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saveurs d'Orient
Mensuel satirique d’opposition nationaliste et catholique.


#05 / AOUT 2001 / EDITORIAL

  Le 30 juillet, un coup de téléphone de notre doyenne Fernande Casasnovas (ancienne secrétaire de Jacques Doriot) m’apprenait le décès de notre cher Maître Henry Coston survenu le 27 juillet.

  Né à Paris le 20 décembre 1910, cet Auvergnat fut secrétaire de la section de Villeneuve-sur-Lot de L’Action Française dès l’âge de 16 ans. Entré dans la presse à l’âge de 17 ans, il dirigea la Libre Parole de 1930 à 1939. Durant la Seconde Guerre Mondiale, il mit ses compétences et ses archives au service de la Révolution Nationale, démasquant les F.: tentant de s’infiltrer dans le nouveau régime avec la complicité de leur camarade teuton, le communiste infiltré au NSDAP F.: Otto Abetz qui sabota toutes les campagnes de Coston, de Ploncard d’Assac et de Faÿ. Peu averti du combat qui se tramait en coulisse (ou plutôt en loges), le Maréchal Pétain paya au prix fort son manque de soutien en 1944… Récemment encore, dans les colonnes de Nous les Françaises, il nous fit un superbe cadeau d’adieu en démasquant le F.: Henri d’Orléans, prince prétendant au trône de France. Quoi de plus normal pour celui qui fut le Robin des Bois de la presse, protégeant les humbles et lançant ses flèches contre les nantis des sec tes et des loges, la ténébreuse alliance du compas et de la ménorah qui voulait triompher de celle du sabre et du goupillon. Je tâcherai d’être à la hauteur aux yeux de ceux qui voient en moi son successeur. A Dieu, mon cher Maître, et que nous puissions un jour être là-haut à vos côtés en compagnie de ceux qui vous y ont précédé, Edouard Drumont, Robert Brasillach et Yann Moncomble et même votre vieil adversaire dont vous avez salué la conversion au catholicisme, l’ancien F.: Marcel Déat…

Henri de FERSAN



ABONNEMENT (12 n°) : 18 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN

Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#05 / AOUT 2001 / ARTICLE

DE FOURMIES A RIAUMONT

  Le 21 juin, un drame frappait le Village d’Enfants de Riaumont, dirigé avec énergie par notre ami le Père Jean-Paul Argouac’h. Un élève de 14 ans, Romain, se suicidait par pendaison. Inutile de préciser que les charognards de presse se sont précipités sur l’événement. Hyènes de la presse écrite et vautours de la télévision ont rivalisé dans l’ordure et dans la crasse. Ça se paiera dans l’au-delà et même avant… Le pire a été atteint par Charlie Hebdo (article de Sylvie Coma), le torchon hebdomadaire du très sioniste F.: Philippe Val, dont le comparse, le F.: Patrick Font vient récemment d’être libéré après son incarcération pour pédophilie… Autre torchon, le Nouveau Détective, fondé par l’israélite Joseph-Elie Kessel, par ailleurs auteur du Chant des Partisans de sinistre mémoire, l’hymne des égorgeurs et des assassins apatrides à la solde de la haute finance et des Soviets du même nom… Cet hebdomadaire se complaisant dans les faits-divers sadiques s’est offert une double page de calomnies faisant passer le Village d’enfants pour un mélange de Biribi et de Buchenwald, le tout suivi par une lettre (probablement apocryphe) d’une certaine Claudine V. d’Avion. Vu le style, la lettre ne vient pas d’un aéroport mais plutôt d’une loge ou d’une cellule… L’auteur de l’article n’est pas un inconnu en ce qui me concerne : Eric Bellahouel. En octobre 1997, ce personnage avait refusé de m’aider à rencontrer une jeune victime du racisme anti-français (la petite Sophie dont nous avions parlé dans notre n°2) qu’il avait interviewé.

