Qu’est-ce que cache la médiatisation de cette affaire de barbarie entre filles, certes sérieuse mais bien moins horrible que certaines autres affaires non médiatisées ? Rappelons les faits. Le 16 mars, Jennifer, collégienne modèle de 14 ans, sera torturée pendant cinq heures par deux camarades de classe, Delphine et Emilie. Elles vont essayer de l’étrangler avec une corde, vont lui entailler le visage et les poignets avec des tessons de bouteille et lui couper les cheveux. Cette affaire a été plus médiatisée que celles de 1985, 1995 et 1997, autrement plus graves. Rappelons-les. Le 28 mai 1985, à Laxou (54), Sabine, petite épileptique de 12 ans, est séquestrée pendant plusieurs heures dans un appartement par cinq gamins et gamines âgés de 8 à 12 ans. Après l’avoir entièrement déshabillée, ces derniers la brûleront sur tout le corps avec des cigarettes. En mai 1995, à Marseille, Bernadette, adolescente fragile de 14 ans, est battue, tondue, brûlée et dévêtue par deux filles de sa classe qui, avec l’aide de d eux garçons, lui feront subir des sévices sexuels. Le 17 septembre 1997, au foyer Molitor à Hayange (57), la jeune Sophie, blondinette de 19 ans particulièrement naïve, est torturée durant douze heures par Mona, Nadia et Fadila, et elle aussi mise complètement nue, brûlée sur tout le corps, tondue et même violée... Dans les trois cas, faible couverture médiatique alors que les faits furent plus horribles que Besançon. Pourquoi aujourd’hui cette médiatisation particulière ? Deux raisons évidentes : la première, c’est que les gamines sont scolarisées dans le privé, ce qui permet les habituelles campagne de haine anti-catholiques et ce, alors que l’école Sainte-Marie n’a plus de catholique que le nom. Et que Delphine venait du collège laïc Jean-Jaurès... La seconde, c’est que pour une fois, le racisme n’a pas motivé l’action des tortionnaires. Sophie, Bernadette, Sabine avaient été martyrisées dans le contexte de guerre raciale que livrent depuis 1945 les Maghrébins aux Français. On comprend alors le silence d e la presse collabo, puisque aussi bien les communistes que les sionistes utilisent la cinquième colonne immigrée à des fins militaires dans le cadre du protocole d’extermination des peuples chrétiens défini par le Talmud, planifié lors du Congrès de Sion de 1897 et mis en place par l’occupant américain dès 1945 (un général de l’AMGOT déclarant : « Nous ferons de la France une colonie pour les noirs »). Cette horreur méritait médiatisation, mais le calvaire des autres filles aussi ! Comment, devant tant de barbarie, ne pas penser à une affaire similaire qui s’était produite dans l’est de la France le 30 janvier 1966. Dans un internat laïc, une petite fille de 12 ans, Martine Laverne, avait été torturée et violée pendant cinq heures par cinq filles de sa classe et une jeune surveillante (ou une grande de terminale, la sœur de l’une des filles) et ce fut elle qui fut renvoyée ! Cette affaire en amena une autre, car à partir de 1981 et jusqu’à 1990, elle fera subir le même sort à sa fille Camille (âgée de 8 a ns au départ), allant jusqu’à la vendre à sa meilleure amie, celle-ci « s'amusant » à la faire régresser jusqu’au stade de la petite enfance, non sans abuser d’elle sexuellement plusieurs fois par jour ! « Meilleure amie », qui, entre parenthèses, s’était vue offrir le 14 juillet 1945 la fillette d’un « collabo » comme « jouet vivant ». Elles avaient 8 ans toutes les deux ! Voulant briser le silence sur la pédomanie féminine, sa fille écrit actuellement un livre poignant, faisant passer l’enfance de Cosette pour celle de Heidi... Intitulé La Bassine rouge, le livre sortira prochainement au prix de 15 €. Nous en reparlerons dès que nous le recevrons, nous pouvons simplement en dire, pour avoir lu le manuscrit, qu’il s’agit du livre le plus poignant et le plus révoltant qu’il m’est été donné de lire sur le sujet. La providence divine veillant, les deux tortionnaires de la fillette sont mortes après avoir expié (l’une brûlée vive lors d’un accident de la route, l’autre d’un cancer des os)....
