hdf.fr.fm
saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#40 / 24 juillet 2003 / EDITORIAL

«  Il s’est passé ce mois-ci deux événements similaires : à quelques jours d’intervalle, Mikäel Petit et moi-même avons été exclus de deux forums, moi de election-politique.com, lui de forum-politique.com, et à peu près pour les mêmes raisons. Par solidarité, nous pratiquons donc la politique de la chaise vide pendant une semaine. Dans le prophétique 1984 de George Orwell, Winston Smith enfermé dans les geôles du Ministère de l’Amour, rencontre un de ses anciens collègues, Ampleforth… A la question «Pourquoi vous a-t-on mis dedans ? » posée par Smith, il répondit : «Il n’y a qu’un crime, n’est-ce pas » « Et vous l’avez commis ? » « Apparemment… » Le « crime de la pensée », le mot est dit… Mon crime ? Tombé dans un nid de gauchistes, j’ai retrouvé l’atmosphère de Dungeons & Dragons. Tel le Moine dixième niveau devant une horde de gobelins, je suis entré dans le vif du sujet à coups de bâton. Me battre à un contre cent ne me fait pas peur, car comme dirait le dessinateur JC : « De Fersan peut s’en faire cent ». Le modérateur m’ayant menacé de ses foudres joviennes pour avoir verbalement botté l’arrière-train d’un roquet socialiste particulièrement insultant et hargneux, je lui ai signalé que les propos haineux contre l’Eglise catholique qui parsemaient son forum étaient moins conformes à la Loi Pleven de 1972 que mes déclarations sur le fait que l’homosexualité était une maladie. J’ai donc été exclu, ce qui m’a empêché de dormir pendant au moins dix minutes. Un peu plus tard, c’est Mike qui est tombé au champ d’honneur, assassiné dans un piège vicieux tendu par une petite peste helvéto-gauchiste qui ne perd rien pour attendre… La jungle des forums, c’est pire que le Vietnam… Comme disait John Rambo : « J’l’ai pas voulu cette p…. de guerre ! ». Alors pourquoi aller sur les forums ? Pour y recruter ? Non. Tout simplement pour y jouer les périscopes. Prendre la température ambiante. Lancer une sonde, regarder les réactions, analyser les résultats puis repartir en plongée. Il va de soi que mes théories sont de plus en plus confirmées. Jour après jour, la faille se creuse inexorablement entre les deux sociétés. Dimanche, pour la deuxième fois en quinze jours, nous avons eu un pique-nique paroissial à Plauzat rassemblant la chapelle de Clermont-Ferrand et celle d’Issoire. Encore une fois, cela nous a permis de nous retrouver entre nous et de resserrer les liens. C’est en regardant mon agenda pour les mois de juillet et d’août que j’ai touché du doigt quelque chose d’assez déroutant : la maison est ouverte aux amis et comme nous en avons beaucoup, celle-ci ne désemplit pas. Surtout l’été. Or, la totalité des personnes que nous recevons sont des gens comme nous. La question se pose : est-ce que c’est nous qui ne voulons pas voir les autres ou les autres qui ne veulent pas nous voir ? C’est la question à laquelle j’essayais de répondre en parcourant les forums. Maintenant j’ai la réponse : ce sont eux qui ne veulent pas de nous. Il suffit de voir les messages de pure haine qui se déversent dès que vous faites mention de votre qualité de catholique de tradition. Cela n’a rien à envier à ce que j’entends quand je me présente comme fasciste. Ce n’est pas que cela me choque ou m’attriste. Je suis un marin de tempête et le gros grain ne me fait pas peur, voire même me manque... Généralement, les insultes ne font que refléter leur nullité intellectuelle et leur étroitesse d’esprit. Personne n’aime vivre avec les blattes, mais au fond, qui en a peur ? Ils sont très courageux derrière leur écran, mais ils seront les premiers à aller se réfugier dans les jupes de la maréchaussée à l’apparition de la première chemise noire avec son flacon d’huile de ricin… Ils voient un fasciste le lundi, le vendredi ils courent encore… Plus sérieusement, fréquenter les forums est pour moi un travail. C’est comme aligner des longueurs et des longueurs de bassin pour un nageur, les tours de piste pour un athlète, les matchs amicaux pour un footballeur, le sac de sable pour un boxeur ou les gammes pour un musicien. La propagande est mon métier et les forums sont mes entraînements. Toujours est-il qu’à la lumière de ce que je vois, de ce que je lis, de ce que j’entends, je me dis que la société est fendillée. Les trois cercles se touchent de moins en moins. Si avec les membres du cercle 2, qui représentent 19 % de la société, la communication est très facile de par concordances de vues politiques, celle avec les membres du cercle 3 - 81 % de la société - devient de plus en plus impossible. Nous en sommes arrivés à une phase où ils ne veulent même plus nous parler. De toute façon, nous en reparlerons dans quinze jours, qu’ont-ils à nous apporter ???

