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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#44 / 21 août 2003 / EDITORIAL

«  « Inimicitas ponam inter te et Mulierem, et semen tuum et Semen illius » : je mettrai une hostilité entre toi et la Femme, entre ta descendance et sa Descendance (Genèse, III, 15). Cette citation biblique, chantée à l’Offertoire lors de la messe de l’Assomption, montre que, comme l’avait déclaré Aragon, qui aura dit quelque chose d’intelligent une fois dans sa vie : « La femme est l’avenir de l’homme ». De la part d’un plumitif du PCF ayant fini sa carrière sentimentale dans la peau d’un pédéraste entouré de jeunes éphèbes, cela prête à sourire, mais bon, ils n’en sont pas à une contradiction près… En cet octave célébrant la Très Sainte Vierge, il serait galant, opportun, indispensable même, de chanter les louanges de celles à qui nous devant tant : la femme ou la jeune fille de tradition. Si j’étais provocateur, je dirais… mais non, JE SUIS provocateur, donc je le dis, le clame, le hurle : « La femme de tradition est l’élite de la race aryenne ». Ça ne va pas arranger mon dossier auprès de la LICRA… Evoquant une revue évolienne mort-née, nos confrères du Choc du Mois, tout aussi morts hélas (ils ont été l’une des premières victimes de la lex faurissonia), déclaraient en novembre 1992 : « Elle ne proposera pas comme modèle la petite oie blanche en jupe plissée bleue marines, socquettes blanches et souliers vernis, ni sa sœur aînée la BCBG au foulard Hermès, ni la respectable – et respectée – mère de famille nombreuse ». N’étant pas un disciple d’Evola (je ne suis pas « Nouvelle Droite », ce n’est pas un démenti, c’est un fait), ce sont précisément ces dames et demoiselles dont il va être question céans. Pour cette semaine, nous laisserons les petites pensionnaires dans leurs écoles pour évoquer leurs mamans. Bien qu’appartenant à l’espèce masculinus convertibus, je suis à même de parler de la femme tradie : j’en ai épousé une ! Ne rêvons pas, toutes les femmes de France ne seront jamais des tradies, ni même les femmes de nos mouvements. Il est temps de mettre ces femmes à l’honneur, place qui leur revient ô combien ! et dont elles ont été jusqu’alors injustement privée, non seulement dans la société (c’est logique), mais également dans nos milieux (ça l’est moins…). Bastion de la famille traditionnelle, la seule viable, la famille de tradition suit benoîtement son cap sur l’océan de la vie. Une famille, c’est un papa, une maman, des enfants. Cette définition aurait fait sourire il y a soixante ans, mais quand on voit le cloaque dans lequel notre société est plongée, il n’y a pas de quoi rire… Les deux sont indispensables et complémentaires. Comme le croiseur-cuirassé fut à la fois un mauvais croiseur et un mauvais cuirassé (même chose pour le croiseur-porte-avions), la maman-papa est à la fois une mauvaise maman et un mauvais papa. Si Dieu avait voulu que l’homme et la femme soient interchangeables, il nous aurait fait hermaphrodites comme les escargots ! Il est vrai que pour le système matérialiste libéralo-marxiste, la femme de tradition est l’ennemie numéro un. Pensez donc : elle refuse de travailler, d’être une STO déportée à l’usine ou au bureau pour engraisser les patrons et leurs laquais syndicalistes. Elle ne dépense pas sa paie virtuelle en maquillage, fringues, seconde voiture, repas au restaurant