Abécédaire Fantasmatique

M

Vers le L

Maîtresses

4 fesseuses

Les Maîtresses s'appellent:

  • Boudinières : Elles aiment les boudins. Elles sont grassouillettes et ne sont pas des beautés, mais des femmes bien en chair. Nous ne sommes pas loin de l'obesophili, l'attirance ou préférence sexuelle pour les personnes grosses ou obèses.
  • Gardiennes ou nounous : Elles traitent leurs esclaves comme feraient des gardiennes d'enfants vicieuses.
  • Patronnes : Elles ont des bonniches.
  • Punisseuses ou tourmenteuses : Elles aiment punir leurs esclaves.
  • Saucissonneuses : Elles saucissonnent (attachent, ligotent) leurs servantes.
  • Tablières : Elles sont toujours vêtues de tabliers de cuisine.
  • Torchonneuses : Elles aiment faire des cochonneries avec les torchons de cuisine.

Leurs noms sont Maryse la Charcutière, Josiane la Crémière, Colette la Bouchère, Annette la Pâtissière, Clarisse la Cuisinière, Jeanne la Serveuse, Gisèle la Tripière. Elles peuvent être aidées par d'autres maîtresses: la Fromagère, la Crépière, etc…

 

Mangerie

femme salie nourriture

Mangerie désigne une punition qui consiste à faire manger salement une servante. La nourriture est constituée de produits laitiers, fromage, pâté ou charcuterie hâchée, pâtes, purée, ou toute autre plat facile à manger. Les restes du repas des maîtresses, pris dans les assiettes, sont donnés aux esclaves. La nourriture peut être assaisonnée d'une production personnelle : bave, sueur, morve, pisse ou merde.

La nourriture peut-être dans une assiette, dans un torchon, sur une nappe, ou bien sur le corps d'une maîtresse. La torchonnade consiste à mettre toutes sortes de nourritures ou de restes dans un torchon sale, et à écraser le tout dedans, puis à faire manger ça à la bonniche.

La servante mangera soit couchée par terre, soit à genoux, ou dans toute autre punition humiliante. La servante doit manger sans couvert, et de préférence sans les mains, le nez dans le manger.

Par faveur, une maîtresse peut nourrir la servante, à la main ou à la cuillère, voire lui donner au biberon ou la faire téter. C'est alors presque une gâterie.

 

Martinet

martinet

Le martinet est l'intrument le plus cruel utilisé pour la fessée. C'est un martinet classique, avec un manche en bois et une douzaine de lanières en cuir, comme on en trouve partout. Les lanières sont régulièrement graissées au saindoux, pour qu'elles restent souples. Le manche, pas trop gros, est toujours un peu gras, il sert aussi pour des enculades. En général, la maîtresse garde le martinet passé dans sa ceinture.

Le martinet est donné sur le cul, les cuisses ou les mollets, jamais ailleurs.

Des piments sont possibles. Souvent, c'est la punie qui, avant la fessée, doit aller le chercher et le rapporter dans la bouche, à genoux, à sa fesseuse. Ou bien la servante a le martinet passé dans sa ceinture, derrière, pour être toujours prête à le faire prendre par sa maîtresse.

Pour certains fessardages sévères, plusieurs maîtresses donnent le martinet en même temps.

 

Matériel

plumper casseroles

La salle est équipée de tout le matériel de cuisine:

  • de la vaisselle et des couverts, très simples;
  • des instruments de cuisine, batterie complète, casseroles, poëles, plats;
  • des appareils ménagers à main (hachoir, presse-purée, essoreuse à salade, etc…);
  • des robots de cuisine;
  • des cuvettes en plastique, de toutes tailles;
  • des petits ustensiles de cuisine : entonnoirs, chinois, touillettes en bois, rouleaux à pâtisserie, pilons, etc…
  • un minuteur de cuisine;
  • une balance de cuisine;
  • etc...

 

Ménage

mménage dans la cuisine

La salle doit être tenue propre, et il faut constamment y faire le ménage.

Les servantes s'y emploient sous la direction des maîtresses. En blouse, tablier et gants éventuellement, elles nettoient, frottent, briquent, torchent, astiquent, avec leurs torchons. Sur le sol, elles passent régulièrement la wassingue.

Tout doit briller et être propre, par hygiène, mais aussi parce que, plus c'est propre, plus on prend de plaisir à salir et à faire des cochonneries. Et ensuite, le plaisir se double en recommençant le ménage.

 

Merde

etron assiette

Les selles s'appellent la merde, le caca, la crème d'andouille, les étrons, les saucissons chauds, la crème au chocolat, le beurre noir. On dit aussi chier, faire caca, caguer, vider les tripes.

Les plus belles merdes sont celles de la Tripière, toujours abondantes et molles, mais aussi de la Cuisinière, plus grosses et dures, ou de la Crémière.

Les merdes ne sont jamais jetées tout de suite. Les étrons (on les appelle des quenelles) durs ou mous, et les pètes sont conservés dans des torchons humides, pour les empécher de sécher. Les merdes pâteuses ou liquides sont conservées dans des bols. Tout ça est réutilisé, après avoir été réchauffé, pour salir les servantes ou pour pimenter leurs repas.

Les servantes peuvent lécher les merdes, les embrasser, ou en manger un petit peu. Elles sont aussi barbouillées avec, ou empuanties.

Tout ça c'est de la coprophilie (ou scatologie), jouer avec le caxa, et même un peu de la coprophagie : en manger !

 

Minerve

minerve

La minerve est une punition qui oblige la pénitente à garder constamment la tête bien droite.

Elle est utilisée en complément de certains saucissonnages, pour mettre la servante dans une position encore plus inconfortable.

Les maîtresses l'imposent aussi pendant le service, ce qui est très génant pour la malheureuse punie.

 

Mobilier

cuisine

Le mobilier de la salle comprend:

  • Des meubles de rangement, pour la vaisselle et les torchons.
  • Des chaises solides, en bois, certaines avec accoudoirs, d'autres avec des couvre-siège, des tabourets.
  • Des bancs de cuisine longs de 2 mètres, pour y attacher les esclaves.
  • De grandes tables de cuisine, en bois, ou bien carrelées dessus, pour servir de table de tripotage.
  • Des lits, avec cadre en bois pour pouvoir y fixer des liens et attacher les esclaves.
  • Des grands escabeaux, pour y attacher les esclaves, ou pour d'autres jeux;
  • De grandes tables basses
  • Des matelas et des coussins recouverts de toile cirée et de toile à torchon.
  • Des piloris pour y attacher une esclave à genoux.
  • Des chaises percées, assez hautespour y mettre une esclave dessous, que l'on appelle chiardes.
  • Des tables spéciales pour attacher, que l'on appelle tripotables.

 

Morve

japonaise nez sale

La morve des maîtresses est précieuse. Elle est appelée aussi morvelle, crotte du nez, caca du nez.

Les belles morvelles vertes et gluantes sont les plus appréciées. Maîtresses et servantes se mouchent dans des torchons ou, avec les doigts, dans une assiette. Les torchons pleins de morve sont léchés par les servantes. La morve déposée ailleurs est conservée pour être mélée à la nourriture des esclaves, ou leur être donnée seule, par exemple en tartines ou à la cuillère.

Une maîtresse peut aussi se moucher dessus une esclave, la morvelle coulant sur son visage. Une pénitente vient alors la lécher et l'embrasser. Par punition douce, une servante peut être obligée à rester morveuse. C'est souvent le cas quand elle est saucissonnée, au piquet ou au pilori.

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