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saveurs d'Orient
Mensuel satirique d’opposition nationaliste et catholique.


#01 / AVRIL 2001 / EDITORIAL

    En 1973, Jean Raspail écrivait le très prophétique Camps des Saints, décrivant l’invasion pacifique des pays riches par le Tiers-Monde. Pour ce livre, Jean Raspail peut dire adieu à l’Académie Française. Il pourra toujours se consoler en occupant le « 41e fauteuil » en compagnie de Saint-John Perse, Daudet ou Baudelaire…

    L’arrivée de 900 kurdes échoués à quelques kilomètres du lieu désigné par Jean Raspail prouve que ce dernier est plus qu’un écrivain : il est l’historien de l’avenir.

    A l’exception des deux frères ennemis de la droite nationale, l’ensemble de la classe politique accepte de collaborer avec l’envahisseur. La palme de la honte revient à Patrick Devedjian, dont le père a fui l’Arménie suite au génocide de 1915 ordonné par les Turcs mais commis par les Kurdes. L’ancien d’Occident (motion barre de fer), l’avocat des terroristes de l’ASALA (armés et entraînés par Moscou) est devenu le caniche du NOM. Dans le registre, on avait déjà Sarkozy.

    Aujourd’hui, ils sont 900. Et demain ? L’ONU prévoit de faire de l’Europe une colonie du tiers-monde, après extermination des autochtones (nous, si vous n’avez pas compris…) avec la complicité de Bruxelles. Agissons pendant qu’il en est encore temps : nous sommes EN ETAT DE GUERRE contre les mondialistes (et la République leur fille) , avec tout ce que cela implique. Aux armes Vendéens, formons nos bataillons…

Henri de FERSAN



ABONNEMENT (12 n°) : 18 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN

Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#01 / AVRIL 2001 / ARTICLE

DRANCY : LA MEMOIRE HEMIPLEGIQUE

    Le procès par contumace de l’officier SS Aloïs Brunner, probablement décédé, a été l’occasion pour les boutiquiers de la mémoire de vaticiner sur les heures les plus sombres de leur histoire.

    Ils veulent qu’on parle de Drancy ? Et bien, parlons de Drancy… Parlons de ces juifs qui collaborèrent avec les nazis. Le camp de Drancy était largement autogéré par les Juifs. Ouvert en 1941, il servait de base de transfert dans le cadre de la Solution Finale (déportation des Juifs en Pologne suite à la publication par Theodore Kaufman d’un livre exigeant le génocide des Allemands). Sur 67.000 Juifs qui y transitèrent, seuls 8.500 étaient Français. Ce camp eut sept dirigeants : Asken, Max Blanor, François Montel, Georges Kohn, Robert Félix Blum, Georges Schmidt, Oscar Reich et Emmanuel Langberg. Le 24 octobre 1942, une police juive interne est créée, surnommée la « Gestapolak » en raison de son recrutement ashkénaze. Parlons d’Abraham Drucker (père de Michel), médecin chef qui assista Brunner dans sa rafle des Juifs de l’ancienne zone libre. Parlons de Jankel Jouffa, père de Yves Jouffa de la Ligue des Droits de l’Homme, qui participa à cette « police » comme chef d’escalier..

    Parlons de l’UGIF qui mis dans sa poche les 750 millions volés aux Juifs et qui dorment probablement dans les caisses du CRIF, ce qui fait qu’avec les réparations, c’est le goy qui va payer l’argent volé par les Juifs aux Juifs, comme il paya, en lieu et place des Juifs, le milliard d’indemnités exigé par les Allemands aux Israélites suite aux attentats contre la Wehrmacht.

    Drancy, en 1944, fut à nouveau transformé en camp de concentration. A la différence près qu’y furent parqués tout ceux dont le régime gaulchévique voulait se débarrasser. Ce n’était plus un KL mais un Goulag, ce qui explique pourquoi Drancy I bénéficie d’une mémoire nickelée et que Drancy II « n’existe pas »… La preuve de ce déni de mémoire : les photos de Drancy I illustrant les livres d’histoire ont été prises… en août 1944 à Drancy II !

    On va leur en donner, de la mémoire. Parlons de cette fillette de treize ans, fille de présumés « collabos » qui fut violée collectivement sous les yeux de ses parents par une bande d’ordures à brassard FTP (pléonasme). Parlons des colis de la Croix Rouge pillés par les FTP (habitude communiste, l’Arbeitstatistik faisait pareil à Buchenwald). Parlons des tortures infligés aux prisonniers (et aux prisonnières) dont René Château donne une pâle idée dans son livre L’Age de Caïn. Deux chiffres, deux chiffres seulement : Français exécutés par les Allemands de 1940 à 1944 : 29.775. Français exécutés par les gaulcheviques en six mois : 97.000…

    Le devoir de mémoire, pourquoi pas. Mais toute la mémoire ! L’heure est venue pour les puissants de faire repentance. Dans le cas contraire, nous serons dans l’obligation de constater que pour eux, l’égalité n’existe pas…

 

 

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