pendant l’heure de midi… et impôts supplémentaires ! Une mère de famille, c’est une femme qui élève elle-même ses enfants et empêche les écoles de l’état d’en faire des golem endoctrinés, elle cuisine elle-même et donc n’achète pas les produits alimentaires tout faits des cartels mondialistes, elle a rarement besoin d’une deuxième voiture et donc n’a pas à emprunter… Elle coud parfois elle-même les robes de ses fillettes et les pantalons de ses garçonnets, évitant d’engraisser les fripiers du Sentier… Aïe aïe aïe, c’est mauvais pour le magasin ça… Femme dévouée et fidèle à son mari (et réciproquement, œuf corse), pas de procédure de divorce pour engraisser la caste à robe noire… En plus, elle ne se fera pas avorter, les fœtus ne pourront même pas engraisser certaines firmes cosmétiques. Bref, elle gène. Je tiens à rassurer les messieurs, les maris gênent tout autant le système, mais ce n’est pas d’eux dont il est question. Dans un pensionnat d’élite comme celui de Saint-Franc (anciennement Malvières), « la petite oie blanche en jupe plissée bleue marines, socquettes blanches et souliers vernes » comme ils disent, apprend à coudre, à faire la cuisine, à tenir un intérieur, à couper du bois et une foule de choses plus utile que de savoir ce qu’est une homothétie (vous vous en souvenez vous ? Moi pas et je m’en passe très bien !) ou de connaître le nom du dernier groupe de braillards dégénérés à la mode. Que les bons esprits se rassurent : elle apprend AUSSI le français, l’anglais, le latin, la musique, les maths, la physique et l’histoire-géo… Entendons-nous bien : une jeune fille doit avoir un métier au cas où elle ne trouverait pas de mari (cas de figure anecdotique mais bon…) ou que ce dernier mourrait jeune, la laissant veuve avec des enfants à charge. Mais vouloir faire des filles des bas-bleus leur prépare une vie de malheurs et de désillusions. Quand la cinquantaine sonnera, qu’elle sera seule, défraîchie et que bientôt, elle sera à la retraite, vous la verrez aigrie, jalouse, haineuse, genre vieux laideron ranci du MLF ou épistolière de gazette vomissant sa bile et sa haine de la femme qui a réussi sa vie… Au lieu de me farcir le crâne à l’école laïque avec leur philosophie à 30 centimes d’euro, ils auraient mieux fait de nous enseigner les rudiments de la plomberie, de la menuiserie et de l’électricité.. Dans ma vie, je me suis plus souvent trouvé face à face avec une tuyauterie bouchée qu’avec une hypoténuse… Un sondage réalisé par le Planning Familial américain et dont les résultats ont été publiés dans le Washington Times du 2 juillet 2003 montre que désormais, 51 % des Américaines sont opposées à l’avortement sauf dans certains cas extrêmes (viol, inceste, risque de mort pour la mère) contre 45 % en 2001, ce qui est ressenti comme une victoire par Anne Scheider, la directrice de la Ligue d’Action pour la Vie de Chicago. La victoire pour la survie de la race caucasienne passe par le changement des mentalités féminines. On commence à le voir poindre, comme je l’avais signalé dans le numéro 25 en évoquant les Jeunesses Identitaires, une nouvelle génération de femmes, qui ne sont pas de culture catholique, mais qui comprennent avec cet instinct de survie qui n’est pas tout à fait mort qu’il y a un lien entre les avortements massifs effectués par la génération de leur mère et la transformation de la France en « Dominion » du Tiers-Monde...

