Abécédaire Fantasmatique
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La salle est une très très grande cuisine, carrelée au murs et au sol, très bien chauffée, avec:
Elle contient également du matériel et du mobilier. La salle doit être propre, et le sol est fréquemment passé à la wassingue. |
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Le sexe masculin se dit la saucisse, le saucisson, le boudin avec les olives, les boulettes, les paupiettes. Son jus blanc s'appelle la crème d'andouille. On utilise aussi des mots comme le zizi, la zizounette, la quéquette, le petit robinet, la pissette, la zézétte, le kiki ou le pissou. Les servantes qui sont des garçons
doivent cacher leur saucisse et en avoir honte. Mais elles le montrent
en retroussant leurs tabliers pour les révérences. Elles
ne doivent jamais la toucher, sous peine de sévère punition.
Par contre, les maîtresses ont
le droit de les tripoter et de les branlotter.
La saucisse n'est jamais frappée ni attachée. Au pire,
elle peut être enveloppée dans un torchon. Le sexe des filles s'appelle la tarte. |
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Les saucissonnages sont des punitions qui consistent à attacher la pénitente, sans jamais serrer très fort. Le but est de mettre l'esclave dans une position humiliante, inconfortable, mais pas trop douloureuse. L'esclave peut être attachée dans diverses positions qui s'appellent des saucissons. Les liens sont soit en tissu (ceintures, torchons) soit en corde à linge plastifiée. Un grand filet ou un rouleau en toile sert à saucissonner la servante, roulée dedans comme un vrai saucisson. Un bâillon complète parfois le saucisson, plus rarement une minerve. Ils ont des noms comme:
Le saucissonnage peut être agrémenté de pratiques complémentaires : D'autres punitions peuvent être infligées pendant le saucissonnage. Sa durée n'excède jamais quelques dizaines de minutes, pour ne pas laisser à l'esclave le temps de s'ennuyer. |
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Les Saucissonneuses sont le nom que l'on donne aux maîtresses:
Belles femmes de 25 à 45 ans, grandes, très plantureuses, franchement grosses. Toutes sont dodues, potelées, avec de très gros seins, de grosses fesses. Elles ont des touffes de poils sous les aisselles, la tarte bien poilue ou alors complètement rasée. Leur hygiène est légèrement négligée: elles sentent des pieds, de l'entrecuisse, des aisselles. Elles sont un peu vulgaires, vicieuses mais pas méchantes. Elles sont vêtues de tabliers, portés sur des blouses ou des robes-tabliers. Elles ont une coiffe ou un torchon pour leur cacher les cheveux, et aux pieds des socques en plastique ou en bois. |
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Les servages sont les punitions où l'esclave est traitée comme une servante. La punisseuse est alors la patronne. Ils comprennent:
En réalité, tout ce que fait la servante est une punition. Les servages sont volontiers infligés par la Crémière, la Cuisinière, la Serveuse. |
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Les servantes sont aussi appelées esclaves, pénitentes, soumises, etc Elles ont des prénoms ridicules : Charlotte, Suzon, Rosette, Louise, Marie-Souillon, Marie-Charlotte, Marie-Suzon, Marie-Saucisse, Marie-Morvelle, Marie-Andouille, Marie-Torchon, Marie-Boudin, Marie-Salope, Boudinette, Martinette, Tripette, Torchonnette, Cochonnette, Saucissette, Torchonnine. Mais les maîtresses les appellent toutes "cochonne", ou "salope", etc Elles les insultent avec des termes serviles. Elles sont en général plus jeunes et plus minces que leurs maîtresses. Certaines sont des garçons, habillés en filles et traités au féminin. Il doivent parler d'eux mêmes au féminin, pisser assis, etc Elles sont les esclaves sexuelles des saucissonneuses, mais elles ne sont pas vraiment maltraitées. Sur ordre de leurs maîtresses, elles peuvent se punir et s'humilier entre elles. |
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La Serveuse, Jeanne, très vulgaire, est la plus méchante et la plus vicieuse des saucissonneuses. Elle est rousse, avec de gros lolos lourds (120D), et un très beau cul. Elle pèse environ 75 kgs. Sa tarte est rasée. Elle est habillée d'une blouse bleue, sur laquelle elle met, suivant son humeur un petit tablier de serveuse chic (blanc, petite bavette, un peu de dentelle) avec une coiffe, ou d'un grand tablier en grosse toile bleu de fille de salle et un triangle sur les cheveux. Elle aime beaucoup humilier, salir, rabaisser; elle insulte très bien ses esclaves. Elle aime les géner dans leur service, leur mettre la main aux miches, détacher leurs tabliers. Pour les punitions, elle s'occupe du visage: elle gifle, elle tripote la bouche, le nez, elle fait des masques puants, elle bâillonne. Elle donne aussi les lavements et fait des trônages. |
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Les socques font partie du linge. Les maîtresses et les servantes portent des socques. Elles sont en bois, garnies de caoutchouc dessous, avec dessus des brides en plastique. Elles laissent ainsi voir leurs roqueforts. Pour mieux sentir des pieds, les maîtresses portent parfois des chaussons en plastique, qui renfement les odeurs, et même des fois des bottines basses en caoutchouc. Dans ce cas, elle mettent à l'intérieur des morceaux de fromage, pour rajouter encore à l'odeur des pieds. |
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La soue est une grande cuve en plastique, carrée, de deux mètres de côté environ, au rebord peu relevé. Elle est dans un coin de la salle. La soue est toujours sale: on y verse de la crème, de l'huile, des restes des repas, on y vide quelques tinettes. Elle est cependant vidée et nettoyée tous les jours. La punition de la soue est très humiliante. L'esclave est mise nue, avec sur la tête une charlotte en plastique recouverte d'un torchon noué. Ses bras sont attachés le long du corps avec des liens de toile. Ainsi saucissonnée, elle est couchée dans la soue, comme une cochonne. Elle y mange, elle y fait ses besoins, toujours couchée. Les maîtresses viennent la tourmenter et la salir. Souvent, deux esclaves sont dans la soue en même temps. Elles doivent alors se faire des cochonneries au milieu de tout ce gras. |