PARADIS FAMILY
Danielle Duval LeMyre
[email protected]
(Father/PERE de Pierre Paradis)
ÉTAIT COUTELLIER en FRANCE
"We were there!"
Quebec, American, Canadian,
Amerindian, Acadian & European Roots,
a Genealogy & History of 17th & 18th century ancestors:
Tome 1. Nicholas Marsolet (1587-1677 and others;
Site anglais et francais, mélangés,
dépendant de la source.
Some parts in English, others in French,
depending on records.
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Paquet, Forget, Roussin, Tremblay, Baucher, Morency
Choret, Batailler, Mezeray, Sureau, Blondeau, Turcotte, LeRoy
Bouchard, Milloir, Dorval
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in this Series
Nicolas Marsolet and Marie LeBarbier
were Genevieve and Madeleine Marsolet.
Genevieve maried Michel Guyon du Rouvray and Madeleine married his brother, on the same day, in 1660, Francois Guyon du Buisson.
They were the sons of Jean Guyon.
Their sister, Barbe Guyon, married Pierre Paradis
and they had 16 children, many born in France.
was born in Mortagne, Perche, France, on July 20 1604,
and had a twin brother, Jacques, and another brother who both remained in France.
Jacques and Pierre both learned the trade of "coutellier" (maker of knives)
from their FatherJacques Paradis and worked in France.
their eight children followed his Father-in-law, Jean Guyon,
into the New World and Pierre's title at that time was "armurier" (maker of Armors).
The couple had another four children born in "la Nouvelle-France".
In Quebec three of their sons, Jacques, Guillaume and Pierre PARADIS marry three MILLOIR sisters, namely Francoise, Genevieve and Jeanne: in 1656 Jacques marries Jeanne-Françoise (LeRoy) MILLOIR, daughter of Jean MILLOIR & Jeanne LeRoy, and widow of Mathurin LePrestre and the new couple has five children (3 sons) and Jacques dies in 1678 or 1679; in 1670, Guillaume (b.September 24 1644 marries Geneviève (LeRoy) MILLOIR, and they have twelve (12) children (8 sons) and their son IGNACE PARADIS marries Marie-Anne Turcotte; in 1674 Pierre (b. October 2, 1647) marries Jeanne (LeRoy) MILLOIR and they have fifteen (15) children, of which four are boys and their daughter Anne Paradis marries Pierre Bouchard dit Dorval in 1709.
marries on October 16 1656, at 14, Guillaume Baucher, dit Morency,
and they have thirteen (13) children.
Guillaume Baucher was born in 1630 in Montmorency, near Paris
and he died in Octover 1687; his widow, Marie Paradis, dies on December 15 1708.
(Dion, Belanger, Paradis)
and they had six children, of which four were boys.
Jean (2nd) CHORET, Merchant Ship Captain, was married in 1693 to Catherine Batailler,
daughter of Pierre & Angélique Roy; the wedding was at La Rochelle and all the seven children who were born there.
Their daughter Louise CHORET married twice:
first Thomas Mezeray in 1678, with whom she had four children,
then in 1691, Hilaire Sureau dit Blondin with whom she had eight children.
when induced (?forced) to help the English, and finding a way to defeat their goal,
being an experienced Navigator & Ship Captain
(he was 60 years old) guided Admiral Hoveden Walker's fleet right onto the shoals of
"L'Ile aux Oeufs", his own boat (the admiral ship EDGAR) jumping the reef,
but eight of the large transports boats shipwrecking.
The fleet had been going to attack Quebec with 12,000 men and Admiral Walker simply chose to return home, which his Superiors thought was an error of judgment.
There had been fifteen War Ships and 69 transport boats.
It is said 1,500 bodies littered the shores of the island, as was reported by
sieur Margane de Lavaltrie.
It is believed that Quebec would not have survived such an aggression and no public commendation or charges were brought against Jean Paradis for leading the British attack.
You can some of this story below, in French, an extract from
"Portrait de familles pionnieres" by Robert Prevost
In 1729, less than 100 years after their wedding,
the PARADIS GUYON couple already had over 588 descendants...
Many of the descendants of his 16 children made a name for themselves.