Henri de FERSAN



#44/ 21 août 2003 / SOMMAIRE

EDITORIAL

POLITIQUE : Canicule made in USA...
Incendies de forêts dans le Var : la piste criminelle

PRESSE-MEDIATS : Réponse à un article sur moi

AFFAIRES ETRANGERES : Ouganda : Mort d'un tyran...
Irak : l'ONU frappée à la tête

SOCIETE: Etats-UNis : encore un sportif noir violeur...
Amérique du NOrd : une panne qui fait désordre...

SPORTS : Football
Formule 1

CULTURE :Le Révisionniste (2/III) (collectif)

[ABONNEMENT] (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN


Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#44 / 21 août 2003 / ARTICLE

OUGANDA : MORT D'UN TYRAN...

  L’un des plus sanguinaires tyranneaux africains est mort. Idi Amin Dada qui avait saigné à blanc le pays de 1971 à 1979. Son surnom « Dada » date de ses débuts dans la carrière des armes où son supérieur européen le considère comme un « bon bougre, totalement dénué de matière grise ». Homme à femmes, il avait été surpris par son supérieur avec deux demoiselles dans son lit. Il présenta la première comme sa femme, mais dut s’expliquer sur la présence de la seconde… Il déclara alors, hilare : « c’est ma dada (grande sœur dans son dialecte) ». La tragédie ougandaise est encore dûe à la politique anglaise dans la région. Le pays est en effet une création artificielle : le gros du pays constituait le Royaume du Bouganda, regroupant le centre et le sud du pays, sur la rive gauche du lac Victoria, comprenant notamment la capitale Kampala et la ville d’Entebbe sur une superficie de 66.384 km², soit un quart du pays. Le Bouganda avait une longue tradition nationale et avait même son unité dans l’armée coloniale anglaise : le 4e bataillon du King’s African Rifles Regiment. En 1955, la Grande-Bretagne annexe de force le Bouganda chrétien à l’Ouganda musulman qui comprenait les anciens royaumes de Bunyoro, Toro, Ankole des terres du Moubendé et du Bousouga et des provinces du nord et de l’est. Le roi du Bouganda, Mutesa II, fut roi d’Ouganda de 1962 à 1963 (il était roi du Bouganda depuis 1942), puis président de la République de 1963 à 1966 où il fut renversé par celui qui fut le rival honni d’Amin Dada : le premier ministre Milton Obote. Obote fut lui même renversé par Amin Dada le 25 janvier 1971, avec l’aide de Israéliens qui trouvaient qu’Obote se rapprochait dangereusement de Moscou. Caricature du despote nègre, Amin Dada est né dans la ville de Koboko (à l’endroit où se rejoignent les frontières de l’Ouganda, du Zaïre et du Soudan) entre 1924 et 1926 dans une tribu nomade et musulmane du nord, les kakwanciens, qui ne représentent que 0,4 % de la population. Embrassant la carrière des armes, il devient champion de boxe de l’armée anglaise puis de l’Ouganda (catégorie poids lourds) et combattit en Birmanie pendant la Seconde Guerre Mondiale, puis participa à la répression contre la révolte des Mau-Mau au Kenya en 1953. Capitaine dans l’armée ougandaise lors de l’indépendance, il devient général en chef en 1967. En août 1972, vexé de s’être vu refuser les faveurs d’une jeune asiatique qu’il convoitait, il expulsa les 63.000 Indiens et Chinois du pays, provoquant une crise économique sans précédent. Au président Nixon qui protestait, Amin Dada répondit : « Mon très cher frère, avec tous les problèmes que vous avez sur les bras, je m’étonne que vous trouviez encore assez de zèle pour en chercher d’autres ». Après avoir provoqué un incident diplomatique avec l’Allemagne en demandant au chancelier le pourquoi de l’absence de statues d’Hitler, le brave Idi Amin rompit successivement ses relations diplomatiques avec Israël en juillet 1972 (il en expulsa les 70 conseillers militaires et accueillit les terroristes palestiniens qui avaient détourné un avion d’Air France en 1976, avion libéré par un commando israélien. De rage, « Daddy » fera exécuter le personnel de l’aéroport), avec la Grande-Bretagne en juillet 1976 (après avoir demandé la princesse Anne en mariage. Pas rancunier, il proposa au Royaume-Uni de lui faire parvenir des bananes pour nourrir les chômeurs…), avec l’URSS en novembre 1975. Le 1er novembre 1978, il envahit la Tanzanie avec l’aide de la Libye et son armée occupe la rive nord du Kagera (plus connu sous le nom de Nil...) soit 1.800 km². Ne perdant qu’un char dans l’offensive ougandaise, les Tanzaniens contre-attaquent massivement, entrent en Ouganda le 28 novembre et prennent sa capitale le 11 avril 1979. On était loin des déclarations enamourées d’Amin Dada pour le président Nyerere : « Je vous assure que je vous aime beaucoup et qui, si vous étiez une femme, malgré vos nombreux cheveux blancs, je vous considèrerais comme digne d’être épousée. Mais vous êtes un homme et cette éventualité est hors de question ». (automne 1972). Frondeur, Idi Amin proposera à Nyerere (de deux ans son aîné) de régler leur différend sur un ring de boxe. En exil en Arabie Saoudite, il est mort le 16 août d’hypertension, de diabète et d’obésité. Son régime a provoqué de 100.000 à 500.000 morts, son ennemi juré en tuant lui 300.000, tout aussi meurtrier qu’Amin mais beaucoup moins drôle… A noter qu’il reste encore un mouvement rebelle se réclamant d’Idi Amin : le Western Nile Bank Front dont la base principale est à Morobo et est dirigé pour la partie civile par Zubaïri Atamuk et pour la partie militaire par le lieutenant-colonel Abdallah Abdelatif. Fort de 2000 hommes soutenu par le Soudan, le WNBF est allié à la LRA (Lord’s Resistance Army) de Joseph Kony, qui ont fait parler d’eux en juin 2003 en enlevant 100 collégiennes dans l’est du pays.




