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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#57 / 20 novembre 2003 / EDITORIAL

La vérité fait peur disais-je dans mon précédent éditorial. Les récentes campagnes contre les deux historiens dissidents Vincent Reynouard et Ernst Zündel ne font que confirmer cet état de fait. Commençons par le germano-canadien. Zündel a remporté moralement de 1985 à 1988 le procès de Toronto, ce qu’on a appelé à l’époque « le Stalingrad de l’exterminationisme ». En effet, lors de ce fameux procès, il avait mis en déroute les prétendus « spécialistes » de la Seconde Guerre Mondiale. Traîné devant les tribunaux à la demande d’une certaine Sabina Citron (à ne pas confondre avec Suzanne Citron) pour avoir vendu la brochure de Richard Harwood, Did Six Million Really Die (les six millions sont-ils morts réellement ?), celle-là même dont la traduction en français valut à François Duprat de se faire assassiner par le Mossad le 18 mars 1978, il avait ridiculisé les « témoins officiels » : Raul Hilberg, la « caution scientifico-historique » de la thèse officielle a avoué en 1985 avoir écrit toute son œuvre sans avoir visité le moindre camp et avoua qu’on ne possédait ni plan, ni organisme central, ni budget, ni contrôle pour la « politique d’extermination des Juifs », qu’aucune expertise de ce qu’on nous présente comme des « chambres à gaz homicides » n’avait été effectuée en 1945, qu’il était incapable de donner le moindre document de Himmler appelant à l’extermination ni même de produire le fameux « ordre du 25 novembre 1944 » ordonnant la fin de celle-ci. Acculé, il déclara que les nazis avaient transmis les ordres… par transmission de pensée consensuelle ! Citron était si furieuse qu’elle niera connaître Hilberg alors que c’est elle qui l’avait convoqué comme témoin ! Mieux, Christie arriva à obliger Robert Vrba, ce Slovaque qui, selon la propagande officielle, fut l’homme qui révéla au monde les chambres à gaz, à avouer… qu’il avait fait usage de « licence poétique » dans ses récits, c’est-à-dire inventé… Le Lobby ne le lui a jamais pardonné… Son arrestation a été parfaitement illégale et s’assimile à un rapt. Pire, ils ont appliqué contre lui la loi de procédure spéciale faite à la suite du 11 septembre, ce qui fait de Zündel, qui n’a jamais fait qu’écrire des livres, l’équivalent d’un terroriste international de type Ben Laden ! Les seuls attentats où le nom de Zündel a été impliqué, ce sont ceux dont il a été victime !!! Le traitement subi par Zündel est d’une barbarie a peu près équivalente à celle qui prévalait dans les geôles communistes de l’époque brejnévienne : pas d’oreiller, pas de chaise, pas de stylo, affaires de toilette confisquées et restituées temporairement selon l’humeur des kapos, enfin, des gardiens, ce qui empêche notamment Zündel de se raser chaque matin, fouille au corps à chaque sortie, interdiction des visites… Tous ces mauvais traitements visent à lui faire perdre toute dignité, vieille technique juive que l’on a vu à l’œuvre chaque fois qu’ils ont eu une parcelle de pouvoir… Selon un employé des prisons, qui s’est confié à Paul Fromm, le président de l’Association canadienne pour la liberté d’expression : « Ils essaient de le briser. Ils veulent qu’il demande grâce et accepte d’être renvoyé en Allemagne ». Même le juge Paul Blais, qui tient en mains le sort de Zündel, qualifie son traitement de «moyenâgeux ». Ce qui tend à prouver que les procédés des prétendus « démocrates » n’ont pas grand-chose à envier à ceux qu’ils attribuent aux nazis… Blais, dont la révocation a été demandée par Christie car il avait été en charge du CSIS (Canadian Security ans Intelligence Service, l’équivalent canadien de la DST)… principal adversaire de Zündel dans cette affaire et qui, surtout, en 1995, avait classé « sans suite » une affaire de colis piégé envoyé à Zündel alors que cet organisme savait pertinemment d’où venait l’explosif… Il est vrai que le ministre de la Sûreté de l’Ontario, responsable du sort de Zündel, s’appelle Robert Runciman. Zündel ne peut pas compter pour le moment sur son avocat Douglas Christie, l’épouse de ce dernier étant très malade. C’est un jeune confrère, Peter Lindsay, qui actuellement défend les droits du plus célèbre prisonnier d’opinion du Canada (il est en 43e position des Canadiens les plus célèbres du XXe siècle). Selon le fanatique talmudique Daniel Goldhagen, les Allemands sont collectivement responsables des crimes du nazisme. Soit. Prenons-le au mot… Chaque juif, où qu’il soit, quel qu’il soit, est donc coupable du traitement infligé à Zündel. « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants » hurlait le Sanhédrin… En France, nous avons Vincent Reynouard, bien connu de nos lecteurs. Le 18 novembre, il comparaissait devant le tribunal correctionnel de Limoges pour la réalisation et la diffusion d’une cassette vidéo sur le drame d’Oradour-sur-Glane dans laquelle il balaie de manière irréfutable la thèse officielle. Le président François Casassus-Builhé, nom à retenir, a été d’une partialité digne des heures les plus sombres de l’histoire de la justice : celle des procès de Moscou et autres tribunaux de l’Epuration (nous reparlerons de cette affaire lors de l’annonce du verdict, c’est-à-dire dans le numéro du 18 décembre)… Pour plagier une comptine enfantine très prisée de mes angelots : « Qui empêche de dormir les menteurs et les faussaires ? C’est le Faurisson, Madame, c’est le Faurisson… »…

