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saveurs d'Orient
Mensuel satirique d’opposition nationaliste et catholique.


#06 / SEPTEMBRE 2001 / EDITORIAL

  Des Harkis ont décidé de porter plainte pour « crime contre l’Humanité ». Le moins que l’on puisse dire, c’est que leur démarche n’a pas suscité l’unanimité. Même Jean-Marie Le Pen, que l’on avait connu plus inspiré sur le sujet, avait déclaré « que ce n’était pas le moment ». Il est vrai qu’au FN, Charles de Gaulle Jr (le petit-fils de la grande Zohra et fier de « l’œuvre » de son aïeul) et Farid Smahi, fils de fellouze, ne sont pas précisément les plus acharnés à la défense des harkis. La France doit assumer ses fautes, et le dossier harki doit être traité avec humanité. Ils ont choisi la France, on les a trahis, on doit réparer, point final. En réhabilitant les Harkis, on lance un message fort au monde arabe qui ne peut avoir qu des retombées positives, à commencer par la rupture des relations diplomatiques avec la junte nationaliste et socialiste d’Alger (n’en déplaise à Kahn, les vrais « nazis », c’est le FLN, pas les islamistes…). L’anti-France ne s’y trompe pas, justifiant le génocide harki (L’H umanité), voire en faisant ouvertement l’apologie comme François Cavanna dans Charlie-Hebdo du 5 septembre en même temps qu’il fait l’apologie des horreurs de la Révolution et de l’Epuration

  Nous prenons scrupuleusement note des propos immondes de Cavanna. Ils révèlent le vrai visage de la gauche, une secte qui n’hésite pas a exterminer tout ce qui s’oppose à elle. Si un jour nous arrivons au pouvoir, il faudra liquider totalement tout début d’amorce de commencement d’ ébauche de gauche. Méditons la dernière phrase du maréchal Toukhatchevski, ordure trotskiste liquidé par l’ordure stalinienne : « Purgez-le avant qu’il ne vous purge… ». De même, éliminons la gauche avant qu’elle nous élimine…

Henri de FERSAN



ABONNEMENT (12 n°) : 18 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN

Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#06 / SEPTEMBRE 2001 / ARTICLE

LA GUERRE CIVILE EST COMMENCEE…

  Dans la nuit du 1er au 2 septembre 2001, un fanatique islamique dénommé Safir Bghioua s’est lancé dans une véritable « opération Chalid (équivalent du kamikaze en arabe) » dans la ville de Béziers où une guérilla urbaine maghrébine avait déjà fait parler d’elle le 22 décembre 1992. Les faits parlent d’eux-mêmes. Parti de sa cité, il avait sur lui un MGP-7 (lance-roquette), deux AK-47 Kalashnikov, un pistolet-mitrailleur, 200 grammes de dynamite, un Riot Gun, 18 pains de plastic et trente détonateurs. Dans son opération de guerre civile, il tuera le chef de cabinet du maire, Jean Farret, dont il avait pris la voiture de fonction pour un véhicule de police. Bien sûr, la presse collabo minimise les faits : on parle de « coup de folie », « d’acte isolé », bref, on occulte la réalité : Bghioua était peut-être un délinquant, c’était SURTOUT un islamiste, comme le précisa sa sœur.

  Cependant, reprenons l’actualité de ces derniers mois : le 22 décembre 2000, à Pont-Saint-Esprit, le sportif marocain Hicham Bouaouiche ouvre le feu sur les gendarmes, tuant Laurent Soler. Il sera capturé après une longue cavale en Europe, soutenu par les islamistes et ses frères de race… Le 30 mai 2001, à Fresnes, les criminels Ben Bouabdellah et Khider tentent de s’évader en hélicoptère. Le 11 août 2001, à Cergy, Habib Mezaoui abat froidement trois personnes lors d’un braquage. Le 5 septembre, à Barbès, c’est encore un musulman qui assassinera trois personnes ; sans parler de l’explosion du nombre de viols collectifs racistes (« tournantes ») dans le plus pur style des razzias barbaresques dont la glorieuse conquête de l’Algérie avait mis fin…

  Rappelons également la mise sous coupe réglée par les milices immigrés des villes de Châteaurenard (1998), Vauvert (1999), Sartrouville (1991), Paris (1990, 1998), Vaulx-en-Velin (1990), Roubaix (1996) dans des émeutes aux allures de guérilla urbaine… Comme le disait si justement Henry Coston, un fait qui rejoint un autre, c’est une coïncidence. Deux faits, c’est une présomption. Trois faits, c’est un complot...

