. L’officier de police responsable chargé du convoiement de l’officier martyr déclarait : « Il semblait enveloppé d’une auréole » (Le Libre Journal de la France Courtoise n°120, 19 mars 1997, page 17). « Un homme est mort qui faisait honneur à la France, percé de balles, une apparence… On ne fusille pas une âme » déclarait Rivarol le 14 mars 1963. Notons que ce policier a eu la décence de refuser d’assister à la fusillade et de faire circuler à coups de matraque par la police les requins de presse écrite et filmée venus se repaître du spectacle. « Son visage était celui d’un enfant doux et généreux » dit de lui Bernard Le Coroller, l’un de ses trois avocats. Rosaire en main, le lieutenant-colonel Bastien-Thiry est mort en voulant abattre le tyran, ce colonel de réserve vaniteux qui fut tour à tour le lâche de Douaumont, l’obscur « riz-pain-sel », le vaincu de Montcornet, le planqué de Londres, le sanguinaire de l’épuration, le déserteur politique de 1946, le conjuré de 1958, le menteur de la Guerre d’Algérie, le bradeur d’Empire, le responsable du génocide harki et de la purification ethnique des Pieds Noirs , le fuyard de 1968 venu pleurer misère dans le giron de Massu et le démissionnaire de 1969. Le Matin avait raison, de Gaulle aurait mieux fait de s’appeler de Galilée.. Parlant de sa victime il lança, avec le répugnant cynisme qui fut son trait de caractère principale (ce que les férus d’astrologie appellent « la face sombre du Scorpion ») : «Celui-là, ils pourront en faire un héros, il le mérite ». Puisqu’on parle de Bastien-Thiry, nos confrères de Rivarol ont donné un scoop incroyable dans leur numéro du 28 février : c’est Marcel Dassault lui-même qui aurait financé l’attentat, peut-être pour se débarrasser d’un président par trop arabophile qui choquait la conscience juive de Dassault. Selon Bastien-Thiry, Giscard d’Estaing aurait également renseigné l’OAS, lorgnant sur le poste de Premier Ministre en cas de mort de de Gaulle et donc arrivée probable de Pompidou à l’Elysée. Il y a quelque part en Algérie une tombe creusée à la sauvette ou un charnier dans lequel repose un corps. Ce corps, c’est celui de l’oncle de ma femme, assassiné par les fellouzes après son enlèvement le 20 juillet 1962. Il y a la douleur d’une mère, celle d’une sœur, qui ne pourront jamais aller fleurir aux Défunts (le 2 novembre) la tombe du disparu et qui savent que le responsable de la mort de cet être cher est due au vieux tyran mégalomane, avide de pouvoir, de gloire et de sang. Un Napoléon sans sa gloire mais avec son sang… Je pense souvent à Jean-Marie Bastien-Thiry, comme je pense à ce jeune milicien bordelais et à ce tireur d’élite allemand qui eurent un instant Charles le dérisoire dans leur viseur. La balle salvatrice n’est jamais partie. Il y a des plaies qui ne se refermeront jamais, tout simplement parce que cela fait quarante ans qu’on y verse vinaigre et sel. Quoi qu’en dise Stasi, il ne peut y avoir de réconciliation avec l’Algérie, tant que celle-ci n’aura pas fait repentance. En fait, la guerre d’Algérie n’est pas finie. Elle ne finira jamais. C’est la guerre éternelle entre le nomade et le sédentaire, entre le commerçant et le producteur, entre le pillard et le guerrier, entre le sémite et l’aryen. La première guerre de l’humanité, qui commença quand Caïn tua Abel. Depuis, ce dernier a fait plus qu’assouvir sa vengeance…




#21 / 13 mars 2003 / ARTICLE

ETATS-UNIS : LE RACISME ANTI-BLANC LE PLUS REPANDU

  Une étude de décembre 2002 rendue publique vient de montrer la réalité du racisme anti-blanc aux Etats-Unis. Chaque année, les Noirs assassinent 1.600 Blancs, il y a chaque année 18 fois plus de Blancs assassinés par des Noirs que l’inverse. Chaque année, environ 1 million de Blancs sont assassinés, violés, cambriolés ou agressés par des Noirs, de 1972 à 2002, on compte 170 millions d’agressions racistes contre les Blancs. Les mineurs de race noire sont coupables de douze fois plus de meurtres que les mineurs de race blanche. 90 % des victimes de meurtres interraciaux sont blanches. Les rapports de population aux Etats-Unis est de 7 Blancs pour un Noir. Pourtant, les Noirs sont impliqués 7,5 fois plus que les Blancs dans les crimes interraciaux : à population égale, ils commettent donc 50 fois plus de crimes raciaux que les blancs. Il y a 35 fois plus d’agressions dans les quartiers noirs que dans les quartiers blancs. 31 % des vols simples ont été commis par des Noirs contre des Blancs, 2 % par des Blancs contre des Noirs… Il y a chaque année aux Etats-Unis 1,3 million de crimes raciaux : 1,17 million est le fait des Noirs contre des Blancs… La hausse de la criminalité aux Etats-Unis a été le quadruple de celle de la population. Entre 1964 et 1994, 36.000 Blancs ont été assassinés par des Noirs, soit l’équivalent de la guerre de Corée (38.000 morts) et un peu moins que celle du Vietnam (58.000 morts). Cette étude appelle nos commentaires. Même si la liberté d’expression est plus grande aux Etats-Unis qu’en France (il suffit de voir le nombre de sites Internet outre-Atlantique dénonçant le racisme anti-blanc et de comparer avec la France), les médiats sont plus prompts à s’indigner des rares crimes racistes commis contre les Noirs que de s’intéresser aux très nombreux cas de racisme commis par les même Noirs contre les Blancs… quand ces mêmes médiats ne trouvent pas toutes les excuses aux criminels noirs, s’indignant qu’on leur réserve le seul traitement qu’ils méritent : la mort (je précise qu’un blanc commettant le même crime devrait à mes yeux subir le même sort…) Quand à la presse Française, elle pleurniche sur un assassin raciste promis à Old Sparky (surnom de la chaise électrique) qui médite sur son sort en prison (Mumal-Abu-Jamal) mais n’a pas médiatisé, c’est le moins que l’on puisse dire, le calvaire de la petite Tiffany Long, 10 ans, violée et assassinée par trois noirs des deux sexes la nuit du 16 octobre 1998 à Burlington (Caroline du Nord), de celui de Melissa Mac Lauchlin à North Charleston (Caroline du Sud) le 29 décembre 1992, du massacre de Wichita (Kansas, 3 blancs et 2 blanches violés et assassinés par deux noirs le 14 décembre 2000) ou cette petite fille blanche de 11 ans, enlevée, violée et contrainte à la prostitution durant quatre jours par trois Noirs de Portland (Oregon) en février 2001… Tout ceci n’est pas « médiatiquement correct » aux yeux de la presse française. Nouvelle preuve, si besoin en était, qu’elle a choisi délibérément son camp…

 

 

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