Abécédaire Fantasmatique

B

Vers le A

Bâillon

baillon bondage gants

Le bâillon est un complément au saucissonnage, au pilori, au piquet ou à toute autre punition. Il peut aussi s'infliger seul, la servante étant libre de tous ses mouvements. La servante doit pouvoir respirer à son aise, gémir, mais pas parler.

Il existe deux types de bâillons classiques.

  • Le bâillon gentil se fait avec un torchon, qui ne doit pas rentrer dans la bouche, mais seulement la fermer.
  • Pour le bâillon sévère, un torchon roulé en boule est d'abord mis dans la bouche. Le bâillon est de préférence humide et sale, il doit sentir mauvais. On utilise donc pisse, merde, fromage, laitages, etc...

Les maîtresses utilisent aussi des bâillons spéciaux, comme:

  • La boule de plastique qui obture la bouche
  • L'anneau de plastique, qui oblige la servante à garder la bouche ouverte, et qui permet de lui cracher dedans,etc.
  • La languette, un bâillon assez méchant
  • La pince à linge

Le bâillon peut être complété par un bandeau sur les yeux, fait de la même façon.

Pour remplacer le bandeau ou le bâillon, la servante peut avoir sur la tête une cagoule en toile à torchon. Celle-ci est percée de deux trous pour les narines.

 

Bidet

bidet

Les bidets sont très utilisés, mais pas pour se laver le cul. Ce sont des bons gros bidets de porcelaine, assez solides pour soutenir le poids de plusieurs personnes.

Les maîtresses n'utilisent jamais une cuvette de WC, mais se mettent souvent sur un bidet pour faire leurs besoins. Elles peuvent chier et pisser à l'aise, et leurs crèmes pourront servir ensuite. Elles peuvent également prendre un bain de siège dans la soupe qui sera ensuite donnée à manger aux servantes, ou dans leur boisson.

Souvent, elles profitent de leur séance de bidet pour prendre une servante sur les genoux et lui donner la fessée, combinant ainsi deux plaisirs délicats : chier et en faire chier à une autre. Elles aiment aussi, sur le bidet, se faire lécher les roqueforts ou la tarte.

 

Blouse

blouse vichy bleu

Les blouses et les petites robes-blouses (ou robes-tabliers) sont les seuls vêtements utilisés par les maîtresses et par les servantes. Elles font parties du linge d'office et sont assorties aux torchons.

Les blouses sont des blouses de travail, blanches, roses, bleues, en coton ou en toile bleue un peu forte. Elles sont unies, ou avec des motifs genre carreaux torchons, vichy.

Elles descendent jusqu'aux genoux environ, ou même plus bas. Certaines ont des manches, courtes ou longues, d'autres pas.

Toutes sont boutonnées, soit devant, soit derrière, mais pas sur le côté. De même, les fermetures éclairs ne sont pas autorisées. La plupart des blouses ont une ceinture, nouée.

Il existe également quelques blouses en Nylon, longues et à manches, pour faire transpirer les servantes.

Les robes sont des robes légères, style campagnard, en coton. La longueur peut aller du genou à la cheville. Les motifs sont plus divers que pour les blouses : rayures, ou motifs se rapportant à la cuisine, mais sobres.

 

Une blouse spéciale sert à immobiliser les servantes. Sur les côtés, au niveau des cuisses, il y a des poches spéciales, fermées par des coulisseaux, pour y renfermer les mains. D'autres coulisseaux, à la hauteur des cuisses, des genoux, dans l'ourlet du bas, permet de serrer les jambes et donc d'entraver la pénitente.
Cette même blouse a sur les manches des passants qui permettent d'y introduire des baleines, afin d'empêcher la pénitente de plier les bras, ce qui est très incommode pour elle. Ainsi, elle peut travailler, mais elle ne peut toucher son propre corps.

Une autre blouse est découpée derrière d'un rond derrière, pour toujours laisser les miches visibles.

 

Bock

bock à lavement

Le bock est le matériel le plus utilisé pour donner des lavements.

Il y en a de toutes sortes, en plastique ou en métal émaillé, et de toutes capacités, depuis le petit bock d'un demi-litre, pour les lavements de confort, jusqu'au bock de trois litres, pour les lavements punitifs. On préfère les bocks en métal émaillé, qui sont plus classiques que ceux en plastique. Ils sont plus lourds, mais on ne les tiens pas à la main, il y a toujours des crochets pour les pendres.

Le bock a un robinet sur lequel on branche un tuyau et une canule.

 

Bouchère

dessin personnel

La Bouchère, Colette, la moins dodue de toutes les saucissonneuses, est aussi la plus gentille.

C'est une brune, assez mince (75 kgs), ses nichons sont les plus petits de toutes les saucissonneuses, 105C seulement. Sa tarte est rasée, mais elle a de grosses touffes sous les aisselles.

Elle est souvent vêtue d'une blouse vichy bleue, avec par dessus un tablier blanc de boucher, c'est à dire ne couvrant qu'un seul nichon, en biais, et sur les cheveux, une coiffe. Sinon, elle porte des tabliers plutôt propres et mignons.

Elle est gentille avec les servantes, et toujours souriante. C'est d'ailleurs la plus douce de toutes. Elle adore faire des chatouilles, et elle est très experte dans ce domaine. La punie qui tombe entre ses mains va gigoter, se démener sous les doigts fins de la chatouilleuse, et rire jusqu'à pleurer. La Bouchère aime aussi jouer à la nounou.

 

Boudinage

deux femmes punissent

Les boudinages sont les punitions où l'esclave est traitée comme un boudin, comme une chose, une victime. La punisseuse devient une tourmenteuse. Il n'y a jamais de cruauté ni de sadisme, ni de douleur réelle, le tourment étant essentiellement l'humiliation, l'inconfort, et la honte qui va avec.

Il y a par exemple:

Le boudinages sont faits surtout par la Tripière, la Charcutière, la Pâtissière.

   

Branlette

deux femmes punissent

La branlette fait partie des gâteries que les maîtresses font aux servantes ou qu'elles autorisent les servantes à se faire entre elles.

La branlette est toujours douce, il ne faut surtout pas abimer la saucisse ni lui faire mal. La main de la branleuse peut être beurrée ou graissée pour que ça glisse mieux. La branlette peut aussi être faite dans un torchon.

La Charcutière est la spécialiste des branlettes, mais la Bouchère, par gentillesse, en fait aussi.

 

Brosse

une maman fesse à la brosse

La brosse fait partie des fessoirs.

C'est un instrument très pratique pour les fessardages. D'un côté, la maîtresse peut fesser une surface assez large, sans se faire mal à la main, et en visant bien l'endroit qui recevra le coup, sans risque de marquer les fesses. Et, de l'autre côté, les poils peuvent être utilisés pour frotter les fesses, soit avant, pour les rendres plus sensibles, soit après, pour les rendre plus douloureuses.

C'est pouquoi les servantes craignent beaucoup les fessées à la brosse.

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