Henri de FERSAN



#57/ 20 novembre 2003 / SOMMAIRE

EDITORIAL

POLITIQUE : Tradition républicaine
Du côté de la famille nationaliste
Vers un crash économique ?
PRESSE-MEDIATS : Quand la presse parle des "iIdentitaires"...
Quand Marianne parle de la Franc-maçonnerie

AFFAIRES ETRANGERES :Trafic d'uranium ?
Israël : énième plan de paix

SOCIETE: Du côté de la guerre raciale en France
... et en Afrique du Sud

SPORTS : Football
Rugby

CULTURE : Bulletin de l'Association des Amis de Robert Brasillach n°109, 110, 111

DEVOIR DE MEMOIRE : Tabou n°2 Akribeia - ISBN : 2-913612-08-3
Mise au point sur l'esclavage

[ABONNEMENT] (52 n°) : 170 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN


Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#57 / 20 novembre 2003 / ARTICLE

QUAND MARIANNE PARLE DE LA FRANC-MACONNERIE"

Journal de concierge, il est normal que Marianne flatte les loges dans le sens du poil… Dans son numéro du 17 novembre, elle évoque « les autres franc-maçonneries ». La plus grande force du démon, dit-on, c’est de faire croire qu’il n’existe pas. Le dossier de Marianne est symptomatique de la propagande officielle qui, quand elle ne truque ou n’occulte pas l’information, la noie dans un océan de propagande, de fausses pistes, d’histoires sans intérêts. François Darras nous présente ainsi la F\ M\ comme de grands philanthropes animés des plus purs desseins… Citations : « Les fantasmes, longtemps alimentés par l'Eglise, et qui ont joué un rôle si important au début du 20 siècle et jusqu'à la période vichyste, sont toujours présents dans le subconscient populaire. L'aspect rituel et ésotérique fait le reste », « Or, la franc-maçonnerie, la vraie, société philosophique avant tout, si elle joue un rôle intellectuel positif et nécessaire, en particulier dans le mouvement de défense des valeurs laïques et républicaines, ne conserve plus aucun mystère (tout le monde sait ce qui s'y passe et comment ça se passe), a perdu beaucoup de son influence et n'exerce presque plus aucun vrai pouvoir.», « Ainsi, les idées de tolérance, puis de libre-pensée, de monarchie constitutionnelle, puis de république, ne cheminèrent d'abord que grâce au relais franc-maçon et sans bénéficier, dans un premier temps, d'une authentique assise populaire »… Il suffit de consulter les archives des convents pour voir que cette société n’avait rien de philanthropique et visait tout simplement à l’anéantissement du catholicisme dans notre pays, dont on voit maintenant le résultat, ce que Darras d’ailleurs admet en notant que l’idéologie laïciste est purement maçonne. Et Darras de dénoncer « l'amalgame de la franc-maçonnerie sérieuse avec les agglomérats de copains et de coquins tel que celui qui a sévi dans les Alpes-Maritimes et tout particulièrement au sein de la magistrature niçoise ». L’affaire de Nice n’était, pour ceux qui ne l’aurait pas suivie, qu’un règlement de compte interne entre deux factions ennemies de la secte maçonne, le G\ O\ par le biais de F\ Montgolfier essayant d’éradiquer la GLNF. On comprend que les intégristes laïcards de Marianne soutiennent leurs amis du G\ O\ où d’ailleurs, certains membres de la rédaction (Kahn, Konopnicki) ont été plancher. Une question nous brûle les lèvres : dans quelle L\milite le sieur Darras ? On peut avoir une amorce de réponse quand on se souvient que madame Lydia Sitbon, très impliquée dans le Réseau