Abécédaire Fantasmatique

P

Vers le O

Pâtés

gros nichons noire

Les seins s'appellent les pâtés, mais aussi : les mamelles, les nénés, les nichons, la nichonaille, les nibars, les roberts, les tétés, les tétasses, les tétounes, les lolos, les loloches, les brioches, les biberons.

Les maîtresses ont toutes de gros nichons, qui tendent leur tablier. Ils sont plutôt en poire qu'en pomme, et resserrés entre eux. Les bouts sont très gros, et les aréoles larges et foncées. Ces loloches énormes ne sont pas fermes, mais plutôt molles, bien sûr. Sous les nichons des plus grasses, on peut facilement faire tenir un saucisson. Nous sommes dans la mammophilie et même, puique les nichons sont énormes, dans l'hypermastie.

Souvent elles les sortent et les montrent aux servantes pour les exciter. Caresser ou embrasser le lolo d'une maîtresse est la récompense des servantes bien sages. Et les téter est encore mieux.

Mais on peut aussi infliger au pâtés une punition, comme de les saucissonner en roti, ou d'y mettre au bout une pince à linge.

 

Pâtissière

femme fesse fille

La Pâtissière, Annette, est une flagellante.

C'est une blonde avec de gros nénés, de 120D sans plus. Elle a de bonnes joues et un bon gros cul rebondi. Ses bras sont beaux, blancs et bien forts. Elle pèse environ 80 kgs.

Elle porte le plus souvent une blouse blanche sans manches et un tablier rose, avec une jolie bavette à volants, ainsi qu'une coiffe sur la tête.

C'est chez les saucissonneuses la spécialiste des fessées : main, martinet, torchon mouillé, cuillère en bois, elle connait toutes les subtilités de la flagellation et du fessardage. Elle aime fesser, et le fait avec vice et méchanceté. Etre couchée sur ses genoux, c'est la garantie d'un mauvais moment et de jambons rouges. La Pâtissière aime aussi jouer à la nounou.

Elle est plus gentille que la Charcutière, mais plus sévère que la Tripière

 

Pet

femme latex

Les pets des maîtresses sont précieux. Chaque fois que l'une d'entre elles a envie de péter, elle appelle une servante. Celle-ci passe sous la blouse de la maîtresse, colle son nez entre les miches, et la saucissonneuse lâche son soupir sur le visage de la servante. D'ailleurs, les saucissonneuses aiment péter, et souvent la servante doit leur lécher le troufignon pour le décontracter et faire sortir le vent. Ces pets sont sonores et puants, et les maîtresses font souvent des concours entre elles. La plus forte prouteuse est bien sûr la Tripière.

Le moment idéal pour les prouts est le trônage.

Par contre, les servantes ne doivent pas péter. Celle qui est surprise à le faire, soit par le bruit, soit par l'odeur, est punie.

 

Pilori

homme en couche pilori

Le pilori sert à effectuer des saucissonnages particulièrement humiliants. Il est en bois peint en blanc, complété par des attaches larges, en toile à torchon. Au sol, une planche couchée comporte des attaches pour les genoux (proches ou écartés) et pour les pieds (idem). Deux poteaux s'élévent de la planche jusqu'à 2 mètres, et soutiennent une traverse réglable en hauteur. Les poteaux ont des attaches pour les mains. La traverse est une planche horizontale, percée pour passer le cou et les mains.

Le pilori est placé face à un grand miroir, qui permet à la maîtresse qui fesse par derrière de voir le visage de l'esclave, et réciproquement.

La pénitente est mise à genoux (plus rarement debout). Sa tête est passée dans la traverse. Puis ses genoux, ses pieds sont attachés au sol (le plus souvent écartés, pour accéder à son entrecuisse). Ses mains sont généralement attachées bas sur les poteaux, pour ne pas faire mal à la longue, mais elles peuvent être mises dans la même traverse que la tête.

Cet appareil peut servir à de nombreuses humiliations :

  • Une planche devant la bouche permet de poser de la nourriture que mangera la pénitente, c'est une mangerie.
  • Une toile cirée, tendue derrière la pénitente entre les poteaux, permet de lui jeter de la nourriture dessus sans en mettre partout.