#44 / 21 août 2003 / ARTICLE

Le Révisionniste (2/III)

  Après avoir vu dans le numéro 42 les crimes alliés d’il y a près de 60 ans, intéressons-nous aux crimes alliés… d’aujourd’hui ! Nos amis du trimestriel belge Le Révisionniste ont consacré un dossier au bombardement de l’Irak (mais aussi de la Serbie) par les Américains avec des armes à l’uranium, ce qui est formellement interdit par la Convention de Genève. Dans le dossier, il y a de nombreuses photos d’enfants irakiens contaminés par les armes du camp démocratique. Certains de ces bébés, irradiés dans le ventre de leur mère, n’ont plus grand’ chose d’êtres humains. Certains ne sont plus qu’un amas de chairs difformes : enfants nés sans bras ou sans jambes, enfant cyclope, enfant au ventre gonflé par dérèglement du foie… Les munitions à l’uranium, dont l’appellation exacte est « bombe CBU-55B », sont généralement tirées des bombardiers A-10 Thunderbolt, les fameux « chasseurs de chars », prévus à l’origine pour anéantir les formidables concentrations blindées du Pacte de Varsovie sur le théâtre européen. Après une explication technique donnée par Vincent Reynouard (physicien de formation) sur l’uranium appauvri, la brochure montre les conditions d’utilisation de celui-ci sur le front irakien et le front serbe. Ce sont ces fameux projectiles qui ont littéralement carbonisé les unités de la Garde Républicaine en 1991, faisant au départ penser à un tir de bombes à neutrons. C’est le long des frontières entre l’Irak et l’Arabie Saoudite et l’Irak et le Koweït qu’ont été tirés ces projectiles dont les dégâts sur le corps humain sont immenses : cancer du cerveau, leucémie, lymphome, pathologie du système digestif, stérilité, anomalie génétique dans la descendance, tumeur aux os, cancer de la peau… Le bilan des cas de cancer dans les provinces irakiennes entre 1989 et 1994 est accablant : dans la province de Dhĩ Qãr (près de la ville antique d’Ur) on est passé de 72 à 489 cas ; de 37 à 218 dans la province de Maysãn (le long de la frontière avec l’Iran, capitale : Al Amareli) ; de 180 à 461 à Bassorah.. Même cas de figure pour les enfants difformes : 1235 cas en 1994 contre 0 en 1989 dans la province d’an-Najaf (sud de l’Irak, capitale : An Najaf) ; 81 contre 35 dans celle de al-Muthannã (entre Bassorah et an-Najaf)… 2.000 tonnes d’uranium appauvri ont été déversées sur l’Irak, dont certaines portions seront contaminées – si rien n’est fait – pour 4,5 milliards d’années ! Vincent Reynouard a compris les enjeux de cette guerre : « En 1945, les vainqueurs ont certes déposé les armes une fois l’ennemi broyé, mais ils ont poursuivi la guerre au niveau de l’esprit. Dans une gigantesque entreprise de « dénazification », ils n’ont cessé de traquer, d’appréhender, de juger, de condamner, de pendre des vaincus (…) Et aujourd’hui, cette deuxième guerre mondiale continue : l’Allemagne paie et payera encore, le « racisme » (décrit comme un avatar du « nazisme ») est impitoyablement pourchassé, débusqué, condamné ; les révisionnistes sont bannis… Les « fils et filles de déportés juifs » ont pris le relais ; ils traquent les Jean Plantin, les Jean-Louis Berger et les Michel Adam qui n’ont pas connu la guerre. Depuis 1945, ainsi, le monde accepte qu’un conflit puisse se poursuivre indéfiniment sur le plan intellectuel. De là à juger qu’une guerre puisse également perdurer