Voltaire et dans le porno-business, est une demoiselle Darras… C’est de la famille ? Ce prétendu dossier sur la F\ M\ mélange tout et n’importe quoi, tente de banaliser la mafia à peau de goret on y parle d’une mystérieuse confrérie du CAC 40, des Ingénieurs des Mines, de la fraternelle trotskiste dans les médiats, de la bande à Laurent Ruquier dans la télé, de la Deuxième gauche en politique, des « services Pasqua » dans la police, des « anciens giscardiens » ( ???), du lobby féministe, de la mafia de l’art contemporain, des gays et d’un curieux… lobby auvergnat dans la restauration. Fouchtra, voilà de quoi paniquer la bécasse bobo et le barbu échelon 11. Bien entendu, pas un mot sur le lobby juif (tu m’étonnes…), sur le lobby islamiste (tu m’étonnes, le retour), sur le lobby synarchique (tu m’étonnes, le combat final)… Rien sur le Bildenberg Group, la Trilatérale, le Siècle, les B’naï B’rith, les Skulls & Bones, les Fabiens, l’Aspen Institute, le CFR, le Forum de Davos… Bref, rien sur les vraies mafias, ces moustiques porteurs de malaria qui vrombissent au-dessus des marais pestilentiels du cloaque démocratique… Et les catholiques de tradition et autres partisans de la droite nationale dans tout ça ? A nous de constituer notre « réseau de fraternité ». Organisation non politique, le Parti Français Chrétien (prendre « parti » au sens que l’on donnait sous Henri III, c’est-à-dire : groupe de partisans professant une doctrine commune). A terme, voici ce que nous ambitionnons : être capables de fournir du travail ou un employé à chacun de nos membres, être capables de lui venir en aide aussi bien financièrement que matériellement ou spirituellement si besoin s’en fait sentir. Vous êtes au chômage : envoyez votre CV à notre délégué au Travail, qui entrera en contact avec des patrons chrétiens par le biais de notre contre-ANPE. Vous avez été agressé et la police, la justice, les organisations officielles refusent de vous venir en aide ? Envoyez votre plainte à notre délégué à l’Intérieur. Ce dernier, en connexion avec les juges et les policiers amis verront ce qu’ils peuvent faire. Cela peut aller de la protection à la rétorsion selon la gravité des cas. Nous devons être capables de subvenir à tous les besoins, je dis bien : tous, de nos amis de la Tradition et de nos compagnons nationalistes et identitaires. Pour plagier un slogan publicitaire d’une compagnie d’articles de sport : « Just do it ». En français : « Fais-le simplement toi-même ». Des exemples très concrets d’actions que nous souhaitons mener au sein du PFC quand nous aurons atteint notre vitesse croisière pour pouvoir frapper ponctuellement comme le missile du même nom, seront déterminés à partir d’exemples réels dans une prochaine livraison de politique-fiction (les prochaines au n°62, 75, 90, 105, 120, 135…), mais nous pouvons déjà dire qu’elles couvriront tous les domaines de la vie quotidienne. Le slogan de notre branche d’entraide vient d’être créé par le vice-président du PFC, votre serviteur : « POUR EUX, VOUS NE VALEZ RIEN, POUR NOUS, VOUS ETES TOUT ! » Beau projet n’est-ce pas ? Venez donc y apporter votre pierre, aussi humble soit-elle : les petits sous de cuivre font les pièces de bronze, les pièces de bronze font les pièces d’argent, les pièces d’argent font les pièces d’or, les pièces d’or font les lingots d’or et les lingots d’or font la réalisation de tout !