 

Pince à linge

homme en couche pilori

Les pinces à linge sont utilisées par les maîtresses pour punir les servantes. Ce sont des pinces à linge en bois, avec un ressort pas trop dur, pour ne pas faire trop mal.

Elle sont utilisées pour pincer le bout des pâtés, c'est à dire les nichons.

Elles peuvent aussi servir de bâillon, assez douloureux, et humiliant aussi.

 

 

Piquet

fille au piquet

Le piquet est une humiliation très répandue comme punition. Il se distingue des saucissonnages par le fait que la servante n'est pas attachée (sauf quelquefois les mains dans le dos).

La pénitente peut aller au piquet dans un coin, au milieu de la pièce ou face à une maîtresse ou à une autre esclave. Elle peut être à genoux, debout ou à quatre pattes. Le piquet à genoux est éventuellement imposé avec les genoux sur une règle, un manche à balai, des pois chiches durs, des pignons d'olive, etc…

La position peut être complétée par les mains sur la tête, en croix, jointes en prière, tenant les tabliers relevés, le cul nu ou la culotte baissée, un bâillon ou les yeux bandés.

Le piquet ne dure pas plus d'un quart d'heure.

 

Pisse

femme accroupie pisse

L'urine se dit la pisse, le pissou, le pipi, le jus de tarte. Pour l'action, on dit faire pipi, pisser. Le petit pipi est une pissette, le gros pissou est une pissade. Le pissou est aussi un garçon pisseur.

La pisse n'est jamais gaspillée. Si la pissade n'est pas faite sur une esclave, la pisse est recueillie dans des saladiers individuels. Elle sert à plein de choses.

La nourriture des esclaves peut être mouillée de pisse pour l'assaisonner

De même, on peut tremper une servante ou une maîtresse dans un bain de pisse, pour la faire lécher ensuite par une pénitente. En général, c'est surtout le bain de pieds dans la pisse qui est pratiqué.

Souvent les maîtresses aiment arroser les esclaves de pisse par-dessus leurs tabliers, qui restent comme ça humides pisseux et puants.

La pisse sert aussi aux lavements, à mouiller les torchons pour fesser ou manger une torchonnade dedans, à débarbouiller les esclaves.

L'ensemble de ces jeux de pipi, s'appelle l'urolagnie.

 

Pissou

femme accroupie pisse

Le pissou peut vouloir dire deux choses.

Le pissou est d'abord un garçon qui pisse dans sa culotte ou dans sa couche quand il n'a plus l'age d'en porter. On dit aussi que c'est un petit pisseux, ou même un gros pissard. Pour une fille, on ne dira pas pissou, mais pisseuse, mais il est bien plus humiliant pour un garçon que pour une fille de pisser dans sa couche.

En général, le pissou prend plaisir à rester tremper dans son pipi. C'est pourquoi il faut à la fois le punir en le laissant mijoter dans son pipi, dans une couche trempée, dans une culotte sale, sur une alèse, mais il faut aussi, après, lui donner par exemple une bonne fessée.

Le pissou est aussi un synonyme de la saucisse des garçons.

 

Poire

femme accroupie pisse

La poire est utilisée pour donner des lavements, en alternance avec le bock et sa canule, ou avec l'entonnoir.

Les maîtresses se servent plutôt de la poire pour les petits lavements, et du bock pour les lavements plus importants.

L'avantage de la poire est qu'elle est facile d'utilisation, et donc qu'on peut donner un lavement à la poire pendant une fessée, par exemple.

 

Punitions

femmes punissent filles

Les punitions comprennent les fessées, les châtiages, les abaissages, les chatouilles, les saucissonnages, la yaourtière, et autres humiliations.

Il existe plusieurs types de punitions:

Les châtiments corporels ne sont jamais très douloureux, et ne doivent pas laisser d'autres marques qu'une rougeur passagère.

La fessée est le châtiment de base. Les chatouilles sont également considérées comme un châtiment corporel.

Les saucissonnages consistent à attacher l'esclave.

Les humiliations sont extrémement diverses: piquet, lavement, enculade, léchage des maîtresses, langeage, tinettes, mangeries, soue, etc… Tout peut être prétexte à une humiliation.

Vers le Q

Hosted by www.Geocities.ws

1