 Hebdomadaire nationaliste et catholique. Hebdo officiel du Royaume de France. #33 / 5 juin 2003 / EDITORIAL « Ras le bol des nantis !!! Encore une fois, le pays est totalement paralysé par des grèves sauvages, voire terroristes : SNCF, poste, enseignants… Tous défilent pour la défense de leur privilège. Je ne suis pas le seul à partager cette opinion. Depuis le début de la grève, les boîtes à lettres électroniques se remplissent de courriels fort peu amènes vis-à-vis de la fonction publique. Récemment, l’un d’entre eux s’intitulait sobrement « On en a marre ! », se voulant le porte-parole des « citoyens bien ordinaires de la France privée, Celle qui risque tous les jours son existence, son emploi, son entreprise, son épargne. Nous sommes les salariés du privé dont 20 % des nôtres ont perdu leur emploi, dont les 80 % restant au travail sont condamnés, au risque de disparaître eux aussi dans le gouffre du chômage, à des efforts incessants de productivité, sans pouvoir éviter pour autant les restructurations drastiques qui éliminent régulièrement les plus faibles. Nous sommes les artisans, les commerçants, les paysans, les marins pêcheurs, les entrepreneurs, les professions libérales... Nous sommes la France qui n’a que LE DROIT DE SE TAIRE, la France QUI PAYE et toujours plus cher les errements de l’autre France, la France publique, celle de l’Administration, celle des fonctionnaires, celle qui s’arroge tous les droits et tous les avantages, celle qui, en vertu de son droit de grève irresponsable, sans risque et illimité ne cesse d’en vouloir toujours plus et d’en faire toujours moins, refusant honteusement de prendre à son compte les contraintes qui s’imposent à notre pays comme à tous les pays du monde ». Comment ne pas être d’accord avec ce cri de colère. Qui ne s’est pas heurté à l’univers kafkaïen de la Fonction Publique, à l’arrogance hautaine d’une gratte-papier de l’URSSAF, à l’incompétence lourdement anisée d’un guichetier de la SNCF, au coulage institutionnel de tout un bureau de Poste (dans les grandes villes, les postes des campagnes sont généralement très bien) qui, entre deux pauses-café, daigne servir le vil manant que vous êtes en prenant son temps, voire à l’imbécillité bornée d’un flic se prenant pour un cow-boy et retrouvant tout à coup sa férocité et son sens de la jugulaire devant le délinquant automobile que vous êtes, regain d’énergie motivé par le fait que vous ne vous appelez ni Moussa, ni Aziz et que vous n’avez pas de MRAP ou de potes pour vous défendre ? Quelles sont les doléances de cette France-là, à laquelle, au fond, nous appartenons plus ou moins ? « On en a marre que notre pays, que la Nature a gâté plus que tous les autres pays au monde, où chacun devrait jouir du plus haut niveau de vie, soit à ce point écrasé, asphyxié par 6.500.000 agents de l’État qui considèrent que tout ce qu’ils font ou ne font pas est bien fait, que plus ils dépensent de notre argent pour faire ce qu’ils font ou ne font pas, mieux ils font tourner l’économie, qui réclament pour le prix de leurs exceptionnels services des salaires, des primes, des avantages en nature, des dégrèvements fiscaux, des régimes de retraite qui nous font pâlir d’envie. Eux également ils payent des impôts, disent-ils. Pourquoi ne payent-ils pas l’impôt sur les tranches les plus élevées de leurs salaires que constituent les primes? Eux également cotisent pour leur retraite : oui, mais, à retraite égale, ils cotisent 5 fois moins que nous. Ils complètent en versant à la Préfond ? Assurément, ils se concoctent-là leur petite retraite complémentaire pour eux tous seuls et ils déduisent de leurs impôts les versements qu’ils y font. Pendant ce temps-là, c’est nous et pas eux qui payons 80 % des retraites des 5.000.000 de retraités que compte la Fonction Publique. Bien joué, mais quand on peut arrêter le pays par toutes sortes de grèves, on aurait tort de s’en priver. On en a marre que lorsque l’État s’occupe de quelque chose, c’est aussitôt des déficits pharaoniques. Voyez France Telecom, 170 milliards d’Euros de pertes, c’est le budget de toutes les régions réunies. Voyez la SNCF, elle coûte à chacun de nous, en plus du billet de train, 1.200 F par an de subventions. Et malgré les milliards qu’elle reçoit, malgré ses 185.000 agents dits actifs, elle ne cesse de perdre ses parts de marché au profit du transport routier, tout simplement parce qu’elle une des plus coûteuses au monde. Voyez votre facture d’électricité. Grâce à l’énergie nucléaire, nous devrions