  Qu’est-ce que tout cela sinon un avertissement ? La Djihad vient de passer au cran supérieur, et ce n’est pas en cassant le thermomètre que l’on stoppera la fièvre. Le gouvernement et les médiats sont complices parce que leurs maîtres qui les financent veulent la mort de la France, fille aînée de l’Eglise, par haine talmudique…

  Menée depuis 1981 avec la complicité des socialistes et des libéraux, la transformation de la France en colonie de peuplement afro-maghrébine atteint désormais son paroxysme, comme le souhaite l’ONU qui veut nous rendre minoritaires dans notre propre pays en nous obligeant à accepter 23 millions de musulmans (sommet des Ministres de l’Intérieur et de la Justice, Marseille, juillet 2000). Nous avons 25 ans pour agir. 25 ans pour nous doter d’un commissariat politique, d’une inquisition, d’une armée nationale et d’une justice nationale. D’ici peu, la France ressemblera non pas au Liban, mais plutôt à la Sierra Leone ou au Libéria, à savoir un pays partagé en divers groupes armés. Comme pendant la guerre de Cent Ans… Nous entrons dans la phase un : formation des cadres. Dès l’an prochain, nous essaierons de mettre au point une Université d’Eté nationaliste. L’heure est venue d’inculquer la « discipline nationaliste » visant à éradiquer de notre vocabulaire toute idée, toute propagande et tout mensonge hi storique de l’ennemi… Comme le disait si justement Benito Mussolini : ASSEZ DE PAROLES, DES ACTES !!!




#06 / EDITION SPECIALE

PEARL HARBOR TERRORISTE SUR LA COTE EST !
* * *
JERUSALEM EN REVAIT, BEN LADEN L’A FAIT !

  Le 11 septembre 2001 est rentré dans l’histoire. Pour la première fois, les Etats-Unis ont subi sur leur sol ce que d’ordinaire ils infligeaient aux autres… Comment ne pas penser à la phrase du Christ lors de la Passion, lorsqu’il tança Saint Pierre qui venait de couper l’oreille d’un valet : « Qui tuera par l’épée, périra par l’épée ». Et, dans notre version contemporaine, qui tuera par les avions périra par les avions. L’Amérique pleure ses morts, comme les Allemands, les Japonais, les Vietnamiens, les Irakiens, les Serbes et même les Français ont pleuré les leurs… ce qui se passe à New York, c’est la guerre. Celle-ci n’est jamais fraîche, encore moins joyeuse. Comme le disait maître Yoda à Luke Skywalker qui lui disait son rêve de « devenir un grand guerrier » : « Personne par la guerre ne devient grand… ». Les deux tours jumelles, les twin sisters du World Trade Center se sont effondrées comme des châteaux de cartes, comme les châteaux en Espagne d’un monde sous le joug américain. Bien sûr, on compat it à la douleur des familles éprouvées. L’Amérique a découvert ce que c’est que souffrir. Peut-être que dans les morts broyés sous les myriades de tonnes de décombres, il y avait là les enfants ou les petits-enfants d’un ancien pilote de bombardier de l’US Air Force. Puisse cet homme réfléchir et associer nos morts aux siens. Nos morts… Ceux des petits enfants de Bruz (Ille-et-Vilaine) massacrés dans l’enfance le jour de leur première communion quand cette ville bretonne SANS OBJECTIFS MILITAIRES a été rayée de la carte le 18 juin 1944 par les bombardiers de Roosevelt (anciennement Rossocampo), Truman (anciennement Schripp) et de Dwight David Isaac Eisenhower. Ces enfants étaient les plus innocents des 67.000 innocents français victimes des bombardements « alliés »… Ceux du Cap Arkonia, ce paquebot allemand plein à craquer d’anciens déportés de Pologne et coulé dans la Baltique par l’aviation alliée le croyant plein de réfugiés allemands, tragédie qui fit près de 5.000 morts. Ceux de Dresde, le 13 févrie r 1945, ceux d’Hiroshima et de Nagasaki, mais aussi de Tokyo, ces femmes et ces enfants carbonisés au phosphore et à l’atome, dont les nombreux cadavres littéralement fondus ou incinérés ne seront jamais vraiment comptabilisés (on parle de 250.000 morts à Dresde, 200.000 à Tokyo, 157.000 morts à Hiroshima et 75.000 à Nagasaki). Ceux de Belgrade et de Bagdad, deux capitales entraînées par les Etats-Unis dans un piège… Ceux des villages vietnamiens traités au napalm… Maintenant, les New-Yorkais savent l’effet que ça fait d’être dans la peau d’un « dommage collatéral » !

