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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#48 / 18 septembre 2003 / EDITORIAL

J’ai toujours fustigé dans ce journal la stupidité de la bourgeoisie de gauche ou libérale, futile matérialiste, obsédée par son argent et le désir de paraître, de celle qui faisait dire à Flaubert : « Un bourgeois, c’est un cochon qui voudrait mourir de vieillesse ». Parfois hélas, cette bêtise tue. L’exemple qui va suivre est édifiant sur l’idiotie des bobos, amenant parfois à la mort des rares enfants qu’ils font et qui ont échappé à l’avortement et à la drogue. Sur un site de féministes de banlieue genre « chiennes de garde », une bobo témoigne sur le suicide de sa fille de 13 ans dont elle porte une lourde responsabilité de par sa stupidité liée à ses préjugés racistes et sexistes. Analyse de texte et commentaires psychologiques à l’appui montrant que ce sont ses idées, son égoïsme, sa faiblesse, sa lâcheté qui ont tué sa fille, ce qu’elle refuse d’admettre. Tout le monde sait que c’est toujours de la faute des autres… « Je suis une maman avant toute chose ; j'appartiens à un milieu social que certains pourraient juger de très aisé... Alors, on pourrait me dire : "Mais que veut-elle la bourgeoise ?" Et bien je veux tout ! Car je suis femme avant d'être bourgeoise. Ai-je réussi à protéger mes filles face au sexisme de notre société ? La réponse est NON ; j'ai perdu une enfant ; l'autre y a échappé de peu... ». « Je veux tout » : la réflexion d’enfant gâtée inapte aux sacrifices. Elle paie au prix fort son hédonisme avec la mort de sa fillette, tuée par cette mentalité, qui est très exactement celle de « la racaille », qui veut tout, surtout sans avoir à le payer. Notre pays est comparable à ces familles qui ont du bien amassé par des générations et qu’un fils/fille à papa dégénéré ruine en quelques années en menant la vie de luxe et de stupre. Une part importante de la génération du « baby-boom » a joué ce rôle : non seulement ils ont dilapidé ce qu’ils ont reçu de leurs parents, mais c’est à nous leurs descendants à solder la casse… Franchement, quand ils prennent enfin « le choc en retour », on ne va pas les plaindre : gardons nos sentiments pour la pauvre gamine, pas pour sa mère indigne. Elle prend en pleine figure le néant, l’inutilité, la dangerosité de son style de vie… Et pourtant, la mort de sa fille ne l’a pas rendue moins inconsciente… « Début janvier 1993, c'était la veille de la rentrée des classes. Ma fille aînée, âgée alors de 16 ans, se rend dans la chambre de sa petite sœur Evelyne pour lui dire bonsoir : la petite fleur est pendue au bout d'une corde accrochée à son armoire. Elle n'avait pas encore 13 ans... C'était trop dur à porter le poids du silence et de la souffrance.(…) Il s'est avéré que ma petite fille était victime de violences systématiques sur le chemin de l'école. Les responsables ? Des gamins des cités proches... Sa faute ? Etre blonde, être d'une remarquable beauté, être libre dans ses agissements, et surtout...celui d'être française puisque les insultes qu'elle a reçues était sans ambiguïté, aucune. De nature sexuelle les insultes, bien sûr ! Et dire que ma petite fille jouait encore aux Barbies, si loin de la sexualité et de la violence qu'elle peut générer chez certains... » Pauvre petit bébé blond à qui on n’avait pas appris la vie, pas celle des films, la vraie, celle qu’on ne lit pas dans Le Monde ou Télérama. C’est sûr qu’elle n’avait jamais pu faire part de sa souffrance à sa mère : elle l’aurait probablement traitée de « raciste ». On ne connaît que trop le discours des féministes qui prétendent que 70 % des viols sont commis dans la famille, ce qui est faux. Dans les sociétés occidentales, que ce soit la France ou les Etats-Unis, il faut savoir que 90 % des crimes racistes sont commis par des gens de couleurs contre les blancs , dont la quasi-totalité des viols collectifs et une part importante des viols simples. Les « racailles » ne sont pas les seuls responsables du suicide de cette fillette. Sa mère est au moins