Attention, cette information n’est pas confirmée. L’emploi du conditionnel est donc de circonstances… Mirella Carboatto, Présidente de SOS-Justice, a adressé le 23 mars un communiqué sur Internet annonçant qu’elle avait reçu la veille à 21 heures 46, un mail anonyme annonçant l’ assassinat à Panama City, de M. David P. Osborne, PDG de Liberty-Web, qui avait déposé plainte au Panama, contre la France, pour tentative de corruption et la disparition à Tel-Aviv de Steve Denner, responsable d'exploitation de Liberty-Web. Ce site, qui hébergeait notamment SOS-racaille, oumma.org (satire méchante de oumma.com) islam-verite.com, sos-justice.us et gendarmes-en-colere.com. Elle déclare également que depuis l'envoi de son dernier communiqué de presse, l'ordinateur de son association a fait l'objet d'attaques virales et de piratage, qui selon les informations verbales communiquées par le serveur Wanadoo, semblent provenir de politiques. Le fameux mail anonyme donnait l e message suivant : « Le 6 mars 2003, David P. Osbrone, directeur général de Liberty Web a été retrouvé assassiné dans son véhicule à Panama City. Le ou les assassins ont utilisé 5 balles de calibre 9 mm tirées dans la tête. Les autorités panaméennes ont interpellé le 8 mars deux individus soupçonnés d'être mêlés a ce meurtre. Selon les indications données par ces individus, le meurtre aurait été un « contrat » financé par « des agents français », dont M.C., employé au Consulat de France de Panama City. Le Consulat de France à Panama City a fait savoir que M.C. bénéficiait de l'immunité diplomatique et ne pouvait donc être entendu. Il s'avère que M.C. a quitté précipitamment Panama le 10 mars à destination de Paris. Le 7 mars, Steve Denner, responsable d'exploitation de Liberty Web, disparaissait mystérieusement de son domicile de Tel-Aviv. Son véhicule a été retrouvé intact dans son parking, des traces de lutte ont été remarquées dans son appartement. Aucun des ordinateurs n'a été retrouvé dans l'appart ement, ce qui laisse penser qu'ils ont été emportés par les agresseurs. L'enquête a été confiée à une branche spécialisée des services israéliens, qui penche pour une « opération clandestine des services palestiniens ». Les services israéliens assurent que « tout sera fait » pour éclaircir cette disparition. Il est à noter que le consulat de France à Tel-Aviv n'a manifesté aucune inquiétude lorsqu'il a été informé par les autorités israéliennes de la disparition de Steve Denner, et ce, bien que Steve Denner soit citoyen français/américain. Dès le 7 mars, l'ensemble des domaines hébergés par Liberty-Web a été mis hors-ligne, selon les instructions très précises laissées par David Osborne dans une telle situation. L'ensemble des disques et sauvegardes des domaines hébergés a été immédiatement retiré des serveurs et mis en lieu sûr. Dans la nuit du 12 au 13 mars, deux individus ont tenté de pénétrer par effraction sur le site d'un des serveurs de Liberty-Web, en Californie. Ils ont été mis en fuite par l'inter vention du service de sécurité de l'immeuble qui a pu relever le numéro d'un véhicule suspect stationnant aux alentours. Ce numéro correspond à un véhicule appartenant a Mme. P.R., citoyen français installé en Californie depuis plusieurs années. Selon les services américains, l'époux de Mme. P.R. est "connu pour ses relations avec les services de renseignements français aux Etats-Unis ». Il ne serait pas surprenant qu’Osbrone et Denner aient été liquidés. Cependant, je ne crois pas un seul instant à la thèse délirante des services secrets palestiniens. Je pencherai plutôt pour un règlement de comptes au sein de la communauté. Nous avons souvent expliqué que la communauté juive était divisée en deux camps rivaux : les sionistes et les talmudistes. Les sionistes ont, de temps en temps et lorsque leurs intérêts l’exigeaient, pratiqués une politique d’appel du pied aux nationalistes. Par le passé, ils n’ont pas hésité à s’allier avec les antisémites russes, avec