bénéficier du Kw le moins cher au monde. La belle affaire, EDF/GDF compense en entretenant 140.000 agents (50 .000 de plus que nos voisins) qui ne doivent que 32 heures de présence, disposent de 4 mois de congés payés qu’ils peuvent passer en totalité dans un somptueux centre de vacances des Alpes Maritimes pour 800 Euros les quatre mois, grâce au fabuleux trésor de 500 millions d’Euros que ses agents se partagent chaque année pour leurs loisirs. Cela fait plus de 23 000 F pour chacun, tout simplement, non déclarés aux impôts, bien évidemment. Pourquoi faut-il 4 fois plus de postiers en France qu’aux Etats-Unis à service égal ? Pourquoi I’OCDE classe-t-elle la France très loin derrière les autres pays quant à notre capacité à lire et à écrire alors que nous avons l’enseignement le plus cher du monde par élève? On en a marre de ces gâchis répétés, sans contrôles, sans sanctions. Savez-vous seulement qu’un service public qui parviendrait à faire quelques économies serait sanctionné l’année suivante par une réduction d’office de son budget. Alors que s’il dépense plus, il a des chances d’en avoir plus. Pourquoi d’autres pays au monde sont-ils parvenus à réduire pour certains de 30% la dépense publique, tels la Suède et le Canada, alors que nous, nous ne cessons de l’augmenter? Parce que NOUS PAYONS tout cela sans broncher, parce que le pays est au pouvoir de quelques syndicalistes sans scrupules qui jouissent personnellement de leur fonds de commerce et n’ont cure de l’intérêt général » Il est vrai que les deniers publics sont victimes d’un gaspillage qui frise l’irrationnel. Michel de Poncins a consacré nombre d’articles à ce sujet et un livre fort bien documenté : Les Etranges silences de la cour des comptes (Odilon Media, 1996), qui donne une idée de la gabegie étatique. Cela ferait rire si ce n’était pas avec notre argent !!! On apprend ainsi que l’Etat, ce n’est pas seulement le trou de la Sécu, celui du Crédit Lyonnais et de la SNCF, sans parler d’une Poste qui va bientôt concurrencer la redoutable Poste italienne, mais c’est aussi tout une collection de petites gabegies, certes moins spectaculaires, mais dont l’accumulation pèse lourd : c’est le Mobilier National qui s’évapore petit à petit (diantre que ses camions sont mal arrimés : pendules, vases, tapis précieux ont une proportion élevée à tomber d’iceux…), c’est la Compagnie Générale Transatlantique qui est obligée de payer 100 millions d’euros une épave flottante et d’investir de force… dans une usine de construction de motos, ce sont les petites mairies endettées pour des décennies suite aux projets pharaoniques et démesurés d’une administration (Arles est endettée pour 65 ans pour son « Institut de Recherche sur la Provence antique » et son « Centre Van Gogh » qui ont coûté à eux deux la bagatelle de 37,5 millions d’euros ! Conques (Aveyron) s’est endetté à hauteur de 3,8 millions d’euros pour un « Centre européen de culture romane et de civilisation médiévale ». L’idée n’est pas mauvaise en soi, mais un peu trop audacieuse pour un village de… 366 habitants !). La question que l’on se pose est la suivante : qui sanctionne ces gens-là ? Pour les politiques, ce sont les électeurs, parfois la justice. Pour les hauts fonctionnaires, c’est… personne ! Continuons la lettre de doléance : « Demandez à Marc Blondel qu’il vous avoue, derrière la fumée de son cigare, le salaire qu’il s’est octroyé, les avantages en nature dont il profite hors tout impôt, la petite retraite qu’on lui prépare... Il y a encore des endroits où il fait bon vivre en France, à nos frais, vous pensez bien. A QUAND L’ABOLITION DES PRIVILÈGES? A QUAND LA SANCTION DES GÂCHIS? POURQUOI DEUX FRANCE AU PAYS DE L’ÉGALITÉ? Il faut que nos élus sachent que nous exigeons qu’ils prennent les mesures nécessaires à rétablir les conditions d’une France équitable. Nous ne tolérerons plus de porter le fardeau, nous et nos enfants, d’une caste privilégiée, intouchable, gaspilleuse de notre argent, pour qui la grève est le moyen privilégié de s’enrichir aux dépens de notre travail et de notre épargne. Nous refusons que notre pays s’en trouve affaibli. Nous voulons une France juste et dynamique ». L’allusion à Blondel est bienvenue. L’homme de main du Forum de Davos est célèbre pour le comportement fort peu conforme à ses convictions syndicales qu’il a vis-à-vis de ses chauffeurs, l’un d’entre eux l’ayant d’ailleurs assigné aux prud’hommes. Nous ne demandons pas la suppression du service public, mais simplement sa réforme.