Henri de FERSAN



#40/ 24 juillet 2003 / SOMMAIRE

EDITORIAL

POLITIQUE : Une mythomane démasquée
Echec à Sniper !

PRESSE-MEDIATS : Quand France-Football sélectionne les dictatures...
Quand la presse dénonce le complot "nazisraélite"...
AFFAIRES ETRANGERES : Coup d'état à Sao-Tomé
Les services secrets anglais assassinent David Kelly...

SOCIETE : Du côté de la guerre raciale...
Météorite en Sibérie...

SPORTS : Football
Formule 1

CULTURE : Le Sanhedrin crucifira-t-il Mel Gibson ?

[ABONNEMENT] (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN


Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#40 / 24 juillet 2003 / ARTICLE

UNE MYTHOMANE DEMASQUEE

  Le général Maurice Schmitt, ancien chef des armées venu de l’arme parachutiste (il a commandé la 11e DP), était la cible d’un procès en diffamation intenté par un appelé, Henri Pouillot, et par une ancienne terroriste de la dictature FLN, Louise Ighilahriz. Lors des débats, il a étrillé l’affabulatrice : blessée aux jambes lors d’un échange de tirs avec l’armée française en septembre 1957, elle prétendit avoir été violée et torturée pendant trois mois au Paradou Hydra, l’état-major de la 10e division parachutiste. Le problème, c’est que son récit est un tissu d’erreurs que le général n’eut aucun mal à relever. Ainsi, elle prétend que l’homme qui l’a violée et torturée quasi-quotidiennement, le capitaine Jean Graziani (qui ne peut se défendre, vu qu’il est tombé à l’ennemi en 1959) avait « de beaux yeux verts ». Pas de chance, il a les yeux noirs d’un Corse. De même, elle prétend avoir été torturée par le colonel Bigeard (Bigeard ? comme c’est Bigeard !) qui portait « un béret rouge ». Caramba, encore raté ! Le célébrissime officier portait la fameuse casquette léopard achetée sur sa propre solde ! Mais il est vrai qu’elle ne pouvait pas le savoir, puisque Bigeard n’a jamais été en garnison à Hydra. Il est IMPOSSIBLE qu’une femme violée ou torturée ne se souvienne pas avec précision de ce genre de détail. Il se trouve que je connais plusieurs jeunes femmes qui ont connu ce sort atroce quand elles étaient fillettes et le fait est là, que ce soit Catherine Barneron, Victoria Tissot, Bénédicte Gutierrez ou Camille Laverne, elles se souviennent avec précision de la façon dont elles étaient habillées ce jour-là, de la tenue de leur mère et des mots que celle-ci a prononcés. Même Camille, qui a huit ans avait si peu de mémoire qu’elle était incapable d’apprendre la moindre fable de La Fontaine, se souvient encore de la jolie robe bleu-ciel qu’elle portait le jour où elle est tombée entre les griffes de sa mère, sa robe préférée que son bourreau déchira avant de torturer la fillette à la cigarette… Rajoutons à cela qu’Ighilahriz s’est trompée dans la quasi-totalité des dates et nous constatons que n’est pas Elie Wiesel qui veut. Fabuler, ça s’apprend. Il y a des écoles pour ça. Il fallait qu’elle fasse appel à Max Gallo, il aurait fait d’elle le Martin Gray en jupon de la guerre d’Algérie…La presse de gauche, jadis vautrée dans la collaboration la plus abjecte avec les ennemis de la France VAINCUS MILITAIREMENT (mais vainqueurs