#57 / 20 NOVEMBRE 2003 / ARTICLE

NOUS AVONS RECU...

Nos lecteurs connaissent bien Le Bulletin Célinien de notre ami Marc Laudelout, installé en Belgique, et consacré au docteur de Meudon. Mais savent-ils que c’est en Suisse, chez notre ami Pascal Junot qu’est édité le Bulletin de l’Association des Amis de Robert Brasillach ? Nous avons reçu en service de presse les numéros 109, 110 et 111 de cette excellente revue consacrée à ce martyr du gaulchevisme. Tout d’abord, la revue permet de découvrir le vrai visage de Brasillach, et ce n’est pas rien. Celui qui disait le 3 avril 1933 : « Je pense l’antisémitisme bon et juste quand il s’adresse aux potentats, aux financiers et l’internationale juive, mais ignoble quand sous prétexte de race on expulse le boulanger juif, la marchande des quatre saisons juive et le bistro juif ». ou le 17 février 1939 : « pas de persécution, pas de pogrom, telle est la première position du nationalisme français devant la question juive ». Celui qui a fait tout son possible pour sauver des Juifs et des résistants du peloton d’exécution… Dans le numéro 110, l’ARB démolit, arguments et preuves à l’appui, la thèse nauséabonde de « l’américaine » Alice Kaplan, ce torchon qu’Anne-Marie Bouyer a justement qualifié de « livre gluant de haine ». Gluant est le terme adéquat. Tout d’abord, l’ARB règle son compte à la thèse délirante voulant que Kaplan soit « objective » parce que « non-française ». La bonne farce que voilà ! « Ali-stérie » et « Kapl-âneries » que son travail ! Kaplan a de très bonnes raisons de haïr Brasillach, entre autre parce qu’elle est juive et surtout parce que son père a participé à la mise en place du génocide allemand de 1945-1950 en étant procureur à cette parodie de procès que fut Nuremberg. Il y a tellement de faux et de mensonges dans le livre de Kaplan que notre journal entier ne suffirait pas à les énumérer. Relevons les plus grossiers : d’abord la prétendue homosexualité de Brasillach, totalement démentie par sa correspondance qui prouve qu’il a eu deux liaisons amoureuses, l’une avec la charmante actrice roumaine Pola Illery, l’autre avec celle qui serait probablement devenue madame Brasillach : Marguerite Cravoisier (1904-1987). Philippe d’Hugues nous donne d’ailleurs une explication sur la fameuse phrase « les Français de quelque réflexion, durant ces années, auront plus ou moins couché avec l’Allemagne » ne date pas de 1941 mais du 19 mars 1944 et est un clin d’œil à Jean Giraudoux décédé le 31 janvier 1944 qui avait écrit dans Siegfried (1928, pièce tiré de son roman Siegfreid et le Limousin (1922) dont le titre fut pastiché d’ailleurs par Léon Gaultier dans Siegfried et le Berrichon, le parcours d’un collabo en 1991) : « Ils viennent me prendre en flagrant délit d’adultère avec l’Allemagne. Oui, j’ai couché avec elle, Siegfried, j’ai eu tout ce qu’elle offre à ses amants, le drame, le pouvoir sur les âmes ». Ensuite, la fameuse phrase sur les Juifs en 1942, falsifiée par Kaplan comme par les autres (la partie volontairement omise figure en gras) : « L’archevêque de Toulouse parle de brutalités et