  Cette tragédie frappe le cœur de l’Amérique. Pour réaliser leur coup, les terroristes ont détourné quatre avions des lignes intérieures américaines des compagnies United Airlines et Americain Airlines : le vol AA-11 (Boston - Los Angeles) de 7 heures 55 est précipité à 8 heurs 45 sur l’une des Twin Towers ; à 9 heures 05, sa jumelle est frappée par l’avion UA-175 (Boston - Los Angeles) de 8 heures 15. A 9 heures 43, le Pentagone est frappé par l’avion du vol AA-77 (Washington - Los Angeles) et à 10 heures 06, des passagers du vol UA-93 (New York – San Francisco) se sacrifient pour empêcher l’avion de frapper Camp David en parvenant à le crasher à Shanksville (120 km au nord-ouest de la cible). La fermeture immédiate des aéroports à 9 heures 40 a empêché les terroristes de détourner trois avions de New York dont les cibles étaient probablement la Maison Blanche, Air Force One (le Boeing présidentiel) et peut-être le Congrès. Le bilan ne sera probablement jamais connu, le maire de New York parle de 6.0 00 morts… Selon les premières sources disponibles, les pirates de l’air étaient originaires du Golfe Persique (l’un d’entre eux était un pilote émirati) et auraient été formés au pilotage pour les uns en Floride, pour les autres en Afghanistan (dont feue la compagnie aérienne civile comprenait 3 Boeing-727). Neutralisant l’équipage avec des lames de rasoir et des couteaux, ils se rendirent maîtres des avions, sauf du UA-93.

  Un petit rappel historique est nécessaire, revenant sur divers faits et gestes des Etats-Unis d’Amérique. Sans remonter jusqu’à la naissance des Etats-Unis, revenons un siècle en arrière, plus précisément le 15 février 1898. Ce jour-là, le cuirassé de croisière Maine explose dans le port de La Havane, alors possession espagnole. Cette explosion, qui coûta la vie à 228 marins américains, était des plus opportunes. Lancé en 1890, ce navire était un cuirassé de deuxième classe, l’un des plus anciens de la marine américaine. Aussitôt, les Américains accusèrent les Espagnols d’avoir placé une mine sous le navire. Or, la catastrophe était purement accidentelle (visiblement un système de stockage des munitions mal conçu), mais permit aux Etats-Unis de déclencher la guerre tant désirée contre l’Espagne. Le magnat de la presse américaine, William Randolph « Citizen Kane » Hearst (dont l’héritière, Patricia, sera enlevée et rendue folle par les gauchiste de Donald DeFreeze alias Cinque ) voulait cette guerre qui l ui permettrait de vendre du papier. Ayant envoyé dès le début 1898 ses reporters et photographes à Cuba, ceux-ci se plaignaient : « Tout est calme. Pas de trouble ici. Aucune guerre en perspective. Pouvons-nous rentrer ? » Et Hearst de leur répondre : « Restez. Fournissez illustrations. Fournirai guerre ».

  Passons ensuite au 7 mai 1915. Le paquebot Lusitania, rival du Titanic, vogue vers Liverpool gréé en croiseur auxiliaire avec ses 12 canons de 127mm. A son bord, 1.200 marins canadiens et 4.200 caisses de munitions. Les Allemands savaient cela et coulèrent le navire dont on venait juste de supprimer l’escorte, ordre de Churchill… Cette tragédie précipita l’entrée en guerre des Etats-Unis qui cherchaient un excellent prétexte pour entamer leur domination mondiale.

  Le 7 décembre 1941, la flotte américaine du Pacifique est coulée en rade de Pearl Harbor par les bombardiers en piqué japonais embarqués sur les porte-avions Kaga, Akagi, Soryu, Hiryu, Shokaku et Zuikaku. La veille, c’était la Fête de la flotte (jour de la Saint Nicolas, Santa Claus, le « père Noël » aux Etats-Unis) et les équipages cuvaient leurs libations du samedi soir dans les entrailles des navires. Les pertes humaines furent lourdes, les pertes militaires beaucoup moins… Les Américains perdirent 2.334 marins et les navires suivants : le cuirassé Utah, un bâtiment-cible sans valeur militaire ; les cuirassés Oklahoma et Arizona,, datant de 1911 et complètement dépassés et les cuirassés California, West Virginia, Nevada, Pennsylvania, Maryland et Tennessee, qui seront ultérieurement refaits à neuf. Par contre, les deux porte-avions US, le Saratoga et le Lexington étaient « partis en mission » la semaine avant. Et pour cause… grâce aux Anglais, Roosevelt savait pertinemment l’attaque japonaise, mais il fallait un acte de guerre fort pour entraîner les Etats-Unis dans la grande croisade talmudique…

  Le 2 août 1964, les Etats-Unis annoncent que l’armée vietnamienne a ouvert le feu sur les destroyers Maddox et Turner Joy. En représailles, les Etats-Unis décidèrent de passer à l’attaque contre le nord. Or, ces navires n’ont jamais été attaqués…

  Le 25 juillet 1990, l’ambassadrice des Etats-Unis en Iraq, madame April Glaspie, assure Saddam Hussein que les Etats-Unis ne s’opposeraient par au retour de la 19e province (le Koweït) dans le giron irakien. Le 2 août, les troupes irakiennes entrent dans l’émirat, la riposte américaine permettra l’anéantissement de l’ennemi numéro un d’Israël dans la région.