politiquement grâce à l’homme de toutes les trahisons et de toutes les lâchetés, le colonel de réserve en retraite Charles De Gaulle / Dogol), continue encore en 2003. En première ligne, les mercenaires de plume du Monde. Un certain Alexandre Garcia (cela m’étonnerait fort qu’il soit pied-noir d’Oran…) prend ouvertement partie pour la complice du génocide en harki… le 5 juillet ! (« Et démolir, devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris , les accusations d’une vieille dame très émue, recroquevillée au premier rang, et qui le poursuivait en diffamation. (…) Pour le général, mâchoires serrées et regard de glace, la partie à l’audience est presque trop facile ». Voilà comment habilement on rend l’ancienne criminelle sympathique et le héros de guerre antipathique. Rappelons que le général Schmitt n’est pas à proprement parler un homme de droite, loin s’en faut. Lorsqu’il était chef d’état-major des armées, il avait inspecté le lycée militaire de Saint-Cyr, et avait impitoyablement réprimé les élèves ayant montré leur sympathie pour le maréchal Pétain, vainqueur à Verdun et ancien enseignant à Saint-Cyr, et pour le lieutenant-colonel Bastien-Thiry, le résistant à la tyrannie gaulliste. Le Monde présente le général Schmitt (un nom alsacien, ça fait tout de suite un côté SS…) sans pitié pour une pauvre vieille dame recroquevillée… Touvier, Barbie et Papon étaient aussi des « vieillards recroquevillés » sans que cela ne suscite la moindre pitié au Monde. Et puisqu’on parle de pitié, je ne crois pas que le FLN de madame Ighilahriz en eut pour les vieillards pieds-noirs ou Algériens fidèles à la France. Il y a des photos que le général Schmitt aurait dû montrer à la barre à Ighilahriz pour lui rafraîchir la mémoire… Dans Libération, Florence Aubenas reprend la même rhétorique et donne des précisions le 16 juillet. Prise en flagrant délit de mensonge, elle use de l’arme sémite typique : elle fait pleurer sur son sort. Elle larmoie, elle chougne, elle joue la carte de la sensibilité : même faux, son récit émeut car il frappe aux tripes. Pourquoi ne le ferait-elle pas ? Cela a si bien réussi aux demi-frères en 1945… « Ne me torturez pas, ça fait encore très mal »… Et de verser des larmes de crocodile. Pas sur les victimes du FLN bien sûr. Ni sur les VRAIS torturés de la guerre d’Algérie : les résistants de l’OAS tombés entre les mains des barbouzes. Car la torture des criminels du FLN était parfaitement légitime dans le cadre de la lutte anti-terroriste. Quand un lâche ou un assassin pose une bombe dans un tramway et qu’elle risque de déchiqueter des dizaines d’enfants, pas de quartier : il doit parler coûte que coûte pour dire où est sa bombe. Et comme disait dans Rocky IV le capitaine soviétique - champion du monde amateur de boxe - Ivan Drago devant le corps agonisant de l’ancien champion du monde professionnel Appolo Creed qu’il avait massacré sur le ring : « If he dies, he dies » (« Si il meurt, il meurt… »). Normalement, l’affabulatrice devrait être déboutée. Verdict le 10 octobre.




#40 / 24 juillet 2003 / ARTICLE

LES SERVICES SECRETS ANGLAIS ASSASSINENT DAVID KELLY...