aussi coupable qu’eux. Et le père protecteur là-dedans qui, comme les « papas-courages » de Créteil et La Seyne, aurait pu les calmer définitivement ? Nulle mention. Il a dû être jeté par-dessus bord dans une procédure de divorce et n’être plus bon qu’à payer une somptueuse pension alimentaire qui a permis à médème de mener grand train en laissant crever sa fille par son indifférence… Le corps enseignant est lui aussi coupable : rien vu, rien entendu… Il est vrai que la petite Evelyne était probablement trop blanche et trop blonde pour que l’on s’intéresse à elle dans une société où 73 % des profs sont socialistes ou marxistes. Il est vrai que les profs baignent dans une sous-culture aussi virtuelle que paranoïaque peuplée de hordes de skins persécutant les pauvres basanés. Cette vision du monde est peut-être réconfortante pour l’ego politique, mais n’a strictement rien à voir avec la réalité ! Même nous les nationaux sommes un peu responsables : nous avons encore de gros efforts de communication, d’information et de prospection à faire. L’optimum serait d’arriver à une situation où n’importe quelle petite aryenne persécutée par une racaille pourrait trouver réconfort et protection auprès de nos structures parallèles et qu’elle comprenne que pour toutes les institutions, elle n’est pas de la bonne race... « Le racisme est loin d'être à sens unique, il serait donc temps de le dire ! ! ! Peu de temps après ce drame, d'ailleurs, ma fille Karen se promenait avec sa camarade de classe Farida. Elles ont assisté à une agression : des jeunes des banlieues, originaires d'Afrique du Nord, agressaient "une des leurs". Et là, incroyable, Farida leur hurle dessus : "Vous n'avez pas honte. Allez plutôt taper les blanches là-bas" ; il s'agissait de françaises "de souche" sortant du collège, justement...» Là elle aurait dû comprendre quand même… Même pas ! « Et bien Karen a "craqué" ; elle a tapé sur Farida. Et Farida, sous le coup, loin de se révolter, a saisi toute l'horreur de son propos : ces victimes toutes désignées pouvaient être ses propres amies ! Elle s'est répandue en larmes et en excuses ; elle avait connu Evelyne et l'histoire du drame, elle aussi.» Remarquez la stupidité de la bobo… Farida s’est excusée uniquement parce que Karen lui avait mis des claques ! Elle s’est sentie en position de faiblesse et, comme le préconise le Coran, a léché la main qu’elle ne pouvait pas mordre ! « Il faut donc croire que certains réflexes racistes doivent être fortement intériorisés. Des réflexes racistes...ou de défense, d'ailleurs ; c'est si difficile de faire la distinction. En effet, quand je vois des jeunes filles des cités cautionner le report de la violence des garçons sur ce qu'elles nomment elles aussi "les toubabs", je réalise toute l'horreur du système qui les oppresse : elles ne sont pas solidaires d'une identité féminine qui transcenderait les clivages communautaires et/ou sociaux... Et cela freine considérablement leur propre émancipation ». Elle a tué sa fille, mais cela ne suffit pas. Pour elle, le racisme maghrébin serait un réflexe de défense. C’est vrai, le blanc est coupable, toujours coupable. C’est ce qu’elle a appris à sa fille. La pauvre enfant en est morte. La solidarité féminine, pauvre idiote… Si elle avait lu ne serait-ce qu’un peu la bonne presse, elle saurait que dans beaucoup de cas, ce sont les beurettes qui ont livré aux beurs leur proie pour les tournantes ! Elles ont une solidarité de race et de religion que n’ont plus les françaises. Pour une Maghrébine, une toubab est une pute ou une soumise…« Quant à mon autre fille Karen, que dire sinon que sa beauté est vécue par elle comme une fatalité...Elle a subi deux agressions graves. L'une sur la nationale alors qu'elle était en scooter ; elle avait alors vingt ans : des beurs lui ont craché dessus en l'insultant de "salope de française" et lui ont fait des queues de poisson avec leur voiture pour la forcer à tourner du côté d'entrepôts qui auraient été une cachette propice pour un viol, sans doute. Elle a failli s'écraser sur la rambarde