  Les Etats-Unis n’ont pas le monopole de ce type de pratique : l’URSS avait fait de même contre la Finlande (fausse attaque de soldats soviétiques orchestrée par Andreï Jdanov (de son vrai nom Liphshitz)), mais également en Estonie, en Lituanie et en Lettonie, sur ordre du coreligionnaire de Jdanov, Andrei Vichinsky. Israël fit sauter une synagogue à Bagdad en 1948 pour inciter la communauté juive mésopotamienne de retourner au pays. En 1980, l’agent du Mossad chargée de faire sauter la synagogue de la rue Copernic à Paris se tuera avec sa propre bombe. Informé, Raymond Barre parlera de « trois français innocents ». Le lobby lui en veut encore. Tout récemment, une discothèque fréquentée par des juifs russes fut victime d’un chalid manipulé, incitant les Juifs russes, jusque là neutres, à haïr les arabes…

  Lorsque on étudie la donne géostratégique au Proche-Orient, on s’aperçoit que le crime profite surtout à Israël. Replaçons-nous la veille de l’attentat. La répression de Sharon, l’homme qui avait déclaré en 1982 être prêt à déclencher une troisième guerre mondiale pour la survie de l’état hébreu, avait totalement discrédité Israël. Lors de la Conférence de Durban contre « le racisme », Israël avait été mis au ban des nations, malgré les protestations masochistes des Allemands et les glapissements de Gaubert, envoyé par la LICRA… Les Etats-Unis se détachaient sensiblement de l’Etat hébreu. La veille de l’attentat, l’éditorialiste de La Montagne, Alexandre Morel, dénonçait « la passivité de Georges Bush qui laissait pourrir la situation ». Il fallait un signe fort, qui pousse les Américains à la haine contre le peuple arabe, qui légitime la répression de Sharon, qui justifie toute cruauté contre les Palestiniens. Yavhé soit loué (mais à prix raisonnable) : des attentats opportuns firent basculer les pays de l’OTAN tous unis derrière Tel-Aviv et Washington. Les capacités intellectuelles de Bush Jr étant ce qu’elles sont, il va se faire manipuler et ira bien gentiment « casser du bougnoule » pour ses amis hébreux. A qui profite le crime ? La réponse est évidente : pas aux Arabes qui perdront tous les acquis obtenus.

  Certains journaux n’hésitent pas ouvertement à accuser le Mossad et la CIA d’être à l’origine de l’attentat : c’est le cas du Yeni Safak en Turquie ou du chef du Hamas, le cheik Ahmed Yassine (entretien au Figaro, 13 septembre 2001). Nous nous posons simplement la question : qui avait vraiment intérêt à cela ? Notons l’attitude de Marc Danna alias Alexandre del Valle. Cet anti-musulman acharné, ami du Likoud et de Sharon, donnait une conférence le 1endemain de l’attentat à la mairie du XVIe..Or, le maire du XVIe arrondissement, qui fut invité aux audiences, n’est autre que Pierre-Christian Taittinger, petit-fils du député bonapartiste Pierre-Charles Taittinger et Président du Conseil de Paris sous l’Occupation… mais également, après-guerre, un factotum de la banque Worms ; l’homme qui organisa le 6 octobre 1964 l’exposition Moscou à Paris sous l’égide de l’ambassadeur soviétique Vinogradov. Taittinger est un ami du B’naï B’rith qui est si puissant dans le XVIe qu’il infiltra même la liste du FN aux munic ipales de 2001… Or, Del Valle se retourna contre ses anciens amis, accusa le FBI de manipuler Ben Laden et laissa entendre qu’il était manipulé par les Etats-Unis. Mieux, il lança une violente attaque contre « ces juifs qui instrumentalisent la Shoah » et dénonce le fait que lorsqu’un européen critique un juif, il est immédiatement taxé de nazisme alors que les Arabes se voient autorisés toute forme d’antijudaïsme. Le revirement de Del Valle est intéressant et conforte ce que nous subodorons. Cette vague d’attentats pue la manipulation. L’avenir nous dira si on avait raison, mais on ne peut que constater que ces attentats servent considérablement Israël. Les tours appartenaient à un proche du B’naï B’rith. Et alors ? En 1941, en annonçant leur volonté d’exterminer les Allemands, les Juifs américains ont bien sacrifié les Juifs polonais pour ensuite faire du fric sur leurs souffrances…

 

 

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