(Click here to GO there directly)
on the Paradis Family it says:
Pierre Paradis est baptisé le 20 juillet 1604, à la paroisse Notre-Dame de Mortagne, dans la capitale du Perche. Il est le fils de Jacques Paradis, coutelier de métier et de Michelle Pelle.
Tous ceux qui portent le nom de Paradis, descendent de Pierre et de son mariage le 11 février 1632, avec Barbe Guyon. Cette derniere, baptisée le 19 avril 1617, est plus jeune que son mari de 13 ans. Elle est la fille aînée de l'ancetre Jean Guyon (qui prit l'appellation de sieur DuBuisson lorsque son fils Francois en recut le titre aprs son mariage avec Madeleine Marsolet) et, de Mathurine Robin qui sont aussi venus, en Nouvelle-France, au printemps de 1634.
Pierre Paradis arrive en Nouvelle-France le 1 juillet 1652, comme armurier, de son métier.
Le couple a douze enfants, dont huit sont nés en France, puis de ceux-la, , trois nous lient avec l'ancetre, dans cette généalogie.
Une quatrieme nous lie aussi, née a Beauport, dans le fief du Buisson et baptisée Madeleine Paradis, a Québec, en 1653. Elle est la neuvieme enfant du couple.
Madeleine Paradis épouse Nicolas Roussin, en 1667, mais decede a la naissance de son premier enfant Marie Roussin, en 1669. Cette derniere épouse en 1685, Pierre Tremblay, fils des ancetres Pierre Tremblay et Ozanne Achon. Par Marie Roussin et Pierre Tremblay, neuf enfants du couple créent des liens de descendance jusqu'a nous, toujours dans cette généalogie.
Revenons aux trois enfants nés en France et qui ont franchi l'Atlantique avec leurs parents.
(Kerth) Brothers
1638-1715
Guillaume Baucher est originaire de la ville de Montmorency, de Paris,; il est né vers 1630, dans la paroisse de l'église Saint-Martin. Guillaume Baucher est mort en octobre 1687 et sa veuve, Marie Paradis, le 15 décembre 1708.
Second wife
of Louis XIV
Mother to six
Children of Louis XIV
a Ste-Croix de Mortagne au Perche.
Il épouse en 1670, Genevieve Milloir, fille de Jean Milloir et de Jeanne LeRoy.
Douze enfants naissent au couple, dont Ignace Paradis qui épouse Marie-Anne Turcotte.
Jeanne Milloir, la soeur de Geneviève. Ils ont entre eux, quinze enfants,
dont Anne Paradis qui épouse Pierre Bouchard, dit Dorval, en 1709.
et il est inhumé le 30, a Ste-Famille de l'île d'Orléans.
Sa veuve, Barbe Guyon, demeure plusieurs années chez sa fille Marie Paradis, épouse de Guillaume Baucher, dit Morency, a Ste-Famille de l'île d'Orléans.
Elle est inhumée le 29 novembre 1700, a St-Pierre, de l'île d'Orléans.
Below, in French, an extract of Robert Prevost, which used to be found at:
www.sorel-tracy.qc.ca/~jean/paradis.html
and is the story of the family's life in France and their moving to Canada
and it starts: three brothers marry three sisters (the Paradis and the Milloir) .
Chez les PARADIS: les trois frères mariés aux trois soeurs.
Il y avait par exemple des fèvres-couteliers, le premier de ces deux mots signifiant «artisan», des couteliers faiseurs de manches, car l'on attachait beaucoup d'importance à l'élégance de l'instrument, et des taillandiers-émouleurs, chargés d'assurer le fil tranchant des lames.
A la fin du XVe siècle, chaque maître coutelier devait posséder son poinçon déposé en lieu sûr pour éviter tout contrefaçon.
le couple Paradis-Guyon avait déjà eu sept enfants,
et c'est avec cinq d'entre eux qu'il franchit l'Atlantique.
Il fallait avoir une bonne dose de courage pour affronter
une existence nouvelle en une aussi lointaine colonie.
Il faut dire cependant que Jean Guyon y faisait déjà carrière
depuis près de deux décennies: il était en mesure de tendre une main secourable
à sa fille et à son gendre, si la nécessité s'en présentait.
C'est que la décision du couple est prise.
