Abécédaire Fantasmatique
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L'anus, le trou du cul se dit le camembert, le troufignon, la rosette, l'échalotte, l'oignon, le trou-qui-pue, le trou-qui-pète. Il doit être, chez les maîtresses comme chez les servantes, toujours un peu sale et odorant. Les pénitentes n'on jamais le droit de s'essuyer le camembert
après leurs besoins, elles doivent rester merdeuses, dans leur
culotte ou sous leur blouse. Le camembert sert à des punitions comme le lavement ou l'enculade.
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Le caoutchouc est une matière utilisée pour les vêtements et pour diverses choses. Mais les jeux qui sont pratiqués ne sont pas vraiment le genre "gummi" comme disent les Allemands. Le coton, bien sûr, est ce qu'il y a de mieux, il peut être sali, être gras et humide. Mais souvent le caoutchouc est pratique parce qu'il tient chaud. On utilise donc des tabliers en caoutchouc, des coiffes, aussi. Les maîtresses mettent des tabliers de caoutchouc pour se protéger quand c'est nécessaire. Une lavementière portera souvent un tablier de caoutchouc, surtout pendant l'expulsion. Une fesseuse, aussi, si le cul de la pénitente est merdeux et, aussi une langeuse, pour nettoyer les jambons. Mais le caoutchouc sert surtout pour les pissous, on en fait des culottes et, bien sûr, des alèses. |
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Le chaisonnage est un saucissonnage bien confortable. La pénitente est assise sur une chaise, et saucissonnée dans cette position. Ses mains sont attachées:
Ses pieds sont attachés devant aux pieds de la chaise. C'est dire si c'est confortable et, en plus, la servante échappe à la fessée. On peut donc laisser saucissonnée la pénitente un bon moment, et en profiter, par exemple:
Et pour bien d'autres choses aussi. On peut aussi, tout simplement, la laisser là, et la gifler ou lui cracher dessus chaque fois qu'on passe devant, par exemple, ou lui faire ainsi d'autres petites misères. Le chaisonnage devient alors beaucoup moins confortable.
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La nourriture comprend beaucoup de produits de charcuterie:
Cette charcuterie est utilisée pour enculer les servantes, pour les fesser, pour les décorer avec et les rendre ridicules. Bien sûr, on la mange aussi. |
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La Charcutière Maryse est la plus belle des saucissonneuses. C'est la principale maîtresse, celle qui commande en chef. C'est une rousse (1,72 m) bien grasse à la peau bien blanche, laiteuse. Elle est grassouillette (85 kgs), avec un gros cul, des seins de 120D environ, qui tiennent encore assez droit, une taille assez fine. Elle a des touffes de poils roux sous les aisselles, et une motte fournie. Elle sent une odeur de rousse, un peu particulière, forte et fade à la fois. Elle est généralement vêtue d'une blouse blanche sans manches, un grand tablier à bavette par dessus, rose, avec un torchon blanc à grands carreaux rouges sur la tête. Elle est vicieuse, mais pas brutale. Elle aime branlotter les servantes, elle le fait très bien, et peut les exciter pendant longtemps sans leur permettre du plaisir. C'est quand même, après la Serveuse, la plus sévère des boudinières. |
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Les châtiages comprennent toutes les punitions corporelles qui ne sont pas la fessée:
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Les chatouilles sont une punition comme une autre. Les maîtresses chatouillent surtout la plante des roqueforts, mais aussi les côtés et toutes les parties du corps qui s'y prêtent. C'est la Bouchère qui est la grande spécialiste de cet exercice. Les chatouilles sont faites à la main ou avec un autre instument, comme par exemple une raclette à pâte, en caoutchouc, directement sur la peau ou à travers du linge (tablier ou torchon mis à cet effet). Il est préférable, pour les chatouilles, d'attacher la pénitente pour qu'elle ne puisse pas se débattre. La bâillonner pour arrêter son rire est aussi intéressant. Des chatouilles caressantes et très gentilles peuvent constituer une gâterie. |
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La chiarde est une chaise percée qui sert pour la tinette, ou pour les besoins tout simplement. Le siège est confortable et rembourré, recouvert de toile à torchon. Il est percé d'un grand trou. Sur ce trou, on peut fixer un grand entonnoir en plastique blanc, dont l'ouverture inférieure est ovale et de la taille d'un visage. La servante se couche sous la chaise, la tête soutenue par un coussin, juste au bout de l'entonnoir. Si nécessaire, un torchon roulé sert à l'étanchéité. Ainsi, elle est dans le noir, et ne peut échapper au cul qui est au-dessus d'elle. Les pets lui arrivent sans perdre leur odeur. La pisse et la merde lui tombent sur le visage quoi qu'elle fasse. La chiarde peut être utilisée sans cet accessoire, ce qui permet de voir le spectacle. |
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Les maîtresses et les servantes sont adeptes de la coprolalie, c'est à dire des gros mots, des mots crus, des cochonneries, quoi. Il s'agit de bien faire honte aux servantes. " Tu aimes ça , salope !", " vas-y, je suis ta salope… " sont dans toutes les bouches. On utilise aussi des noms d'animaux comme grosse truie ou grosse vache, et beaucoup de mots comme connasse, pétasse, pouffiasse, grognasse, parce que cette terminaison en "asse" est très sale et très dégradante.