Mussolini, avec Hitler pour faciliter la cré ation d’un état juif. Il est vrai qu’il est facile de trouver une entente entre les deux parties : « Vous ne voulez plus de Juifs sur votre sol ? Ça tombe bien, on vous propose de les faire partir en Palestine… ». En France, les sionistes (surnommé « les Juifs bruns » car prônant un national-socialisme israélien) ont « fait un bout de brousse » avec les nationalistes entre 1956 et 1981. C’est l’époque où les Juifs d’Oran soutenaient l’OAS, où l’ancien Commissaire aux Questions juives Xavier Vallat se faisait le grand défenseur d’Israël, où Minute était plastiqué par Carlos pour cause de soutien à l’état hébreu, où Suzanne Labin présentait Israël comme le pilier de l’occident menacé par les communistes Arafat et Khomeyni, où les deux parties s’activaient pour une rencontre officielle Le Pen-Sharon… Finalement, les sionistes ont retourné leurs alliances jusqu’en 2001.Voyant qu’Israël est menacé et que leurs petits golems musulmans, plutôt que de continuer à violer tranquillement des petites Gau loises et à faire brûler les voitures des ouvriers français, se sont mis à incendier des synagogues, les sionistes se sont dit : « tels le Sharon de base à Sabra et Chatila, faisons faire le sale boulot par les goyim. Double avantage : officiellement ce n’est pas nous et nous pourrons les sacrifier comme boucs émissaires le joue où nous aurons besoin de nous allier à nouveau aux Arabes et en plus, ça va créer une soupape sociale en France entièrement contrôlée par nos soins. On pourra, par exemple, enfin parler de la violence en banlieue due aux Maghrébins… à condition bien sûr de dire que les Juifs en sont majoritairement victimes ». Cette nouvelle stratégie s’est caractérisée par l’infiltration dans nos milieux de gens comme Alexandre Del Valle ou Guy Millière, chantres de l’alliance franco-juive contre « le péril islamique », mais aussi de la création de sites comme SOS-Racailles qui citaient les faits délictueux commis par les Maghrébins tout en reprenant les mots d’ordre de la propagande israélienne e n ce qui concerne la question du Proche-Orient… De plus, leur langage délibérément outrancier et leur totale impunité judiciaire peut faire croire au Gaulois qu’un tabou est tombé et qu’il peut lui aussi exprimer sa colère en un langage un peu vif. Et c’est là où la LICRA l’attend au tournant… Cependant, cette alliance allait être étouffée dans l’œuf par les frères ennemis qui entamèrent une campagne de presse d’une rare violence contre ce forum Internet, notamment par le biais du Monde et du Canard Enchaîné, deux journaux en pointe dans le soutien aux talmudistes et surtout vivant sous perfusion policière. Il est curieux, mais pas étonnant, que l’annonce de l’assassinat d’Osbrone ait eu lieu juste après ces campagnes et qu’il ait été imputé aux services secrets français. C’est alors que l’on consulte la liste des ministres de Chirac (l’homme qui fait des mosaïques représentant un chandelier à sept branches sur le parvis de l’Hôtel de Ville) et que l’on voit comme Premier Ministre Raffarin, le fils d’un homme lige de Mendès-France, lui-même exécuteur des basses besognes immigrationnistes de Stasi et Stoléru et comme ministre de l’Intérieur Sarközy, descendant d’un fleuron de la communauté juive de Salonique… Finalement, SOS-Racailles était peut-être sincère…

  Le 8 mars, c’était la Journée Internationale de la Femme. L’occasion pour l’extrême gauche et les féministes de se mettre sur le devant de la scène et de leur confisquer la parole. En France, on a assisté à une formidable entreprise de récupération de la violence dans les banlieues… Ainsi, on trouve le fameux slogan : « Ni putes, ni soumises ». Fort intéressant : les Maghrébines ont totalement privé les Françaises de parole : on ne voyait, dixit Le Journal du Dimanche, que des Loubna, des Soraya, des Samira, des Kahina, des Fadela… venues hurler leur haine. Haine contre ceux qui se sont mis à les violer au lieu de se contenter des petites