Abécédaire Fantasmatique
F
|
Le fessardage est une fessée méchante, une vraie punition. La pénitente a le cul nu, elle est attachée ou mise dans une position déplaisante. Pour le fessardage, la main ne suffit pas, il faut des fessoirs. Le martinet, la corde à linge doivent être utilisés. Ou bien un torchon mouillé bien essoré, une bonne tranche de viande crue, qui fait le même effet que la main sans être douloureuse pour la fesseuse. Celle-ci peut aussi prendre sa pantoufle pour corriger les fesses offertes, ou une brosse, enfin, il y a bien des fessoirs possibles pour un bon fessardage. Les fessardages sont souvent pratiqués par la Pâtissière et la Serveuse. Elles les font précéder d'une confession de la servante, ou d'une humiliation comme de ramper ou marcher à quatre pattes. Rarement, les maîtresses pratiquent l'urtication : la flagellation aux orties. Au contraire, le fessouillage est une fessée tendre et maternelle. |
|
La fessée est la plus courante des punitions. Elle est donnée exclusivement sur les fesses, les cuisses et les mollets. Elle ne doit pas laisser d'autre trace qu'une légère rougeur. Son but n'est pas de faire mal, mais d'humilier. Il existe deux manières de fesser : le fessouillage et le fessardage. La fessée est donnée avec des instruments appelés les fessoirs. Elle est reçue sur la chair nue, sur les vêtements, ou sur un torchon posé sur la peau pour la circonstance. Toutes les positions sont bonnes pour la donner, toutes les pratiques annexes sont bienvenues pour la pimenter. |
|
Les fessoirs sont les instruments avec lesquels ont donne les fessées. Ce sont :
|
|
Le fessouillage est une manière de donner la fessée. Celle-ci est conçue comme une humiliation plus que comme un châtiment.
Les fessouillages sont surtout faits par la Crémière et la Cuisinière. Après la punition, la servante est souvent langée ou caressée, nourrie gentiment au sein, au biberon ou à la bouillie, comme un petit bébé. A l'inverse, le fessardage est une fessée sévère. |
|
Le fricotage, c'est quand un garçon rentre sa saucisse dans la tarte d'une fille. Il est très réglementé, et ne se fait que sur l'ordre d'une saucissonneuse. Le plus souvent c'est le garçon qui est dessous, dominé par la femme, qu'elle soit servante ou maîtresse. L'esclave qui est dessus peut être fessée pendant le fricotage, ce qui permet de lui donner la cadence. Les esclaves fricotent parfois attachées l'une et l'autre, ce qui est très amusant. Elles peuvent aussi être collées l'une contre l'autre, avec du jaune d'uf, ou bien barbouillées de quelque chose pour se salir mutuellement. |