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saveurs d'Orient
Mensuel satirique d’opposition nationaliste et catholique.


#02 / MAI 2001 / EDITORIAL

Mort d’un salaud

  L’éditeur Jérôme Lindon est mort. La nouvelle nous attriste beaucoup car son trépas nous prive du plaisir de le déférer un jour devant les tribunaux du peuple. Heureusement qu’il y a son fils et son petit-fils pour prendre la relève… Chez les Bonaparte, on règne. Chez les Joxe et les Philby, on trahit. Chez les Orléans, on complote en L.:… Chez les Lindon, on exerce avec délectation la profession de salaud. Prenons le Pater Familias, Raymond Lindon. C’est dans les tribunaux de l’épuration qu’il exerça ses « talents ».

  Rappelons que ces tribunaux, au mépris des règles les plus élémentaires du droit, condamnèrent à mort de nombreux innocents. Puis, numéro deux sur la liste, Jérôme, le fondateur des Editions de Minuit. Ce dernier fut un ardent collabo du FLN, notamment en parlant des soi-disant « tortures » en Algérie. La smala compte aussi Vincent, acteur d’extrême gauche et pilier du cinéma régimiste, et Matthieu, un journaliste occasionnel à Libération et flic de la pensée dénonçant les mal- pensants selon la tradition familiale. Inutile de préciser que je leur donne, charité chrétienne oblige, cet excellent conseil : fuyez pendant qu’il en est encore temps…

  Bien sûr, certains me trouveront injuste de m’en prendre comme cela aux Lindon et de les traiter en criminels. Laissons la pitié gluante aux marchands de kleenex : les amis et patrons de Lindon n’avaient qu’à pas fusiller Brasillach. Fini le bal, il faut payer les violons…

Henri de FERSAN



ABONNEMENT (12 n°) : 18 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN

Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#02 / MAI 2001 / ARTICLE

RETOUR SUR LES « TOURNANTES »

  Décidément, les journalistes de la presse « aux ordres » ont l’art de prendre leurs lecteurs pour des pélicans. Ainsi, la soudaine « médiatisation » des viols collectifs racistes (appelés « tournantes ») répondent à un but machiavélique : tout simplement banaliser celles-ci et en évacuer le contenu réel : un nouvel épisode de la guerre raciale déclenchée contre les Gaulois depuis 1981 (date des premières émeutes racistes dans la banlieue de Lyon).

  Rappelons d’abord les faits : le 26 avril 2001, onze allogènes accusés d’avoir violé une gamine française de 14 ans en 1993 comparaissaient au tribunal. Comme de coutume, le verdict a été insultant pour la victime : ses tortionnaires ont eu une peine symbolique, de deux à cinq ans de prison assortie de larges sursis permettant leur libération immédiate. A comparer avec les deux ans de prison de Catherine Mégret suite à son entretien au Berliner Zeitung où elle déclarait qu’il y avait un problème d’immigration en France.

  Cette affaire ne fut pas la seule. Elle est extrêmement fréquente. Rappelons-nous des viols collectifs subis par la petite Cathy (14 ans) en 1990 à Saint-Ouen, de ceux subis par la petite Marlène (13 ans) à Gif-sur-Yvette en 1993 ou de la petite Jeanne (12 ans) à Saint-Bonnet-le-Château en 1997. Parfois même, le viol collectif est commis par des filles contre une autre fille : ce fut le cas notamment à Hayange où, le 14 septembre 1997, une jeune fille de 19 ans (Sophie) subit douze heures de tortures et de viol de la part de trois Maghrébines (Fadila, Mona et Nadia) au foyer Molitor.

  Or, à cette époque, la presse aux ordres refusa d’en parler. Libération y consacra un entrefilet de quelques lignes intitulé « règlement de comptes entre copines (sic !) ». Quant au viol collectif de Nathalie (19 ans) le 31 décembre 1994, victime d’une première « tournante » par dix noirs qui la vendirent à quatre arabes qui la violèrent à leur tour, Le Monde refusa d’en parler au motif que ce fait-divers n’était pas intéressant au motif que la victime était française… A la presse collabo, résonne en écho la justice collabo. Les auteurs des tournantes, alors qu’ils peuvent être condamnés à 20 ans de prison, sont généralement bénéficiaires de la clémence judiciaire au nom de leur race et de celle de la victime : cinq semaines de préventives pour les bourreaux de Jeanne, libération au bout de quatre ans des tortionnaires de Sandrine Leclerc, la fliquette du RER C violée et torturée le 25 octobre 1996, deux ans avec sursis pour les bourreaux de Marlène (dont trois furent ceux de Sandrine…). En France, il es t moins grave de violer collectivement une petite aryenne que de polémiquer sur la nature exacte des camps d’internement allemands en Pologne lors du dernier conflit mondial…

  Le but de cette soudaine médiatisation des « tournantes » est clair : c’est une brillante manipulation de l’opinion : les médiats relègue une opération de guerre raciale au rang de « faits divers », atténuant ainsi la gravité des faits aux yeux de l’opinion. Pire, la faiblesse des peines laisse à penser qu’au fond, ce n’est pas si grave que cela et conforte les violeurs dans leur impunité. Chaque régime totalitaire, que ce soit le communiste, le national-socialiste ou le républicain a utilisé les droits communs pour terroriser les éventuels opposants… Les nazis en faisaient des kapos, les communistes des brigades internationales ou des « résistants », les Républicains en font des « citoyens vigilants ». Ce sont des mercenaires extra-européens qui seront les troupes de choc du gouvernement de collaboration avec les mondialistes. La justice, les médiats, la hiérarchie policière marchent de concert. Que les juges, policiers, fonctionnaires de nos idées se fassent connaître. Qui n’est pas avec nous est con tre nous comme le déclarait le Christ, le soleil invaincu qui foudroya les zélotes…

 

 

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