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Les coiffes font partie du linge, et elles complètent la tenue des maîtresses et des servantes. Personne n'a la tête nue, et il faut toujours porter une coiffe qui peut être :
Toutes ces coiffes sont en coton. Si une saleté, une tinette par exemple, doit être faite sur le visage de la servante, elle peut porter, sous la coiffe, un bonnet en caoutchouc. |
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Les couches font partie du linge, et les maîtresses mettent souvent des couches aux servantes pour les traiter comme des bébés, et pour qu'elles fassent pipi et caca dedans. Après, bien sûr, elles seront punies. Les couches sont tenues par une culotte, bien sûr, si possible en caoutchouc. Le fétichisme des couches s'appelle autonepiophilie. |
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Les produits de crèmerie comprennent les produits frais et les fromages. Les produits frais sont:
Ils servent à barbouiller les servantes, et à les salir. Les fromages sont tous les fromages mous ou puants :
Ils sont utilisés comme les autres produits laitiers, et aussi pour donner aux baillons une bonne odeur. |
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La Crémière, Josiane, est une saucissonneuse imposante. C'est la plus grosse des saucissonneuses après la Tripière; elle fait 95 kgs. Elle a des nichons énormes, avec de gros bouts, qui donnent du lait. Ils font un peu plus de 130E, et ils tombent assez joliment. Elle est brune, avec un gros cul, beaucoup de ventre. Elle est habituellement vêtue d'une blouse bleue avec un grand tablier blanc, une coiffe sur la tête. C'est une saucissonneuse très maternelle. Elle aime se faire têter, et elle fait tirer son lait comme ça par les servantes ou par d'autres saucissonneuses. Elle se plait à langer et câliner les esclaves comme des bébés. Elle aime aussi donner des fessées à la main, couchant sa victime sur ses genoux, puis l'envoyer au piquet. Elle est plus méchante que la Cuisinière, mais moins que la Tripière. |
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Les maîtresses font la cuisine et les servantes les aident. Les servantes se chargent des choses simples ou sales: éplucher, laver, pétrir, etc Elles font aussi la vaisselle, bien sûr, et elles nettoient après. Les maîtresses se servent de leurs esclaves comme de torchons : elles s'essuient les mains sur elles. Certaines opérations, au lieu d'être faites sur la table, sont faites sur le ventre ou sur le dos d'une servante : pétrir la pâte par exemple. Les plats les plus appréciés sont la choucroute, les farcis, tout ce qui peut se manger salement, sans couteau ni fourchette. Les sauces sont très appréciées, surtout avec de la crème fraiche. Les servantes doivent parfois manger salement les plats, ce qui est une punition, la mangerie. |
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La Cuisinière Clarisse est une belle négresse, d'un beau café au lait foncé. C'est la seule, parmi les saucissonneuses, à être de couleur. Elle a un gros cul de noire, des nichons fermes et pointus de 120D, et une grande bouche avec des lèvres épaisses. Elle est presque aussi grosse que la Crémière (elle pèse 90 kgs), et sent une forte odeur de négresse. D'ordinaire, elle met une robe-tablier à carreaux et un grand tablier blanc par dessus, avec un torchon noué sur la tête, comme un madras. Elle n'est pas très méchante, mais elle a la main leste. C'est cependant, après la Bouchère, la plus gentille des maîtresses. Elle aime se faire aider par les servantes pour les basses besognes. |
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Les culottes sont le sous-vêtement le plus porté par les maîtresses et par les esclaves. Elles sont toujours en coton, blanc ou à petits carreaux vichy. La plupart sont grandes et sages. Il existe aussi des culottes fendues. Certaines sont fendues devant, pour le léchage, la branlette ou le bourrage de tarte. D'autres sont fendues derrière, pour l'enculade ou la fessée. Bien sûr, une culotte peut avoir les deux fentes. Sur certaines culottes, les fentes sont boutonnées ou fermées par des petits liens. Il existe aussi des culottes en caoutchouc qui servent pour le langeage. Bien sûr, les culottes doivent toujours être sales et négligées, et surtout bien odorantes. Les maîtresses font des fois pipi ou caca dans leur culotte, pour le plaisir de se faire nettoyer ensuite. |