Henri de FERSAN
#33/ 5 juin 2003 / SOMMAIRE
EDITORIAL [adresse] Avertissement: Nuit gravement à la République. Attention: non estampillé par le Consistoire …. |
#33 / 5 juin 2003 / ARTICLE
Petit à petit, la laïcité cède sous les coups de boutoir des fous d’Allah… Après l’affaire des piscines (voir Le Libre Arverne n°32), le 2 juin, une épreuve de BTS Transport, se déroulant lundi 2 au lycée Martin Nadaud à Paris (XXe), a été troublée par un candidat musulman insistant pour sortir et faire sa prière, ont annoncé des professeurs de cet établissement, témoins de l'incident. Selon Jean-Marc Guillon, professeur d'économie chargé de surveiller l'épreuve : « Le jeune homme, prénommé Moussa, devait composer pour l’épreuve écrite qui dure six heures. Elle avait commencé à 13H00 mais à 14H10, il m'a demandé de sortir pour faire la prière », ,. « Devant mon refus - je lui ai dit que cela n'était pas autorisé par le règlement de l'épreuve et qu'il se trouvait dans un établissement public laïque - il a demandé à voir le proviseur. Je l'ai accompagné. Dans le bureau du proviseur, la secrétaire, elle-même de confession musulmane lui a dit qu'il était permis de différer sa prière. Un professeur d'arabe, dont l'aide a été requise, lui a dit la même chose le prévenant que son imam pourrait le lui dire aussi. Le candidat - parlant au professeur d'arabe dans cette langue « car c'est celle de la religion, la seule que je reconnaisse » - lui a rétorqué que son imam était absent, qu’il passait l'examen pour gagner le paradis et ne pouvait se dispenser de prière pendant six heures de rang. Finalement, il est rentré dans la salle d'examen mais au lieu de composer immédiatement, il s'est prosterné et a récité silencieusement sa prière devant les autres candidats médusés puis il a consenti à continuer l'épreuve. Celle-ci s'est déroulée sans autre incident jusqu'à son terme, 18H10 ». Selon d’autres professeurs du lycée, le candidat, qui fréquente cet établissement, « n’avait pas posé de problème jusqu'à ces derniers temps où il a commencé à revendiquer sa foi ». Il aurait même « prévenu, à quelques jours de l'examen, qu'il n'entendait pas passer une épreuve de six heures sans faire de prière ». Les enseignants et la direction de Martin Nadaud ont rédigé un rapport sur l'incident qu'ils ont adressé au rectorat de Paris. Même cas de figure à l’École des Langues orientales de l’INALCO, familièrement appelée l'École des Langues-O, qui est en proie à une poussée islamiste sans précédent dans son département d'enseignement de l'arabe. Les faits relatés par des étudiants à l'administration sont à peine croyables : des étudiantes portent la burka, d'autres refusent de passer un examen avec un professeur homme… Les étudiantes musulmanes obligent les autres beurettes à ne pas porter de rouge à lèvres, l’une – maquillée – a été démaquillée de force… Cela n’a pas commencé différemment en Iran ! Pour l'heure, le président de l'école n'a toujours pas réuni les professeurs qui ont eu à faire face à de telles situations. Il ne sait donc pas si des enseignants obtempèrent ou non. Pensant à sa carrière, il n’a pour tout commentaire que cette phrase : « Lorsque des étudiantes arrivent en octobre en jeans et en T-shirt et qu’on les voit avec le foulard au mois de février, on se dit qu’il y a un problème d’ambiance. » En tout cas, le corps enseignant n’est pas à l’abri : interdiction faite à une professeur chrétienne de citer le Coran, une professeur de poésie s’est vue interdire de proposer à l’étude des textes profanes… Tous les petits minables endoctrinés qui défilaient entre les deux tours des présidentielles contre Jean-Marie Le Pen s’écrasent comme les larves qu’ils sont devant ce que Marianne appelle à tort « le fascisme vert ». Les petits moutons finiront égorgés le jour du grand Aït-el-Kedir racial… #33 / 5 juin 2003 / ARTICLE
