Dans son numéro 4 (hiver 2001-2002), le SCALP fait un dossier « spécial extrême droite » dont chaque page est un appel au meurtre caractérisé, en toute impunité. Preuve de leur instrumentalisation par le gouvernement de Front Populaire. Qui sont ces gens-là ? Dans son livre Le Fléau, l’écrivain juif de gauche Stephen King donne ce portrait exact des gauchistes : « les révolutionnaires professionnels et ceux qui ont si bien appris à haïr que leur haine déforme leur visage comme un bec-de-lièvre, que personne ne veut d'eux si ce n'est leurs semblables qui les accueillent dans des chambres minables décorées de slogans et de posters (...), dans les arrière-boutiques où l'on concocte des plans déments » Déments, les militants du SCALP le sont. Il suffit de se souvenir de Florence Rey et d’Audry Maupin... Lâches, ils le sont aussi. Shabbat-goïms affectés aux sales besognes des lobbies ploutocratiques, ils se sont caractérisés tant sous la Révolution française, la Révolution russe, la guerre d’Espagne, l’Epuration que sous Pol-Pot dans le saccage des sépultures et les persécutions contre les civils désarmés. Aujourd’hui, ils sont tout juste bons à casser des vitrines, brûler des voitures et agresser les femmes, les enfants et les personnes âgées qui prient devant les centres d'extermination fœtaux. Il suffit de lire attentivement leur prose pour savoir qui les paie et qui les finance... Leur haine contre tout ce qui peut porter ombrage au racisme juif indique clairement leur filiation talmudique. Incapables de créer, les anarchistes se complaisent dans la destruction, comme le chante l’un des leurs, Renaud Séchan : «J'aime ce qui est cassé, j'aime ce qui est détruit ». Bref, des gens à liquider avant que ce ne soit eux qui le fassent... Ils se prennent pour des « triangles rouges » (prisonniers politiques), ils ne sont que des « triangles verts » (droit communs), voir triangles noirs (« parasites sociaux »)... Leur slogan est clair : « Pas de fachos dans le quartier, pas de quartiers pour les fachos ». Appel clair et net au meurtre. Nous sommes en légitime défense. Ayant poussé la parano à des profondeurs abyssales, ils voient des fachos partout. Théorie du complot stalino-talmudique. Tous ceux qui sont catholiques sont fachos. Tous ceux que les Juifs détestent sont fachos. Tous ceux qui ne sont pas de gauche sont fachos. Tous ceux qui ne sont pas collabos de l'immigration invasion sont fachos... Devant un tel panel fasciste, on se demande pourquoi on n'est pas au pouvoir ! Il existe des passerelles entre les talibanlieusards et le SCALP, comme l'avoue le numéro du Bolchevik de février, véritable apologiste des délinquants ethniques de Mantes-la-Jolie. C'est justement dans cette ville que le SCALP a son plumitif en chef : Benoît Delmotte. Agé de 42 ans, il se présente comme « documentaliste » alors qu'il n'est qu'un obscur employé de librairie. On comprend sa haine : dans un système où le moindre gauchiste est promu aux hautes fonctions, où des anars deviennent ministres (Pierre Mazaud) ou scénaristes (Ken Loach), son incapacité totale l’a laissé sur le carreau. Reste la jalousie et l'aigreur. Dans sa dernière livraison, il s'en prend à moi. Va mon garçon, défoule toi, j'ai les épaules larges ! Tu m'as bien fait rire, surtout quand tu as prétendu que j'avais « raté mes études » (j'ai un DEA et deux maîtrises !) ou que j'avais repris des informations de nombreux livres pour L'Imposture antiraciste. Eh bien oui ! mon garçon, c'est le but d'un ouvrage de synthèse que de synthétiser les connaissances...Je passe sur les insultes. Je comprends que tu sois jaloux, toi qui es tout juste capable de recopier les fiches de basse police généreusement données par tes amis (et patrons ?) des Renseignements Généraux. Dans chaque anar, un flic sommeille.