  Cette campagne n’est pas innocente. Le village de Riaumont est situé sur une colline boisée, très convoitée par des promoteurs immobiliers liés à la F.:. Or, les journaux les plus en pointe dans cette chiennerie sont comme par hasard les plus liés à la F.: et à la mafia politicarde locale. Un mot sur Charlie-Hebdo. Grand partisan du « laisser aller », il est contre toute politique de l’enfance. On voit pourquoi : livrés à eux-même et à la Laïque, les enfants sont en proie à la pédophilie (n’est-ce pas, Font ?) , à la drogue (la petite-fille de Cavanna, éditorialiste, est morte d’overdose à 16 ans) ou à la déliquescence des mœurs (le fils de Cabu, dessinateur, est sidaïque et narco-dépendant…) Mais cela ne dérange pas Charlie-Hebdo : leurs maîtres et financiers contrôlent la pornographie (Sitbon), la pédophilie (Esparbec), la drogue (Schwartz dit Sörös), l’ecstasy (Cohen), l’alcool (Bronfman), les flux d’argent des donateurs du cancer (Schwartzenberg), le marché des produits de substitution de la drogue (Olivenstein), voire les abominations sataniques d’Halloween (Cahen). On peut continuer longtemps la liste… Derrière chaque vice, chaque arme de destruction des forces vives de France, on retrouve le nez insolent, le nez arrogant, le nez odieux, que dis-je, le nez impudent de l’apatride.

  Les persécutions antichrétiennes sont une constante dans le nord. Rappelons le drame de Fourmies le 1er mai 1891. La grève eut lieu pour des raisons salariales : les travailleurs étaient payés 10 % de moins que dans la ville voisine de Wighehies Les ouvriers avaient été excités à la haine par La Tribune du Nord, journal « de gauche » fondé par l’industriel Boussus (un nanti riche de 6 millions d’alors, soit 120 millions de nos jours), provoquant la méfiance du patronat local. La Tribune du Nord deviendra Le Réveil du Nord puis Nord-Matin. Le 1er mai, les ouvriers refusèrent de travailler (il était censé être chômé depuis 1890). De légers incidents éclatèrent entre grévistes et non-grévistes, dispersés par le 145e de ligne, composé d’enfants du pays. Ce jour était celui de la fête du village et un défilé de 200 personnes eut lieu, derrière le drapeau tricolore. De légers incidents éclatèrent entre force de l’ordre et « fêtards ». Le 84e de ligne arrive en renfort. Sans être menacé (la foule était désarmée), le commandant Chapus fait ouvrir le feu sans sommations. L’ordre de feu a été donné par le sous-préfet de Fourmies, Isaac Seligman, ancien garçon boucher né en Bavière. Bilan : 10 morts, 35 blessés : Emile Cornaille (11 ans, écolier), Charles Leroy (20 ans, ouvrier catholique), Félicie Pennelier (16 ans, catholique pratiquante), Maria Blondeau (tenait « l’arbre de mai » devant la manifestation, ouvrière non-gréviste), Gustave Pestiaux (14 ans), Giloteaux (porte-drapeau de la « manifestation », conscrit), Ségaux (tisseur, 32 ans), Louise Hublet (une vingtaine d’année), la patronne du Café de l’Europe et son fils. Détail horrible, la chevelure blonde de Maria Blondeau, arrachée de son crâne explosé par la mitraille, fut volée sur son cadavre et transformée en perruque dans quelque arrière-boutique…

  L’affaire de Riaumont est un épisode supplémentaire de l’ignominie de nos adversaires. Ces gens-là sont prêts à toutes les bassesses, toutes les vilenies : pour nous, les droits de l’homme, la dignité, l’humanité la plus élémentaire n’existe pas, puisqu’à leurs yeux nous ne sommes pas des hommes mais des bêtes (immondes, les bêtes)… Nous dérangeons par le seul fait que nous existons. Les « nazis » qu’ils nous décrivent dans leurs livres de propagande, c’est leur reflet dans le miroir !

 

 

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