sur le plan matériel, il n’y avait qu’un pas. Ce pas, il a été définitivement franchi en 1991 en Irak. (…) A l’aube du troisième millénaire, Big Brother – nom moderne de l’Antéchrist – règne sur un monde d’esclaves où toute rébellion est suicidaire. Gare à celui qui, pour une raison quelconque, tente de secouer le joug. Big Brother le prévient : « Tu te rebelles ? Sache que je t’écraserai sans pitié car j’ai la technique pour le faire et je souhaite préserver la vie de mes sbires ». Puis, se penchant à son oreille, il susurre (pour que les masses occidentales n’entendent pas) : « Et sache que je ne contenterai pas de détruire ton armée et de tuer tes soldats en faisant pleuvoir sur eux du métal en fusion. Non, tes femmes, tes enfants et même tes bébés à naître seront également les victimes de ta rébellion. Je contaminerai ton sol pour des milliards d’années. Tes enfants joueront avec des balles empoisonnées ; leur corps se couvrira d’ulcères, leur abdomen gonflera et ils mourront. Tes femmes donneront naissance à des enfants sans bras, sans mains, sans yeux ; elles enfanteront de tels monstres qu’il vaudrait mieux pour eux naître déjà morts… » (…)Nous devons expliquer que tout ce qui se passe en Irak, en Bosnie, au Kosovo, etc. a été rendu possible parce que les précédents ont été posés en 1945. Nous devons expliquer que si l’anti-morale anglo-saxonne mise en place après la défaire de l’Axe porte la mort, c’est qu’elle était d’essence satanique, parce que fondée sur des mensonges de propagande (Satan est « le Père du mensonge »). Naturellement, cela implique une remise en question de tout ce qui paraît acquis sur la deuxième guerre mondiale : notamment la réalité de « l’Holocauste » et la justesse de la cause alliée (car il est évident qu’une guerre juste et menée selon les règles de l’humanité ne saurait engendrer une ani-morale de mort). Cette mission est certes très difficile. Mais tant que les masses n’en seront pas convaincues, tant qu’elles croiront à « l’Holocauste » et à toutes les autres inepties véhiculées depuis des lustres, tant que dans leur esprit sera gravé le slogan : « Nazisme = mal absolu » (…), elles ne remettront jamais en cause les fondements du Nouvel Ordre mondial, puisque cet ordre a été bâti pour ne « plus jamais revoir cela » ». Ces crimes n’ont pas été commis par des nazis réels ou fantasmés, par des fascistes, des staliniens ou des adorateurs du dieu Pan. Ils ont été commis par nos « démocraties », celles-là même qui prétendent donner une leçon de morale au monde. Mais franchement, qu’espérez-vous attendre des Américains ? Les couvertures contaminées pour les Indiens, les têtes de Sudistes empaillées, les camps pour les Philippins avec profanation des cadavres des rebelles, le blocus de l’Allemagne en1919-1920, les camps de la mort et le deuxième génocide allemand de 1945-1950, les bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki, le défoliant sur le Vietnam et maintenant, la guerre atomique discount avec leurs armes à l’uranium enrichi… Beau palmarès n’est-ce pas ? Mais il n’est guère étonnant de voir le ZOG (Zionist Occupation Gouvernement) se comporter comme les derniers des pharisiens… Le Révisionniste – numéro 2 de la Troisième année (2 juillet 2003) – V.H.O. – BP 256 – B-1050 BRUXELLES 5 –Belgique – 10 €

 

 

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