Les
Bokkoyas "Parc National"
Flora
En
ce qui concerne la flore il est fortement dégradé
avec une érosion accrue. En y trouve quelques
petites surfaces d’agriculture forestières,
former essentiellement par le pin d’Alep. La
foret autochtone est en voit de disparition a
cause de la surexploitation ( fabrication du
charbon ). Le surpâturages et les fréquentes
incendies, il est encor possible de voir
quelques vestige de la foret local dans les
alentours des marabouts et cimetières, considères
par les spécialistes comme des vrais musée
vivant qui nous donne une images sur l’état
de la foret.
Pistacia
lentiscus (lentisque)
Les espèces
qu’on y trouve son :
Le touya –
l’olivier- carrobier – palmier –
lentisque – chêne vert …. .
Sur le parc
, parmi l’ensemble des espèces présentes
on distingue 9 espèces ligneuses importantes :
-
Tetraclinis articulata( Thuya de berbérie)
-
Pinus Helepensis( Pin d’Alep)
-
Pistacia lentiscus( lentisque)
-
Olea europea ( olivier sauvage)
-
Ceratonia siliqua( caroubier)
-
Quercus coccifera( chene kermés)
-
Quercus rotundifolia( chene
vert)
-
Chamaerops humilis( palmier
nain)
-
Ziziphs
lotus ( jujubier).
Anacardiaceae (
Terebinthaceae )
Pistacia lentiscus
Rhus pentaphylla
Araceae
Arisarum vulgare
Araseae ( Palmae
)
Chamaerops humilis
Asclepiadaceae
Periploca laevigata
Asteraceae (
composées )
Artemesia herba-alba
Asteriscus aquaticus
Carthamus arborescens
Centaurea calcitrapa
Cirsium echinatum
Cynara cardunculus
Gnaphalium lutea-album
Launea arborescens
Matricaria aurea
Onopordum macracanthum
schousboe
Phagnalon rupestre
Phagnalon saxatile
Picris echioides
Urospermum picroides
Boraginaceae
Lithodora
fruticosa
Nonea
vesicaria
Bracicaceae
Lithodora
fructicosa
Nonea
vesicaria
Bracicaceae
Matthiola parviflora
Caprifoliaceae
Viburnum tinus
Caryophyllaceae
Paronychia argentea
Silene pseudo-atocion
Chenopodiaceae
Rumex
bucephalophorus
Cistaceae
Cistus
libonotis
Cistus salviifolius
Cistus varius
Fumana ericoides
Fumana laevipes
Fumana thymipholia
Fumana scoparia
Halimium alyssioides
Helianthemum origanifolium
Helianthemum polyanthum
Helianthemum syriacum
Helianthemum virgatum
Tuberaria lignosa
Convolvulaceae
Convolus olthaeoides
Convolus siculus
Crassulaceae
Sedu sediforme
Cupressaceae
Tetraclinis
articulata
Ephedraceae
Ephedra
fragilis
Ericaceae
Arbutus
unedo
Erica arborea
Erica multiflora
Euphorbiaceae
Euphorbia lagaseae
Fabaceae (
cesalpinaceae )
Ceratonia siliqua
Fabaceae (
papilionaceae )
Anthyllis tetraphylla
Calicotome villosa
Genista cephalanta
Genista quadriflora
Genista triacanthos
Genista tricuspidata
Lotus creticus
Ononis natrix subsp.natrix
Scorpiurus muricatus
Fagaceae
Quercus coccifera
Iridaceae
Gynandiris
sisyrinchium
Lamicaceae
Ajuga iva
Lavandula dentata
Lavandula multifida
Lavandula stoechas subsp.stoechas
Micromeria inodora
Phlomis purpurea
Pronella hyssopifolia
Salvia aegyptiaca
Teucrium capitatum
Teucrium chamaedrys
Teucrium fruticans
Teucrium polium
Thymus glandulosus
Liliaceae