#13 / EDITION SPECIALE
UNE NOUVELLE FOIS LE GAUCHISME A TUÉ
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A NANTERRE, LE TRESORIER DE LA LIGUE DES DROITS DE L’HOMME ABAT FROIDEMENT UN JUSTE ET SEPT POLITICIENS DU SERAIL
Mercredi 27 mars, 1 heures 10. La séance du conseil municipal de Nanterre s’achève. Le trésorier local de la Ligue des Droits de l’Homme se lève, sort ses armes et abat froidement huit élus. Il tue Michel Raoult, 58 ans, proche de Christine Boutin, président de l’Association des Familles Catholiques et ami personnel du Docteur Dor, Raoult avait aidé à empêcher la commercialisation de la pilule de mort RU486, le pesticide humain d’Aaron Blum alias Emile Beaulieu (celui-là même qui avait déclaré tenir sa science de son idole : Joseph Staline). Durn tuera également Monique Leroy-Sauter (43 ans, apparentée RPR), Olivier Mazzotti (38 ans, UDF), Pascal Steinberg (30 ans, Conseiller Régional Vert), Valérie Méot (40 ans, PCF), Louisa Benakli (40 ans, PCF), Jacotte Duplenne (48 ans, Maire adjoint, PCF) et Christian Bouthier (46 ans, PCF). Après un séjour en Bosnie avec Kouchner (1993, en pleine purification ethnique anti-serbe), Durn milita au PS (1995-2001), puis fut proche des Verts depuis cette date. Né le 3 déce mbre 1968, d’une mère slovène et de père inconnu, il était au RMI bien que titulaire d’une maîtrise en Sciences Politiques et d’une licence d’histoire. Tout comme la famille Voynet (Dominique et ses neveux), il s’adonnait à la consommation de haschich, cette drogue qui donna le mot haschichins, devenu en français... assassins. Le lendemain, Richard Durn se suicidera en se jetant du quatrième étage de la Police Judiciaire, Quai des Orfèvres à Paris. Il n’était pas menotté, la police ne voulant pas avoir des ennuis avec les organisations des Droits de l’Homme. Durn n’a-t-il pas le triple statut de gauchiste, membre de la LDH et d’origine étrangère, le rendant particulièrement politiquement correct ? Sa mort donnera lieu à une enquête judiciaire plus poussée que lors d’une autre défenestration, celle de notre camarade Sébastien Deyzieu, assassiné par les sbires de Pasqua et Goldenberg (dit Gaubert)...
Comment, devant le massacre de Nanterre, ne pas penser au livre de Stephen King Le Fléau ? Dans cet ouvrage, l’Antéchrist – qui se fait appeler Randall Flagg – pense tenir la victoire dans son fief de Las Vegas. Aux Etats-Unis, il ne reste plus que 0,5 % de la population, le reste ayant été exterminé par la super-grippe. Les F-4 de la Garde Nationale du Nevada stationnés à la base d’Indian Springs sont opérationnels. Il a dans ses rangs un pilote, Carl Hough, qui commence à former six pilotes de chasse. Un pyromane psychopathe, Donald Elbert dit « La Poubelle », est même parvenu à armer les missiles Shrike sur les avions. Dans quelques semaines, Boulder, où sont retranchés les partisans du bien, ne sera plus qu’un champ de ruines. Oui mais voilà, tout va se gripper. Devenu encore plus fou, La Poubelle va tout d’abord piéger des hélicoptères et des camions de la base, tuant les six pilotes et leur instructeur. Et d’un. Puis, voulant se faire pardonner sa folie, voudra offrir à son maître « le feu sacr é », en la forme de la bombe atomique n°A161410USAF trouvée dans la base de Nellis. Bombe qui, par intervention divine, détruira Las Vegas et renverra Flagg en enfer pour un millier d’années...