Gauloises qu’elles leur livraient jadis. Les politiques étaient là : toute la juiverie du PS, les Fabius, Hollande, Agacinski, sans oublier la guichetière du Crédit Lyonnais en retraite qui, à force de manipuler les chèques en bois en a la même langue (Arlette Laguiller pour ceux qui n’auraient pas deviné)… Il ne s’est pas trouvé une personne dans cette foule pour se souvenir des femmes victimes de la barbarie allogène. En cette journée de la femme, moi, l’homme (donc l’ennemi…) y ai pensé. Sonia, Cathy, Corinne, Clara, Anne-Marie, Sophie, et toutes celles dont on ne connaîtra jamais le nom… Une certaine Emmanuelle Piet, présidente de Viol-femme-information (il n’y a pas de Viol-homme-information alors qu’un tiers des victimes de viol sont des hommes mais bon…) annonce que sur 100.000 viols en 1999, seules 8.700 victimes ont porté plainte. Question qui me taraude : comment sait-elle qu’il y a eu 100.000 viols alors ? Le jour même de la journée de la femme, un réseau pédophile était démantelé en Allemagne suite au viol et à l’assassinat à Francfort du petit Pascal Zimmer, 5 ans. Qui était à la tête du réseau ? Une certaine Christa W., 50 ans, tenancière de débit de boisson. Elle a violé de nombreux enfants avant de les prostituer aux clients de son bar. On me dira, c’est une exception. Oui, bien sûr, comme Rosemary West, comme Bernadette Berdin, comme Nicole Chartier, comme la diabolique de Manchester, comme madame Defferies et quelques autres… Dans les affaires de couples pédophiles (et encore récemment dans les affaires de Riom et de Corbeil-Essonnes) c’est généralement la femme qui dirige les opérations. La femme est l'égale de l’homme : elle sait se montrer aussi cruelle et aussi sadique l’histoire le prouve. Cette journée de la femme a permis de ressasser les éternels clichés féministes. Le lendemain, c’était la journée de la femme à la maison : mon épouse y recevait trois de ses amies dont une mère de famille de 8 enfants (la fameuse maman-courage dont je parlais dans l’éditorial du n°15). Je dois vous dire que je préfère largement la compagnie de ces femmes que de celle des hommes qui se sont prêtés à la mascarade du 8. Elles ne cherchent pas à jouer les victimes, elles savent reconnaître les torts de leur sexe, mais aussi mettre en valeur ses immenses qualités. Voilà des femmes qui valent la peine d’être protégées. Et elles n’ont pas besoin de défiler dans la rue pour l’être. Ces femmes de la Tradition et leur maris sont l’avenir. Notre société va crever, j’expliquerai comment la semaine prochaine quand je commenterai un article de Elle sur la condition masculine qui m’a été transmis par mes camarades canadiens. En attendant, nous refusons de participer à cette journée de la femme qui n’est qu’une récupération politicienne pour les partis d’extrême gauche. Moi, il y a une femme que j’aime, c’est la mienne. Il y a des femmes que j’admire : celles qui ont eu le courage de se présenter aux élections pour les nationalistes. Il y a mon panthéon féminin, celles qui ont combattu et qui sont mortes pour leur foi et leurs idées : Charlotte Corday, Marie Papin, Emilie de Forçan, Clara Petacci, les amazones de Charrette… Il y a cette armada de mère de familles que je croise tous les dimanche à la messe et sans qui nous ne serions que sépulcres blanchis. Il y a une mère, la mienne, qui chaque jour que Dieu fait se demande quel étrange pingouin elle a mis au monde. Il y a nos filles, les mères de demain. Il y a les saintes et les martyrs, les victimes dont on ne parle pas le 8 mars et que l’on évoque bien plus souvent dans nos églises que dans les colonnes de Elle : Sainte Maria Goretti (que j’ai intronisé sainte patronne des enfants victimes des pédophiles), Sainte Germaine de Pibrac (« sainte patronne des enfants martyrs »), Marie-Antoinette, les quatre petites princesses de Russie, Sainte Agnès, Sainte Ludivine… J’achèverai mon article par ce coup de calgon : « Bas les pattes, féministes ! Ne touchez pas à nos femmes ! »