Asparagus acutifolius
Asparagus albus
Asparagus altissimus
Asphodelus microcarpus
Ornithogalum narbonense
Tulipa sylvestris subsp.australis
Urginea maritima
Oleaceae
Olea
europea subsp.sylvestris
Phillyrea latifolia
Phillyrea angustifolia
Pinaceae
Pinus halepensis
Plantaginaceae
Plantago afra
Plantago
albicans
Poaceae
Ampelodesmos mauritanica
Brachypodium distachyon
Brachypodium
retusum
Bromus rubens
Dactylis glomerata
Lagurus ovatus
Stipa retorta
Stipa tenacissima
Primulaceae
Anagallis arvensis
Raninculaceae
Ranunculus poludosus
Resedaceae
Reseda media
Rhamnaceae
Zizyphus lotus
Rosaceae
Crataegus monogyna
Rubiaceae
Asperula hirsuta
Galium
mollugo
Solanaceae
Lycium intricatum
Withania frutescens
Thymeleaceae
Daphne gnidium
Umbelliferae ( Apiaceae )
Eryngium ilicifolium
Eryngium
tricuspidatum
Valerianaceae
Centranthus calcitrapae
Fedia scorpioides
Violaceae
Viola arborescens
Zygophyllaceae
Fagonia cretica
_____________________________________________________
Oiseaux
Plusieurs
espèces comptent parmi les plus rares de
l’avifaune méditerranéenne et représentent
un enjeu de protection international. Parmi
celles-ci, il y a les espaces rares et les
menacés :
Le balbuzard
pêcheur et le goeland d’audouin, les
rapaces méditerranéens ( faucon
pelerin,aiglede boneli, … ).des passereaux
rupestres ( graves a bec rouge ) d’autres
espaces présent un intérêt au niveau de
l’avifaune marocaine ( goéland leucopheé,
pie bavard, perdrix gamba, … )
Nom
francais |
Nom
Latin |
Puffin
des Anglais
Puffin
cendré
Pétrel
tempête
Fou
de Bassan
Cormoran
Huppé
Héron
Cendré
Aigrette
garzette
Héron
Bihoreau
Cigogne
blanche
Cigogne
noire
Flaman
rose
Harle
huppé
Balbuzard
pêcheur
Milan
royal
Milan
noir
Circaete
J le blanc
Buse
variable
Buse
pattue
Buse
féroce
Bondrée
apivore
Aigle
de Bonelli
Aigle
Botté
Aigle
Royal
Vautour
Fauve
Faucon
Lanier
Faucon
Pélerin
Faucon
créserellette
Faucon
créserelle
Perdrix
Gambra
Huitrier
pie
Echasse
blanche
Petit
gravelot
Pluvier
argenté
Bécasseau
cocorli
Chevalier
Guignette
Corlis
Corlieu
Barge
Rousse
Oedicnéme
Criard
Goélan
d’Audouin
Mouette
rieuse
Goélan
Leucophée
Goélan
Brun
Sterne
Caugek
Sterne
Pierregarin
Guifette
noire
Petit
Pingouin
Pigeon
biset
Pigeon
Ramier
Tourterelle
des bois
Chouette
cheveche
Chouette
hulotte
Engoulevent
d’Europe
Martinet
noire
Martinet
pale
Guépier
d’Europe
Rollier
d’Europe
Huppe
facsiée
Cochevis
Huppe
Alluette
des chaamps
Hirondelle
de cheminée
Hirondelle
de fenêtre
Bergeronnette
printaniére
Bulbul
gris
Pie
grièche a tête rousse
Hipolais
polyglotte
Fauvette
mélanocéphale
Fauvette
a lunettes
Gobemouche
gris
Gobemouche
noir
Merle
bleu
Merle
de roche
Traquet
motteux
Traquet
oreillard
Traquet
rieur
Mésange
Noir
Mésange
charbonnière
Mésange
bleue
Bruant
Proyer
Bruant
fou
Bruant
zizi
Pinson
des arbres
Chardonneret
Linotte
mélodieuse
Serin
cini
Moineau
domestique
Moineau
soulcié
Geai
des chenes
Pie
bavarde
Grave
à bec rouge
Grand
corbeau |
Puffinus
puffinus
- o -
Calonectiris