de séparations que nous sommes tous prêts à ne pas approuver, car il faut se séparer des Juifs en bloc et ne pas garder de petits, l’humanité est ici d’accord avec la sagesse : mais il oublie de dire que ces brutalités sont le faits de policiers PROVOCATEURS qui veulent apitoyer les pauvres idiots d’aryens. Et puis, même si elles étaient exactes, pourquoi Monseigneur, contrairement à plusieurs évêques pleins de courage, n’a-t-il jamais protesté contre les massacres anglais ? ». Autre mensonge, elle prétend «C’est à dessin que je n’ai pas travaillé avec Maurice et Suzanne Bardèche ». Faux, elle les a rencontrés au Canet, mais n’a pas voulu consulter les archives de Brasillach à leur domicile. Il y a un passage qui éclaire le mufle hideux du racisme talmudique de Kaplan (nom lui-même talmudique, désignant les descendants d’un rabbin) : sa mère lui ayant fait part de l’histoire de cette mère de famille qui, sur le pont de Gien, eut tout à coup au lieu d’un enfant dans les bras un tronc sanglant sans tête et sans bras, Brasillach en fulmina d’indignation et fustigea les criminels qui nous avaient entraînés dans la guerre. Kaplan en hulule d’indignation : il ose s’en prendre à Blum et à Mandel qui ont bien désarmé la France avant de la jeter dans la guerre. Pour elle, ils avaient raison de le faire, raison dans les deux cas. Peu lui importe que de petits bébés goïm en meurent. Des animaux pour elle… Autre falsification, celle d’une certaine Anne Simonin (historienne au CNRS, on craint le pire à juste titre…), qui n’est pas la seule puisque le mensonge a été repris par La Ligue des Droits de l’Homme (décidément coutumière du fait, je l’ai appris à mes dépens…) sur son site Internet. Elle fustige les Editions Godefroy de Bouillon pour un livre intitulé Faut-il brûler les Arabes de France… sans préciser bien sûr que la réponse donnée dans le livre est « non » et que l’auteur est lui-même maghrébin, Farid Smahi, seul conseiller régional beur de France ! De plus, on voit mal les éditions GdB éditer un livre raciste, les deux patrons de celles-ci n’étant pas précisément Gaulois ! Quand on voit de telles falsifications, on voit tout le « crédit » que l’on peut accorder à leur propagande holocaustique et à « l’authenticité » de leurs preuves sur la « Shoah » !!! Il y a une grande qualité au Bulletin, c’est qu’il publie les articles de la presse ennemie in extenso, sans en retrancher une virgule. Les preuves de leurs mensonges sont donc gravées jusqu’à la fin des temps. Concluons cet article par la prière que les Juifs disent le jour du Yom Kippour : « Que tous les vœux et toutes les obligations, toutes les peines et tous les serments que nous vouons et jurons depuis ce jour de la réconciliation jusqu’au même jour prochain, soient remis, anéantis qu’ils soient sans force et sans valeur. Nous voulons que nos vœux ne soient pas des vœux et que nos serments ne soient pas des serments ». ARB – Bulletin de l’Association des Amis de Robert Brasillach – Case Postale – CH-1211 GENEVE 3 – abonnement annuel : 34 €

 

 

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