Petite revue de presse américaine sur un mois… Le 8 mai, la peine de mort était requise par le tribunal de Pittsburgh (Pennsylvanie) contre un Noir, Rodney Lee Burton. Le 23 mars, le cadavre entièrement nu (à l’exception de ses chaussettes et de ses bijoux) d’une jeune fille blanche de 17 ans, Dana Marie Pliakas, était retrouvée dans une rue de Murrysville. Elle avait été violée et torturée à mort par Burton. Le 12 mai, à Las Vegas (Nevada), la police arrêta Shod Walker, un Noir de 25 ans, qui avait assassiné à coups de pierre une riche touriste blanche, Simone Hirst, 39 ans. Le 14 mai, à Akron (Ohio), la police arrêtait un Noir de 43 ans, Donald Craig, alias « Dondie ». Ce dernier avait violé, battu et étranglé à mort une petite fille blanche de 12 ans, Roseanna Marie Davenport, le 5 mars 1996. La petite allait avoir 13 ans deux jours plus tard. Le 15 mai, la justice refusait la remise en liberté de LaDon Stephens, un Noir qui avait violé et assassiné le 13 décembre 2001 une petite fille blanche de 13 ans Melissa Bittler. Le même jour, à Brooklyn (New York), une jeune handicapée blanche de 21 ans (muette) a été victime d’un viol collectif par quatre Noirs âgés de 18 à 23 ans. Toujours le même jour, 10 ans de prison étaient requis contre un ancien joueur universitaire de football américain, Marcus Dixon. Ce Noir de 18 ans avait violé une jeune fille blanche de 15 ans le 10 février 2003. Le 21 mai, à Virginai Beach (Virginie), une jeune fille blanche de 16 ans a été harcelée sexuellement dans une bibliothèque par un enseigne de vaisseau de race noire, Matthew Willams, qui sert sur le porte-avions USS Entreprise. Le 26 mai, à Akron (Ohio), une fillette de 13 ans de race blanche a été enlevée et violée collectivement par Mark Conwell (18 ans), Darrell Clay (18 ans), Jimmy Schmidt (20 ans) et Davon Debman (20 ans), tous de race noire… Le 27 mai, à Edmonds (Washington), 41 mois de prison ont été requis contre le Noir Arnold Allison, coupable d’avoir volontairement écrasé en avril 2002 Georgia Pemberton, une jeune fille blanche de 16 ans. Le 28 mai à Milwaukee (Wisconsin), débutait le procès de Kimani Ward, un Noir qui, en janvier 2003, avait violé, volé et massacré à coups de levier une jeune femme blanche de 24 ans, Emily Willegal. Le 29 mai, à Norfolk (Virginie), Adrian O’Neill Robinson, un Noir de 25 ans, est jugé pour l’assassinat d’une religieuse blanche, Sœur Philomena Fogarty (67 ans), qu’il avait prise en otage en Géorgie avec Sœur Lucy Kristofik (72 ans) après avoir assassiné son père Henry Robinson (56 ans). Le cadavre de la religieuse avait été découvert décapité et amputé des mains et des pieds dans un parking de Virginia Beach le 26 mars dernier. La peine de mort a été requise. Le 4 juin, à Seattle (Washington), l’ancien joueur de football américain des Huskies Jeremy Stevens, a été jugé pour le viol d’une jeune blanche de 19 ans en 2000. |