D'Ailleurs, le 3 août 1658, il est à Québec puisqu'il y présente une fille au baptême.
Trois autres enfants naîtront.
En 1656, Marie épouse Guillaume Baucher dit Morency, à qui elle donnera 13 enfants.
Jacques fonde un foyer (1656) avec Jeanne-Françoise Milloir,
fille de Jean Milloiret de Jeanne LeRoy et veuve de Mathurin LePrestre:
ils auront cinq enfants dont trois fils;
Jacques décède vers la fin de 1678 ou au début de l'année suivant.
Guillaume Paradis épouse Geneviève Milloir, la soeur de Jeanne-Françoise (1670):
ils ont 12 enfants dont huit fils.
Pierre suit fidèlement l'exemple des précédents
et choisit pour compagne de vie (1674) Jeanne Milloir, la soeur des deux autres:
ils ont 15 enfants dont quatre fils.
Les trois frères mariés aux trois soeurs.
ils ont 11 enfants dont quatre fils.
Madeleine épousa Nicolas Roussin (1667), mais ne lui donna qu'une enfant
et décéda peu après cette naissance.
Marie-Madeleine fut plus heureuse: devenue l'épouse de Robert Choret (1674),
elle lui donna six enfants dont quatre fils.
Jean (2e de même prénom), capitaine de navire marchand,
choisit pour compagne (1693) Catherine Batailler, fille de Pierre et d'Angélique Roy;
le mariage eut lieu à La Rochelle: sept enfants, tous nés dans cette dernière ville.
Enfin, la benjamine de la famille, Louise, épousa Thomas Mezeray (1678), puis Hilaire Sureau dit Blondin (1691); elle fut mère de quatre et huit enfants respectivement.
( Chouteau
Pelletier)
Or son nom devait être associé au désastre de l'île aux Oeufs.
Au mois d'août 1711, l'orgueilleux amiral Hovenden Walker remontait le Saint-Laurent à la tête d'une flotte de 15 navires de guerre et de 69 transports pour assiéger Québec.
A la hauteur des récifs de l'île, Jean Paradis était à bord de l'Edgar comme pilote, qui arborait le pavillon amiral. Selon mère Juchereau de Saint-Ignace, l'annaliste de l'Hôtel-Dieu de Québec, le Neptune, en provenance de La Rochelle et commandé par Paradis, avait été capturé par les Anglais au moment d'entrer dans le Saint-Laurent.
celui-ci aurait volontairement retardé la progression de l'escadre pour donner au
gouverneur de la colonie le temps de préparer Québec à subir un siège.
Connaissant bien le fleuve, fut-ce pour conduire les vaisseaux à la catastrophe qu'il les dirigea vers l'île aux Oeufs?
L'Edgar, piloté d'une main ferme et experte, sauta avec succès la barre de récifs qui se présenta, mais huit gros transports qui le suivaient s'y éventrèrent.
Quelques semaines plus tard, le sieur Margane de Lavaltrie en apercevait les débris et comptait plus de 1,500 cadavres qui jonchaient la grève.
On croit généralement que Québec n'aurait pas été en état de résister à un tel siège,
l'amiral Walker disposant de 12,000 hommes.
Celui-ci, devant un tel désastre, résolut de rebrousser chemin.
(Verreau Dupil)
S'il a délibérément piloté Walker dans les parages de l'île aux Oeufs, risquant sa propre vie,
il s'est acquis la taille d'un héros. Mais tous ne partagent pas cet avis.
L'historien Ernest Myrand, pour sa part, écrit que le capitaine était lié par contrat,
que l'amiral avait promis de lui remettre son Neptune et de l'indemniser fort
généreusement s'il s'acquittait bien de sa tâche de transfuge.
Avait-il signé une telle entente sous la menace?
Y voyait-il une occasion de servir son roi?
Quoi qu'il en soit, les autorités ne l'on jamais inquiété par la suite,
assure un autre historien, dom Albert Jamet.
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Pierre Paradis a lui aussi son inscription à Mortagne-au-Perche:
Pierre PARADIS
COUTELIER
NE EN 1604
PARTI POUR
LE CANADA
Extrait de: Portraits de familles pionnières de Robert Prévost
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