diomedia – o -
Hydrobates
pelegicus – o -
Sula
bassana
- M -
Phalacrocorax
aristotelis – M -
Ardea
cinerea – M –
Egretta
garzetta – M –
Nycticorax
nycticorax – M –
Ciconia
ciconia
-M –
Ciconia
negra – M-
Phoenicopterus
ruber – M –
Mergus
serrator – o –
Pandion
Haliaetus
– N / M –
Milvus
milvus – N / M –
Milvus
migrans – N / M –
Circaetus
gallicus – N –
Buteo
buteo – N –
Buteo
lagopus – N –
Buteo
rufinus – N –
Pernis
apivoris – O / M –
Hieraetus
fasciatus – N –
Hieraetus
pennatus – N -
Aquila
chrysaetos – M –
Gyps
fulvus
- M –
Falco
biarnicus – N P –
Falco
peregrinus – N –
Falco
naumani – N-
Falco
tinnunculus – N –
Alectorix
barbara – N -
Haemotopus
astralegus – M –
Haemotopus
himantopus – M –
Charadrius
dubius – O / M –
Pluvialis
squatarola – M –
Calidris
ferruginea – M –
Tringa
hypoleucos – M –
Numenius
phaeopus – M –
Limosa
lapponica – M –
Burhinus
oedicnemus – N –
Larus
audouinii – N –
Larus
ridibundus – N –
Larus
cachinnans – N –
Larus
fuscus – O –
Sterna
sandvicensis – M -
Sterna
hirundo – O –
Chlidonias
niger – M –
Alca
torda – M –
Columbia
livia – N –
Columbia
palombus – N –
Steptopelia
turtur – N –
Athene
noctua – N –
Strix
aluco
- NP-
Caprimulgus
europaeus – N -
Apus
apus – N –
Apus
pallidus – N –
Merops
apiaster – N –
Coracias
garrulus – N –
Upupa
epops – N –
Galerida
cristata – N –
Alauda
arvensis – N –
Hirundo
rustica – N –
Delichon
urbica – NP –
Motacilla
flava – N –
Pyctonotus
barbatus – N –
Lanius
senator – N –
Hippolais
polyglotta – N –
Sylvia
melanocephala – N –
Sylvia
conspicillata – N –
Huscicapa
striata – N –
Ficedula
hypoleuca – N –
Monticola
solitarius – N –
Monticola
saxalitis – N –
Oenanthe
oenanthe – N –
Oenanthe
hispanica – N –
Oenanthe
leucura – N –
Parus
ater – N –
Parus
major – N –
Parus
caeruleus – N –
Emberiza
calandra – N –
Emberiza
cia – N –
Emberiza
cirlus – N –
Fringilla
coelebs – N –
Carduelis
carduelis – N –
Acanthis
cannabina – N –
Serinus
serinus – N –
Passer
domesticus – N –
Petronia
petronia – N –
Garrulus
glandarus – N –
Pica
pica – N –
Pyrrhocorax
pyrrhocorax – N –
Corvus
corax – N – |
Statut :
O :
Observé
en période de reproduction .
M :
Migrateur
.
N :
Nicheur.
NP :
Nicheur probable .
En
gras : Espèces
inscrites sur la liste rouge UICN .
En
vert : Espèces endémique
_____________________________________________________
Faune
marine :
Les paysages
sou-marin rencontrés traduisent un
hydrodinamisme important sue tout la zone
marine du parc .
·
Des falaises verticales ou a pont fort plongées
par des fonds sableux dénudés en pente
faible, recouverte de ripple-marks.
·
Des chaos de blocs rocheux de toute taille délimitent
des dalles, grottes et surplombs, recouvert
d’algues et de Scléractiniaires ( Astroides
calycularis )
·
Des fonds meubles présentant des alternances
des bandes de sables grossiers, moyen et fin .
·
La seule baie de sales fin est celle de Cala
Iris avec une barre sableuse perpendiculaire
au rivage prés de la cote .
Les
poissons
La densité
spécifique est élevée.
