Abécédaire Fantasmatique

T

Vers le S

Tablier

patrons tabliers

Les tabliers sont, avec les blouses, du linge indispensable et toujours porté. Ce sont des tabliers de cuisine et de service, neufs ou très usés, toujours très classiques et très féminins, en coton ou en toile, blancs, bleus, roses, unis et à carreaux. Quelques uns sont en caoutchouc.

Les formes sont diverses :

  • Tabliers-chasuble, petits tabliers mignons, noués sur les côtés, ou boutonnés, et qui laissent voir de chaque côté les pâtés ou les jambons.
  • Tabliers à bavette, de toutes sortes, avec et sans volants. Le bas du tablier (ce qui constitue un tablier-taille) s'appelle le devantier, et le haut la bavette. Celle-ci est toujours appliquée sur la poitrine par un cordon au cou ou des bretelles.
  • Tabliers-taille, de cuisine ou de serveuse, noué par une ceinture, soit derrière, soit croisée derrière avec le nœud devant.
  • Gros tabliers en toile bleue, devantiers ou bavettes.
  • Tablier spécial, avec une poche devant, et une ouverture dans la poche pour y faire rentre la saucisse de la servante.

Les tabliers sont toujours en rapport avec l'activité. Les maîtresses et leurs esclaves mettent les mêmes, si les tailles vont. Les maîtresses mettent des jolis tabliers pour se faire servir, ou pour faire des choses plutôt gentilles à leur esclave. Pour la punir salement ou sévèrement, elle mettent de gros tabliers. Le tablier bleu, ou la blouse bleue, sur la maîtresse, est signe de lourde punition.

 

Tarte

chatte rasee

Le sexe féminin se dit la tarte, la tartoune. Le clitoris s'appelle le cornichon ou le petit suisse, et les grandes lèvres les escalopes. Il en sort, quand elles sont heureuses, du jus de tarte.

Servantes et maîtresses sont soit très fournies en poils, soit soigneusement rasées. Leurs tartes sont toujours négligées, pisseuses, et sentent fort.

La tarte des servantes est souvent remplie par un saucisson qui la garnit. Mais elles ne doivent jamais se tripoter seules sans ordre. Elles sont aussi fricotées par les servantes qui ont une saucisse.

Les maîtresses aiment aussi le fricotage, et leurs tartes sont alors ouvertes à leurs esclaves.

Le sexe des garçons s'appelle la saucisse.

 

Tétée

femme tete

La Crémière et la Tripière, ainsi que certaines servantes, ont du lait. Elles se font souvent téter, soit par une saucissonneuse, soit, en matière de gâterie, par une esclave. Cette tétée peut aussi se placer avant ou après un fessouillage, pour bien faire sentir à la pénitente qu'elle est un bébé soumis à sa nourrice.

La tétée peut être donnée couchée sur les genoux de la nourrice, comme pour un bébé. Celle-ci ouvre sa blouse et sort ses gros pâtés, ses loloches puis, main sous la tête de la téteuse, elle lui donne le bout. Cette tétée s'accompagne souvent d'une branlette.

La tétée peut aussi être donnée à l'esclave couchée sur le dos, avec la nourrice qui écrase la téteuse de son poids.

La tétée peut aussi être donnée au biberon. Celui-ci contient alors du lait chaud et sucré.

Le biberon peut aussi contenir de la pisse, en guise de punition.

 

Tinette

femme chie

Servir de tinette est la plus humiliante des punitions. La servante peut se faire pisser ou chier dessus par une ou plusieurs maîtresses ou autres esclaves.

La maîtresse est soit accroupie sur l'esclave, soit confortablement assise sur une chiarde, qui est une chaise percée perfectionnée.

La servante est couchée; sa tête est couverte d'une charlotte en plastique pour ne pas se salir les cheveux. Elle peut recevoir sa portion de quenelles sur le visage ou sur toute autre partie du corps; elle ne doit pas bouger.

Pour que la tinette soit plus amusante, il faut que la merde de la chieuse soit bien molle. Parfois, la chieuse prend un petit lavement pour bien se dégager.

La servante peut être obligée de garder la bouche ouverte; elle avale alors ce qui lui tombe dedans. Souvent, elle doit nettoyer avec la langue sa maîtresse après qu'elle ait fait ses besoins.

 

Toile

tablier et torchon

Les toiles utilisées sont la toile à torchon et la grosse toile bleue, celle qui fait les tabliers de fille de cuisine. La toile à torchon à toujours des motifs, carreaux torchons ou linteaux sur les bords. On utilise parfois le nylon, mais uniquement pour des blouses collantes destinées à faire transpirer.

On a fait avec ces toiles:

  • Des tabliers originaux: certains ont des ouvertures dans la bavette pour les nichons, d'autres une poche à l'intérieur du devantier pour y mettre la saucisse.
  • Des culottes fendues ou pas, devant ou derrière.
  • Des liens, longs de un mètre ou deux, pour saucissonner les esclaves.
  • Des sacs, assez grands pour y mettre une servante allongée, avec la tête qui dépasse dehors. Des rouleaux, c'est à dire les mêmes sacs, mais ouverts aux deux extrémités, pour faire dépasser aussi les pieds. Des liens permettent de serrer la pénitente dedans.
  • Des cagoules, toujours avec des trous pour respirer. Elles laissent libres, suivant le cas, les yeux, la bouche ou rien du tout.