de sécurité et ça aurait pu lui coûter la vie. L'autre agression s'est passée chez elle : un homme d'origine maghrébine l'a suivie et a tenté d'entrer en force dans son appartement ; même motivation, sans nulle doute. Elle a eu au surplus un conjoint très violent, jaloux de façon maladive, pendant quelques années : si ses trois hospitalisations pour coups et blessures furent impressionnantes, ce n'est rien au regard des blessures psychologiques qui lui ont été infligées : une déstructuration de l'individu, une mort lente...» Résumons… la totalité des agressions sont de caractère raciste, mais elle nous ressort la thèse du sexisme… Elle a été attaquée parce qu’elle était Gauloise. Nulle doute que beurette, on l’aurait laissée tranquille… « Bref, je lui avais toujours dit qu'elle était "une femme libre" ; libre de s'habiller et de sortir comme elle veut ; libre de revenir à son gré et à n'importe quel moment sur son consentement si un garçon ne lui convient pas, comme un homme a le droit de le faire, en sorte : mais une fille qui s'accorde ce droit, on appelle cela "une allumeuse", paraît-il. Obligation d'assumer le désir que l'on suscite volontairement ou involontairement, ce serait, paraît-il, la liberté sexuelle pour une femme au XXIe siècle...Une "femme libre", c'est en fait une femme qui mériterait l'insulte pour beaucoup, je l'apprends avec grand peine, moi qui suis héritière de mai 68 : la vie a fait en sorte de nier à ma fille tous les droits qui étaient les siens et que j'avais pris grand soin de lui transmettre». » Ben oui ma louloute : tu as vécu à crédit et on présente la note à ta fille !!! Lorsqu’on on analyse mai 68, ses tenants et ses aboutissants, on note que la quasi-totalité de ceux qui ont détruit notre société traditionnelle est « un cadeau » des ghettos d’Europe centrale ou des souks du Maghreb, liés par fratrie sanguine aux musulmans de Turquie pour les premiers, à ceux d’Afrique du Nord pour les seconds.. Formés par Freud et Marcuse à la manipulation psychique et à la destruction psychologique de l’autre, ils se sont servis de leurs méthodes sectaires pour les intérêts de la haute finance apatride… Leur « libération », c’est un esclavage plus grand encore : ils n’ont pas voulu de la société chrétienne ? Ils auront la charia musulmane ! Bien entendu, miss nunuche bobo n’a trouvé aucun écho. Vous pensez bien que non seulement les beurettes se fichent éperdument de ce qui a pu arriver à sa fille, mais de plus je ne suis pas sûr qu’il n’y en ait eu aucune qui ne se soit pas réjouie intérieurement. Franchement, quand on voit le degré d’imbécillité de la mère, tellement engluée dans son gauchisme et son féminisme qu’elle se croit obligée de faire de l’homme son bouc émissaire, ayant fait de sa fille une proie sans défense non pas face au sexisme mais face au RACISME, on se demande si au fond, ils ne sont déjà pas morts. A l’abattoir, il y en a qui ont la vocation de mouton. Respect total, c’est leur choix. Personnellement, quitte à y aller, je préfère être le boucher !!! Pour tout dire, une nunuche bobo de cet acabit, nous ne lui ferons pas de mal. Pourquoi d’ailleurs : elle bâtit elle-même son malheur. Notre attitude vis-à-vis de ce genre de « morts-vivants » est celle du Christ dans l’une de ses paraboles (Evangile selon Saint Matthieu XXV, 12) : « Qui êtes-vous, en vérité je ne vous connais pas ». Cela dit, nous sommes moralement responsables des enfants de ces gens-là, c’est ce que nous appelons « le devoir de charité ». C’est pour cela que les enseignants de nos idées doivent transmettre tous cas repérés, travailler en concertation avec les sections de jeunes éventuellement scolarisés dans ce type d’établissement (rappelez-vous : tout le monde est utile toujours et en tout lieu) pour aider les victimes du racisme allogène à s’exprimer et renvoyer les dossiers vers nos structures d’assistance sociale, de soutien psychologique, voire de rétorsion si le besoin se fait sentir. Tâche titanesque ? Je n’ai jamais prétendu le contraire. Raison de plus pour s’y mettre dès maintenant !!!

