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saveurs d'Orient
Mensuel satirique d’opposition nationaliste et catholique.


#16 / JUILLET 2002 / EDITORIAL

  Il y a 40 ans… Juillet 1962, la page la plus noire de l’histoire du XXème siècle dans notre pays. Le 5 juillet à Oran, 5000 Français exterminés par les fellouses avec la complicité bienveillante du général Katz. Devoir de mémoire oblige, pensons à tous nos morts. Nous serons d’ailleurs les seuls à y penser, dans ce nouveau régime instauré depuis le 21 avril, cette République démocratique et populaire d’Hexagonie, dirigée par un immigré clandestin dont l’élection fut saluée par une véritable noria de mercenaires portant des drapeaux étrangers, prête à honorer tous les morts sauf précisément ceux qui sont Français et catholiques. Pensons à nos morts, ils le méritent. A vous, ces Français nés là-bas qui êtes allés bien gentiment se faire trouer la peau à Kasserine, à Monte Cassino, à Toulon, à Marseille, en Alsace… Voyez comme vous avez été remerciés ! A vous, héros de la résistance à la tyrannie gaulliste, les purs qui se sont sacrifiés, vous les Bastien-Thiry, Dovecar, Piedts, les victimes de la Rue d’Isly, de Bab el Oued, des Barricades… A toi Christian Fabbi, mon oncle par alliance. Soldat en Algérie alors que tu n’auras jamais dû y aller (ta maman était veuve et ton frère aîné était là-bas sous les drapeaux), tu étais resté là-bas, le gouvernement offrant une situation à ceux qui voulaient s’y établir et ce, alors que le bradage était déjà planifié. C’est le colonel de réserve Dogol, dit « la Grande Zorha », que les livres d’histoire nous présentent frauduleusement comme le général de Gaulle, qui est responsable de ta mort comme de celle de 97.000 Français en 1944-1946 et de 250.000 autres entre 1958 et 1968… A titre de comparaison, l’oncle Adolf a été responsable au maximum que de la mort de 80571 Français…

Henri de FERSAN



ABONNEMENT (12 n°) : 18 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN

Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#16 / JUILLET 2002 / ARTICLE

LE FESTIVAL DU PELICAN

  Ce qu’il y a de bien avec les sionistes, c’est qu’à chaque fois qu’ils veulent nous passer de la pommade, ils oublient de retirer leur gant de crin… Ainsi, voulant probablement compenser des pertes de recettes publicitaires, Jean-François Kahn se lance maladroitement dans une entreprise de séduction des 20 % d’exclus de la République. Le voici qui déclare : « Or, qui l’exprime ? Quel journal ? » dit-il en parlant du vote massif des ouvriers et des chômeurs pour le FN. Il parle de « non-dit (…) le racisme petit Beur » (mais n’est-ce pas dans son journal où l’on a nié le racisme anti-français ?). Il fait mine de s’intéresser aux difficultés financières de Présent. Il laisse un de ses journalistes, Christian Duplan, dire cette phrase étonnante en forme d’aveu : « A moins que nous cessions de caricaturer les électeurs du FN, en les enfermant dans des images agressives ou condescendantes (…) A ce moment-là peut-être, mais à ce moment-là seulement, ils arrêteront eux aussi de nous mépriser ». On pourrait presque se laisser prendre au piège ! Cependant, la caque sent toujours le hareng. Et même la carpe, farcie ou non… A chaque fois que Kahn essaye de nous lisser dans le sens du poil, il se sent obligé de faire une grosse bourde nous révélant son vrai visage et la réalité de ses intentions, à savoir que seul notre fric l’intéresse ! Ainsi, lors de la petite sauterie organisée à Nice le 12 juin avec le gratin de la nomenklatura aux ordres, il interdit à de jeunes nationalistes de débattre avec lui et, leur colère ayant éclaté, osa se présenter comme une « victime des fachos ». Dans son numéro du 6 mai, il laisse Gozlan se répandre en considérations méprisables sur les nationalistes. Dans son numéro du 2 juillet, il laisse Jack Dion insulter les catholiques de tradition, les qualifiant de « poignée d’excités de la calotte » assimilés aux « accros du culte vaudous ». Alors, que croire ? La réponse m’a été personnellement donnée par Duplan. A ma demande de pouvoir débattre dans l es colonnes de Marianne contre l’adversaire qu’il voulait, il m’a rétorqué à SEPT reprises en quelques minutes : « Kahn ne voudra pas ». La différence entre JFK et les autres ? Là où les derniers nous hurlent : « Fout le camp, pauvre con », lui nous susurre la bouche en chemin d’œuf (d’œuf de Kahn, bien sûr) : « Daignez passer votre chemin, Monsieur le con, mais si le cœur vous en dit, mettez une obole dans notre sébile » Paroles différentes, faits similaires… Oh, Jean-François, arrête ton festival (de Kahn, œuf corse…) ! Dans ton journal, tu ne respectes même pas la dignité la plus élémentaire des gens qui ne pensent pas comme toi. Nous croirons que Kahn est sincère le jour où on lira dans Marianne des entretiens ou des forum avec Beketch, Gallic, Madiran, Ratier, Faye, Daoudal ou Fersan… Pas un centime dans les caisses de celui qui avait résumé sa déontologie par cette phrase : « Durant des années, j’ai écrit des conneries pour du pognon » La France aux français et l’argent des nationalistes aux nationalistes !

 

 

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