A sa minable échelle, Richard Durn a joué le rôle de « La Poubelle », s’étant retourné contre ceux qui l’avaient dressé à tuer. En effet, seuls quelques naïfs peuvent croire que les Verts ne sont qu’un ramassis de babas en pull de laine, barbe et lunettes ovales, trayant des chèvres en scandant Gardelem Lou Larzac. Tout d’abord, parce que les seules chèvres vertes sont actuellement à Saint-Etienne, au stade Geoffroy-Guichard. Ensuite, parce que la santé mentale des élus et militants écologiques est pour le moins chancelante. Petit retour en arrière. En 1992, le trésorier de la campagne présidentielle de 1988 pour les Verts et Conseiller Régional du Rhône, Etienne Tête, est arrêté pour avoir escroqué les ASSEDIC de 131.000 francs. Le 4 octobre 1994, Audry Maupin et Florence Rey, proches des Verts (par le biais du SCALP) abattent froidement quatre personnes lors d’une virée sauvage place de la Nation. Le 4 décembre 1997, le vice-président du groupe vert au Conseil Régional du Nord-Pas-de-Calais Alain Trédez e st arrêté pour le meurtre de Patrice Guichard qu’il a frappé de 51 coups de couteau ! En août 1999, Gilles Leroy, conseiller municipal vert de Nîmes provoqua un accident de la circulation et s’enfuit. Arrêté par la police, il n’avait pas de permis et était en était d’ivresse fort avancé... Le 8 novembre 1999, le conseiller municipal vert d’Achères Jean-Max Séry est arrêté : de juin 1997 à juillet 1999, il a commis une vingtaine d’attaques à main armée et deux tentatives de meurtre contre des policiers. En mai 2000, Eric Pételin, figure écologiste des Pyrénées-Atlantique braque la conductrice d’un véhicule, percute six voitures et défonce la grille d’un parc avec le véhicule volé.. Voilà le vrai visage des écologistes. Le 10 mai 2000, à Fontainebleau, Fabrice Artois, militant écologiste de 36 ans, assassine son grand-père René. Il prétendit l’avoir euthanasié à sa demande, ce qui fut démenti tant par la famille que par le personnel médical. En mars 2001,Bettina Röhl, fille de la terroriste gauchiste Ulrike Meinhof révèle qu’en 1975, Daniel Cohn-Bendit eut des rapports sexuels avec des fillettes de cinq ans.
Il est vrai que les Verts incitent à la haine. Il suffit de lire leur programme, de voir leurs soutiens, d’analyser leurs organisations. L’organisation Greenpeace fiche ses militants, les fait entraîner à des opérations commados par des anciens de la sinistre Stasi communiste, peut saboter les centrales nucléaires par ses agents infiltrés, dispose de la liste nominative des 252 gardes républicains de l’Elysée, de leurs heures de rotations, mais aussi des membres du personnel des SNLE de la Marine Nationale... Greenpeace est lié à des groupes terroristes autonomistes, mais également à des groupuscules d’extrême gauche (DAL entre autres). Autre groupe terroriste, informatique celui-là, Génération Ecologie (proche d’Olivier Lévy, connu chez les goïm sous le nom de Brice Lalonde). Ce dernier appelait à l’envoi de virus informatique contre les sites des partis nationalistes (Libération, 4 octobre 1996). Les Verts sont pour la dépénalisation de la drogue (on voit avec Durn les résultats...), pour l’avort ement (des « de souche » uniquement) , pour l’euthanasie (toujours des « de souche »,), bref, de tout ce qui peut accélérer le génocide de notre peuple. Quelques jours avant la tuerie de Nanterre, le 9 mars 2002, les cent dix sauveteurs qui priaient devant le centre d’extermination fœtal du Chesnay ont été agressés par cent trente nervis gauchistes rangés sous les drapeaux des anarchistes de la CNT, des staliniens de Ras l’Front et surtout, des Verts, le tout aux cris de « A mort » et de « Gloire à Satan ». Il est vrai que les racines idéologiques des Verts plongent dans les sociétés occultes lucifériennes, notamment les Illuminés de Bavière (Adam Weishaupt) ou les martinistes (Martinez Paschallis et Louis-Claude Saint-Martin). Ces deux mouvements, qui seront soutenus par Samuel Jacob Falck (l’homme qui forma Cagliostro) et le financier F.: Moïse Dobrouchka, futur membre du Club des Jacobins, vouaient un culte quasi divin à la nature. Les personnalités des Verts sont idéologiquement connotées. Ainsi, le « co mique » Dieudonné M’Bala M’Bala, condamné pour racisme, était membre du comité de soutien aux Verts pour les européennes de 1999. Dans ce comité, on trouve aussi Billy Ze Kick dont même la FNAC avait retiré de la vente le disque pour « apologie de la consommation de drogue ». Egalement présent Romain Goupil, pourtant proche de la LCR, chantre de la haine anti-Serbe. On trouvait aussi Luis Rego, tâcheron du cinéma qui eut « son heure de gloire » pour s’être rendu aux BBR en état d’ébriété quasi éthylique pour y agresser des Français. Autre vert tristement célèbre : Jean-Luc Bennahmias, le très talmudique conseiller régional de Seine-Saint-Denis et élu local à Noisy-le-Grand. Il organisa de vastes campagnes de haine et d’injures contre les paroissiens de Saint-Martin-des-Gaules, bénéficiant notamment des soutiens médiatiques de Libération et de Charlie Hebdo, journaux en pointe dans le racisme anti-chrétien. Les esprits faibles qui constituent la majeure partie de ses troupes trouveront dans la propagande écologiste la justification du saccage du chantier de l’Eglise en 1998 et la tentative d’agression des fidèles assistant à l’inauguration. Les Verts bénéficient du soutien de Charlie-Hebdo (notamment de Cabu, Val, Cavanna), journal condamné de nombreuses fois pour racisme anti-français et anti-chrétien (Cabu a même été condamné pour racisme contre un conseiller régional d’origine algérienne !) et dont la ligne est impeccablement talmudiste (encensé par Actualité Juive) l’hebdomadaire a été partisan de la guerre contre la Serbie (comme la LCR de Krivine), de la légalisation de la torture en Israël, de la chasse aux révisionnistes. Justifiant les massacres israéliens, Charlie Hebdo ne manque pas une occasion de défendre les Talibanlieusards qui violent les gamines françaises, battent à mort les rares « de souche » qui leur résistent ou brûlent les Eglises. En voyant pour qui roule « Charnier Hebdo », on devine pour qui roulent les Verts. Or Charlie-Hebdo, journal dont Voynet n’a jamais renié le soutien, incite au meurtre chaque semaine, notamment contre Jean-Paul II en particulier et les catholiques en général, avec dessins incitant à la violence (notamment au saccage des Eglises) voire à l’extermination (assimilation nazis-catholiques avec rappels fréquents de la nécessité d’éradiquer les « nazis »). Et ne parlons pas de José Bové, imposteur parmi les imposteurs, dont les actions violentes ont inspiré un attentat meurtrier contre une chaîne de nourriture rapide (contrôlée d’ailleurs par les B’naï B’rith). Quant aux féministes vertes, elle avaient voulu imposer un couvre-feu pour les hommes à partir de 20 heures et les obliger a verser une amende pour pouvoir se marier. Mais on sait depuis les remarquables travaux de Antonio Vallejo Nagera (Biopsychisme du fanatisme marxiste) que les pétroleuses étaient plus cruelles, plus violentes et plus haineuses que les autres femmes, étant dépourvues de logique et de rationalité. On voit bien que, tout comme Lutte Ouvrière, le programme des Verts a des points communs avec celui de Pol Pot. D’ailleurs, à Marseille, les dissidents du parti avaient surnommé leurs anciens camarades « les Khmers verts ».
Durn, c’était le Garde Rouge (ou plutôt le « pyjama noir », la tenue des polpotistes) qui a fait long feu. Dressé dans la haine de l’autre, du catholique, du Français de souche, du patriote, cette bombe humaine a explosé dans les mains de ses artificiers. On peut ajouter, même si cela doit choquer, que je vois le geste de la providence divine dans le fait que Durn ait tué ses propres camarades plutôt que d’ouvrir le feu dans une église ou une école catholique ou à un meeting nationaliste. Nul doute d’ailleurs que, s’il l’avait fait, le comportement des médias à son égard aurait été tout différent... C’est pourquoi, vu qu’ils constituent un danger pour l’Homme, les mouvements écolo-gauchistes doivent être dissous et les meneurs mis hors d’état de nuire, ainsi que la Ligue des Droits de l’Homme, mouvements incitant à la haine et au racisme... Quant à Charlie Hebdo, toujours aussi lâche (Durn connais pas, Font, connais pas, Maupin et Rey connais pas...), dont la prose est l’exacte réplique des délires d u tueur (légalisation de la drogue, haine anti-serbe, intégrisme laïc, apologie des milices de gauche, racisme anti-chrétien, appels au meurtre), il serait temps, selon la bonne vieille jurisprudence républicaine et démocrate issue de la glorieuse résistance (vous voyez qu’on est pas sectaire...), d’interdire le journal, de confisquer ses avoirs et de fusiller ses journalistes. Pardon, d’euthanasier des bêtes fauves, des pitbulls à face humaine comme aurait pu dire Ehrenburg s’il avait été aussi cynophile que raciste...