Henri de FERSAN



#48/ 18 septembre 2003 / SOMMAIRE

EDITORIAL

POLITIQUE : Philippe de Villiers tacle Birenbaum
Blondel mis en examen
Fonctionnaires payés au mérite ?

PRESSE-MEDIATS : Quand Okapi veut faire de nos enants des démocrates crétins...
Quand Elie Wiesel nous fait part de ses pensées profondes...

AFFAIRES ETRANGERES : Attentat au Venezuela
Suède : un attentat bien opportun...
Fiasco à Cancun

SOCIETE: Répression contre les historiens dissidents
La France d'en bas s'exprime

SPORTS : Football
Basket-ball
Volley-ball
Formule 1

CULTURE : Mort d'une grande dame


[ABONNEMENT] (52 n°) : 170 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN


Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#48 / 18 septembre 2003 / ARTICLE

SUEDE : UN ATTENTAT BIEN OPPORTUN...
Anna Lindh, ministre des Affaires étrangères de la Suède, a été poignardée le 10 septembre alors qu’elle faisait ses courses au grand-magasin NK situé dans le centre-ville de Stockholm. Frappée de plusieurs coups de couteau dans le ventre et au bras, elle succomba le lendemain à 5 heure 30 Bizarrement, elle a été poignardée en plein magasin, sans que les caméras de surveillance ne filment quoi que ce soit. Cet attentat n’est pas sans rappeler celui qui, le 1er mars 1986, a coûté la vie au Premier Ministre de l’époque, Olaf Palme, dont l’assassin n’a jamais été retrouvé. Outre leur appartenance commune au Parti Social-Démocrate, il y avait un autre point commun entre les deux politiciens suédois assassinés : leur soutien sans faille au peuple palestinien et leur opposition à la politique étrangère américaine. Lindh s’était notamment illustrée par son hostilité à Ariel Sharon, à la guerre américaine contre l’Irak, et son refus d’extrader vers les Etats-Unis un Taliban bénéficiant de la double nationalité afghano-suédoise (il y en a plus qu’on le croit, à commencer par le footballeur Abdullah Via du club de Floda). Ancienne ministre de l’environnement, très populaire, elle était favorite pour succéder à Joeran Person au poste de Premier Ministre. Notons également qu’elle était la principale porte-parole pour l’entrée de la Suède dans la zone Euro alors que le référendum était prévu pour le 14 et que le non l’emportait. Les esprits malintentionnés pourraient faire le rapprochement entre cette affaire et une certaine prostate dans un référendum capitale pour l’avenir de la France et alors que le « non » semblait l’emporter… Un premier suspect a été arrêté. Agé de 35 ans, il assistait à un match de football dans un pub. Le quotidien de gauche Aftonbladet, proche de la communauté juive et célèbre pour ses faux médiatiques a accusé sans l’ombre d’une preuve que la personne arrêtée (et qui sera immédiatement relâchée…) était un « néo-nazi ». Rappelons que le 24 février 1998, un scandale éclaboussait le fameux quotidien sur une affaire de ce type : Anders Gerdin, son rédacteur en chef avait bidonné le reportage sur « les milices néo-nazies armées et masquées qui espionnaient nuitamment les domiciles d’une journaliste de la télévision et du porte-parole de la police ». Il n’en était rien. Les « néo-nazis » étaient cinq marginaux payés 30.000 couronnes (3354 €), recrutés par un journaliste au casier judiciaire chargé (vol de voiture, agressions, port d’arme illégal), les photos avaient été développées dans les locaux du parti social-démocrate et l’opération commanditée par le Betar… Désormais, la police enquête du côté des déséquilibrés. Le jour même de l’assassinat de la ministre, un fou apprenant la nouvelle entrait dans une école maternelle à Arvika et poignardait à mort une fillette de 5 ans… Pays de la tolérance extrême, la Suède n’impose même pas un contrôle psychiatrique aux malades mentaux, ces derniers ne consultant que lorsqu’ils le désirent (inutile de préciser qu’il n’y en a pas beaucoup…). La thèse du « fou » arrange tout le monde et évite d’aller regarder du côté d’une petite théocratie du Moyen-Orient… En tout cas, la mort tragique d’Anna Lindh n’a pas influencé le scrutin : le non l’a assez largement emporté avec 56,8 % des voix contre 41,2 % pour le oui.




#48 / 18 SEPTEMBRE 2003 / ARTICLE

MORT D'UNE GRANDE DAME

La cinéaste allemande Leni Riefenstahl est morte à l’âge de 101 ans. Helene Bertha Amalia Riefenstahl est née à Berlin le 22 août 1902 dans un couple mixte (père allemand, mère juive) de commerçants aisés. Pour défier son père sévère, elle prit des cours pour devenir danseuse, mais un accident sur scène à Prague en 1924 mit fin à sa carrière. Protégée par Adolf Hitler et détestée par Joseph Goebbels, elle deviendra la cinéaste officielle du régime sans pour autant prendre sa carte du NSDAP. Grande sportive, elle fit une carrière d’actrice de 1926 à 1930 puis passa de l’autre côté de la caméra. Elle deviendra la cinéaste officielle du Reich avec l’aide d’un adjoint au moins – sinon plus – brillant qu’elle : Walter Ruttmann. Communiste allemand, il se ralliera sincèrement au national-socialisme et mourra en héros sur le Front de l’Est en 1941 (et non pas à Berlin comme on l’écrit parfois par erreur). Son film culte fut bien évidemment Les Dieux du stade, où sa caméra consacrera la renommée mondiale du sprinter noir Jesse Owens qui, selon le témoignage de sa veuve lors de l’inauguration du stade olympique de Berlin en 1984, fut traité comme les autres athlètes par les autorités du Reich alors qu’ il était discriminé au sein même de l’équipe de l’Amérique social-démocrate de Roosevelt… Riefenstahl éprouvait une véritable fascination pour les peuplades primitives d’Afrique, par nostalgie des temps anciens où les peuples germains vivaient dans les forêts dans un style de vie somme toute guère différent… Blanchie par les comités de « dénazification » en 1952, elle se consacra aux documentaires, notamment en réalisant plusieurs films de plongée sous-marine (sport qu’elle pratiqua de… 70 à 95 ans !!!). A sa mort, les bonnes consciences de gauche lui reprochèrent d’avoir travaillé pour Hitler (Le Monde du 10 septembre titre : Leni Riefenstahl, artiste asservie au nazisme ; Libération du même jour titre Riefenstahl, 100 ans de nazitude ». Les mêmes qui trouvent qu’Eisenstein, le chantre de Staline, est digne d’éloges et automatiquement excusé…

 

 

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