 

Torchon

torchon

Les torchons sont des objets très importants dans le linge d'office. Ils sont en coton ou en métis, parfois en grosse toile bleue, mais jamais en éponge. Ils sont de couleur bleue ou rouge ou rose. Les motifs sont très classiques : unis ou à carreaux torchons, carreaux mouchoirs, carreaux vichy, avec des bandes sur le côté. Les torchons se font dans toutes les tailles, du petit essuie-mains au torchon presque aussi grand qu'une nappe.

Les torchons ne sont pas tous neufs ; il y en a aussi de très usés, avec des trous. Ces derniers sont particulièrement appréciés, car ils sont plus humiliants pour celles qui s'en servent.

Chaque maîtresse et chaque servante a son torchon à la ceinture. Ils servent à faire un tas de choses que l'on appelle les torchonnages. Ils servent aussi à attacher et à bander les yeux ou à faire des baillons.

On leur donne, suivant ce qu'ils font, des noms comme torche-pisse, torche-merde, torche-fion, essuie-morve...

 

Torchonnage

femme attachee chaise

Les torchonnages sont toutes les choses que l'on fait avec les torchons.

Les premiers sont les torchages. Les torchons essuient la vaisselle, bien sûr, mais aussi la table, les assiettes et les plats, même sales. Ils sont utilisés pour s'essuyer les mains, la pachole (torche-pisse) ou le cul (torche-fion) après les besoins. Ils servent aussi de mouchoir (torche-morve). Bien sûr, c'est le même torchon qui sert à tout.

Les torchons servent aussi aux ligotages, pour attacher les mains, les pieds des servantes et aussi pour les bâillonner ou leur bander les yeux. Le torchon sec sert au fessouillage, et le mouillé au fessardage.

Ils servent à d'autres humiliations, comme par exemple pour déposer la nourriture des esclaves afin qu'elles y mangent dedans, c'est la torchonnade.

 

Torchonnade

femme attachee chaise

Les torchonnades sont les mangeries que l'on fait dans les torchons.

La nourriture bien collante est étalée dans un torchon. Celui-ci a été, au préalable, humidifié, avec de l'eau ou avec de la pisse, afin que l'humidité de la nourriture ne soit pas absorbée par le torchon, et qu'elle reste donc bien collante.

Le torchon est alors placé par terre, ou sur les genoux d'une maîtresse, ou sur une table, une chaise, etc... S'il le support est dur, on placera le torchon de la torchonnade sur une nappe pliée, afin que le support soit plus souple. C'est important, afin que la pénitente puisse bien mettre le nez dedans et s'en mettre partout.

Une fois le torchon en place, la pénitente n'a plus qu'à manger salement ce qu'il y a dedans, en s'en mettant plein la figure.

 

 

Tripière

enorme femme

La Tripière, Gisèle, est la plus grosse de toutes les saucissonneuses.

Elle pèse près de 120 kgs. Ses loloches font 140E, et elles tombent sur son ventre rebondi ; elles ont toujours du lait. Ses miches, ses cuisses sont imposantes; son corps grassouillet est plein de fossettes. C'est une blonde, avec la tarte grasse et rasée.

Elle est souvent habillée d'une grande blouse blanche, et par dessus un tablier-taille rose, avec un torchon noué sur les cheveux.

Sa spécialité est de faire des pets à volonté, ainsi que de belles merdes molles et grasses. Elle est plutôt gentille, plus méchante que la Crémière, mais moins que la Pâtissière. Elle est très habile pour donner des lavements ; elle manie avec plaisir le bock et la poire. Elle aime aussi enfouir une servante entre ses nichons ou entre ses cuisses, faire manger quelque chose dans ses replis graisseux. L'abaissage par la Tripière est un sévère châtiage.

 

Tronage

tronage

Le tronage fait partie des abaissages. On l'appelle aussi le nez-au-cul.

Une maîtresse s'asseoit sur la figure d'une servante. Elle fait bien attention de ne pas l'écraser ni de l'étouffer. Il y a deux variantes, selon que la maîtresse tourne son ventre ou son dos vers les pieds de l'esclave.

Le jeu consiste à mettre sur le nez de l'exclave sa tarte ou son camembert salle et puant, pour lui faire respirer ses odeurs, et au besoin lacher de bons pets foireux.

Les tronages sont faits surtout par la Tripière et par la Serveuse.

Bien sût, l'esclave doit consciencieusement lécher sa maîtresse.

 

Tripotable

femme attachee table

La tripotable fait partie du mobilier. C'est une table spéciale pour attacher et tripoter les servantes.

Elle est en bois peint, solide, large, longue de deux mètres. Le plateau se règle en hauteur, et peut être incliné dans les deux sens.

A chaque extrémité, il y a un cadre de bois, pour attacher chevilles et poignets. Ce cadre peut pivoter, ce qui permet de retourner l'esclave sans la détacher. Aux pieds se trouvent également des étriers, pour écarter les cuisses et ouvrir la pénitente.

A la hauteur des jambons la table est percée et fermée par un panneau mobile. En l'enlevant, on peut accéder, si la pénitente est sur le dos, à ses miches, si elle est sur le ventre, à sa saucisse. Le même dispositif est fait à l'emplacement de la tête, ainsi la servante peut être à plat ventre, et sa figure est accessible par en-dessous.

La tripotable peut être recouverte d'une toile cirée ou d'une nappe, ou même d'une alèse, percées aux bons endroits.

Vers le U

Hosted by www.Geocities.ws

1