La présence
d’individus de toutes taille ( juvéniles,
jeunes, adultes) qui retient l’attention et
confirme l’existence de zones de frayères
et de nurseries.
Les fonds
sont caractérisés par des milieux diversifiés
( éboulis, dalles, interface sable/roche)
sont propices a cette fonction.
La présence
d’espèces rare sur le littoral
mediterraneén, telle que le mérou
(observation de nombreuses d’individus de
toutes tailles en eau peu profonde) mérite
une attention particulière et offre un intérêt
remarquable . l’espèce Epinephelus guaza
est devenue rare le long des cotes nord de son
aire de distribution . en Afrique du nord par
contre la population de ce mérou trouvent
encore des biotopes qui conviennent a sa
croissance et sa production .
Le périmètre
marin du Parc est un secteur dont la
productivité potentielle est remarquable.
Puisque la population y est exploité
relativement depuis longtemps. La biomasse du
stock devrait donc pouvoir s’ccroitre et
essaimer vers les zones adjacentes.
Les
mammifères marins.
Depuis
1970,16 cadavres de phoques moines ( Monachus
munachus) ont été trouvés , certains tués
par des explosifs , d’autres noyés
accidentellement dans des filets de pêche ou
blessés par des hélices de bateaux ( Bayed
et Beaubrum 1987à. D’après la littérature
, une population de phoque moine survit sur le
littoral méditerranéen( moins de 20
individus) entre la région d’Al-Hoceima et
le cap des Trois Fourches ( Avella et Conzales
1984 ; Bayed et Beaubrum 1987.)Plus récemment
(1988) il restait entre 5 et 15 phoques moines
sur le Maroc méditerranéen .
Compte
tenue de topographie du rivage ( cote découpée
et rocheuse, présence de grotte), de leur
richesse en céphalopodes, mugilidés et
sparidés , qui constituent l’essentiel de
son régime alimentaire ( Marchessaux 1985).
Le biotope du parc constitue un lieu privilégié
ou le phoque moine a du se plaire , et pouvait
se rétablir si les conditions redeviennent
favorables.
La
morphologie faillée de la zone peut laisser
présumer l’existence de grottes disposant
d’une entrée sous-marine. Si le milieu
semble convenir, les causes de raréfaction du
phoque restent malheureusement due a la fréquentation
du secteur ( pêcheurs, touristes, chasseurs)
et le dynamitage sont des facteurs limitant
pour la reinstalastion .
duguy
et Al ( 1983) considère le globicéphale
(globicephala malaena) comme une espèce
commune en Méditerranée . pourtant , il
semble rarement observée le long des cotes
marocaines . la présence de ce cétacé est
confirmée par l’échouage de certain
individus.
-
Les
dauphins
De
nombreuses observations de dauphins commun
(delphinus delphis), de grand dauphins
(tursiops truncatus) et dans une moindre
mesure au dauphin bleu (stenella coeruleoalba)
son rapportées dans la zone du parc.
La
présence simultanée de trois espèces de
dauphins constitue un fait remarquable en Méditerranée.
il
est confirmé la présence au large des tortue
de mer (Caretta Caretta) .
la
tortue luth (Demochelys coriacea) est connue
des pêcheurs et présente le long du littoral
méditerranéen.
Il
est peu probable qu’il y ait des sites de
nidification dans les limites du parc.
Le
corail rouge (Corellium rubrum), est une espèce
d’intérêt économique faisant l’objet
d’une pêche active en longée.
Sur
le littoral méditerranéen du Maroc , cette pêche
a connu une reprise spectaculaire avec
l’armement d’unités de pêche dans les
eaux maritimes d’Al-Hoceima avec 7 sociétés
exploitante.
Le
corail rouge est présent dans les limites du
parc a un mile au large de l’îlot de Topos.
Un autre gisement existe a Tofinio , en dehors
de la zone des 3 milles. Les deux gisements
constituent les lieux de pêche de ces 7 société
Reference
Metap/plan bleu -SEGA- Parque National d’Alhoceima, Plan
directeur d’Amenagement et de Gestion.
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