  Le 18 juillet, la police retrouvait le cadavre de David Kelly, 59 ans, dans son village de Southmoor. Il avait la veine de son poignet gauche tranchée et l’on a retrouvé à ses côtés un couteau et des médicaments. Inspecteur chargé de contrôler l’arsenal irakien, il avait informé la BBC que les rapports sur l’armement irakien avaient été gonflés sur ordre du gouvernement britannique pour faire accepter à l’opinion publique l’entrée en guerre. Selon la version officielle de la BBC et du gouvernement anglais, David Kelly s’est suicidé. Comme Boulin, de Grossouve ou Bérégovoy… Il y a 12 points d’ombres qui mettent fortement en doute la thèse officielle du suicide. Premièrement, lorsqu'on veut se suicider en se tranchant les veines, on n’utilise pas un couteau grossier, plutôt une lame rasoir ou un bistouri, qui sont beaucoup moins douloureux, facile d'accès si on est un scientifique qui possède un laboratoire de recherche en biologie. Deuxièmement, lorsqu’on veut se suicider en se coupant les veines et qu'on veut en finir intelligemment, on ne se tranche pas seulement d’un seul côté mais des deux. Sinon cela risque d'être long… Troisièmement : pourquoi un homme de son courage, de sa classe et de sa trempe se trancherait-il les veines à genoux pour mourir le visage dans le sol. Cela ressemble beaucoup plus à une mort exemplaire et sacrificielle, style barbouze. Quatrièmement, s’il était si déprimé que cela et qu’on a trouvé une bouteille de pilules à ses côtés, pourquoi l’a-t-il laissée par terre à côté de lui s’il était si méticuleux qu'on le dit ? Et les « anti-douleurs » qu’il a pris étaient bénins pour contrer la souffrance qu'on éprouver à « s'ouvrir une veine » du poignet avec un couteau. Cinquièmement, sa famille déclara publiquement qu'il éprouvait du stress et semblait très, très en colère. Le seriez-vous si on vous menaçait de supprimer votre famille, vos êtres chers, de les torturer ou leur faire vivre une mort atroce? Et pourriez-vous l'avouer à ceux concernés ? Cet homme a eu le courage d'aller jusqu'à la B.B.C (qui soit dit en passant l’a trahi « royalement » car on sait à qui ce réseau appartient) et de leur révéler des informations hyper-sensibles qui mettaient le gouvernement Blair et Bush en porte à faux face au reste de la planète, en dévoilant que l’affaire irakienne et ses armes de destruction massive étaient une arnaque, montée de toute pièce (tout comme celle d’Afghanistan, du 11 septembre et de Ben Laden, comme la Seconde Guerre Mondiale… ) pour instituer un totalitarisme mondial et mettre en place les systèmes de surveillance à la Big Brother au nom de la « Guerre contre le terrorisme ». Il était loin d’être le lâche, dépressif, qu’on nous présente. Sixièmement, on dit toujours de lui qu’il était un expert en arme de destruction massive mais on mentionne rarement que sa spécialisation était les armes biologiques. Blix, inspecteur en chef de l’ONU, qui lui était expert dans les armes nucléaires, a également affirmé que les rapports des américains et des britanniques sur la possession d’armes de destruction massive de l’Irak, avaient été gonflés. Septièmement, le gouvernement de Tony Blair est sur la sellette car son ministère de la Défense et ses « Services de Renseignement » (MI 5-6) sont accusés d’avoir soumis le Dr Kelly à des pressions telles qu’il aurait craqué. La pression la plus puissante qui aurait pu le faire « craquer » est la menace de supprimer sa femme et ses trois filles dans un petit accident de voiture ou autre et lui d’en réchapper, l’amenant tranquillement au désespoir. C’est la signature opérationnelle d’agences telles la CIA américaine ou du MI-5 et MI-6 britannique et autres pourritures « démocratiques ». Huitièmement, le Dr David Kelly avait confié dans un courriel adressé à un journaliste « qu'il y avait des joueurs "obscurs" dans cette partie et qu'il n'aimait pas se trouver pris avec eux ». Tony Blair demeura silencieux comme une tombe lorsqu’un journaliste lui demanda « s’il avait du sang sur les mains ». Neuvièmement, en tant que biologiste réputé, il connaissait très bien la pharmacopée et les moyens de se suicider, autrement qu’en se tranchant le poignet avec un couteau, ce qui est très douloureux et stupide, qu’il était loin d’être. Dixièmement, si sa famille a donné la version officielle « qu'il le savait stressé et très, très en colère, les jours qui ont précédé son suicide », ce n’est pas par instinct suicidaire. N’importe qui aurait été courroucé si on l’avait menacé de supprimer sa famille. Si la famille demande la discrétion absolue, c’est plutôt parce ses membres craignent pour leur vie. Onzièmement, les éloges que sa femme fait de cet homme, jovial, humain, plein d’humour et de compassion, ne correspondent pas au profil d’un homme qui se suiciderait. S’il a eu l’audace de se présenter à la B.B.C. tout en étant employé du Ministère de la Défense, il savait très bien qu’il pouvait perdre son emploi, sa réputation et peut-être même sa vie. Douzièmement, il semble également que, sous couvert de l’anonymat, le Dr Kelly ait répété à deux autres journalistes de la BBC travaillant séparément que le gouvernement avait exagéré l'imminence de la menace irakienne pour justifier la guerre. Tony Blair a refusé de démissionner. Souvenons-nous que le 22 avril 2003, le quotidien britannique The Daily Telegraph consacre sa « Une » et quatre pleines pages à un scoop susceptible de discréditer le mouvement anti-guerre au Royaume-Uni : le correspondant en Irak du quotidien a retrouvé, dans les ruines du ministère des Affaires étrangères, des documents accablants pour George Galloway, député travailliste, décrit par le journal comme le « militant de la paix le plus actif et le plus visible en Grande Bretagne ». Le député britannique percevrait secrètement un pourcentage des pétro-dollars irakiens, d’une valeur d'au moins 375 000 livres (543 000 €) par an, prélevés sur les fonds « pétrole contre nourriture » destinés à nourrir la population civile. C’est du moins l’accusation lancée par les 379 journaux du groupe Hollinger de Richard Perle et Heinz « Henry » Kissinger, documents à l’appui. Problème : des documents similaires parvenus au Mail on Sunday et au Christian Science Monitor ont été expertisés comme faux. Le député aurait perçu un pourcentage des ressources pétrolières irakiennes. D'après un mémo envoyé par le responsable des Services secrets irakiens à Saddam Hussein, M. Galloway aurait exigé un pourcentage plus important pendant le programme « pétrole contre nourriture ». Cette rente lui aurait été versée afin qu’il promeuve les intérêts irakiens en Occident. Le 6 mai, le Parti travailliste suspend George Galloway de ses fonctions, officiellement pour ses positions hostiles à MM. Bush et Blair lors d'une intervention sur une télévision du Golfe, le 28 mars. L’histoire aurait pu en rester là si le Mail on Sunday n'avait annoncé, dans son édition du 11 mai, avoir obtenu de la même source que le Christian Science Monitor des documents à l'évidence falsifiés mettant, eux aussi, en cause George Galloway..L'expertise complète révèle une grossière imitation de la signature de M. Galloway ainsi que des erreurs techniques et factuelles faciles à déceler par une personne connaissant l'administration irakienne et ses procédures administratives. Parmi les erreurs relevées, on note en particulier la mauvaise orthographe du nom du secrétaire du président, Abid Hamid Mahmoud, que les faussaires ont écrit «Abdul Hamid Mahmoud». Le titre apposé sous la signature de Qusay Hussein est lui aussi erroné : il n’était pas alors «directeur de la Garde républicaine» mais directeur de l’Organisation de sécurité spéciale…

 

 

Hosted by www.Geocities.ws

1